Malgré les efforts sur le riz, la bonne santé du maraîchage et les projets d’agropoles, l’agriculture sénégalaise reste pénalisée par les difficultés d’accès au crédit, ainsi que par une trop faible structuration des filières… Et cherche encore son modèle.
Le directeur général de la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC) était à Dakar le 30 janvier, où il a rencontré le Premier ministre Amadou Ba, ainsi que la ministre de l’Économie, Oulimata Sarr. Entretien.
La campagne de commercialisation de l’arachide a déjà tout d’un fiasco pour les huiliers locaux qui ne peuvent s’aligner sur les prix proposés par les acheteurs chinois.
En visite à Dakar le 28 janvier, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a signé une série d’accords avec son homologue sénégalais, Macky Sall, et annoncé sa volonté de voir les échanges commerciaux entre les deux pays atteindre le milliard de dollars.
La compagnie publique sénégalaise Sonacos peine à s’approvisionner en graines d’arachide face à une forte concurrence chinoise. De quoi remettre en question son plan stratégique 2020-2024 ?
Si le bilan du volet commercialisation de la campagne arachidière 2017-2018 reste mitigé, il est en bonne partie dû aux difficultés des deux principaux transformateurs de la filière.