Dans le litige qui l’oppose à Unitel, la fille de l’ancien président angolais demandait aux magistrats britanniques le dégel de ses avoirs, dont le montant dépasse 580 millions de livres. La cour d’appel de Londres a rejeté sa requête.
João Lourenço, le président angolais, a signé l’arrêté autorisant le retour dans le privé de l’entreprise de télécoms Unitel. Jusqu’à octobre 2022, Isabel dos Santos en détenait 25 %.
Malgré la richesse de leurs sous-sols et les immenses bénéfices tirés de l’exportation du pétrole et du gaz, les grands producteurs africains peinent à échapper aux effets pervers de l’or noir.
Après plusieurs années de blocage, la Côte d’Ivoire et l’Angola sont parvenues à un accord : Sonangol va se retirer du capital de la Société ivoirienne de raffinage.
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
La justice britannique a ordonné le gel de 580 millions de livres sterling d’avoirs de la fille de l’ex-président angolais, dans le cadre du procès qui l’oppose à la compagnie de télécoms Unitel.
La présidente du conseil d’administration et le directeur général de la compagnie nationale angolaise ont été remerciés, le 5 décembre, à quelques mois du déménagement des activités dans le nouvel aéroport de Luanda.
La fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos aurait détourné plus de 52 millions d’euros de la compagnie pétrolière Sonangol, selon la justice néerlandaise.
Le gouverneur de la Banque centrale angolaise, réputé pour sa compétence, a été nommé, le 8 juin, ministre d’État chargé de la Coordination économique. Il devra notamment mettre fin aux subventions sur les carburants, une réforme délicate.
Toujours largement dominée par les groupes sudafricains, notre classement régional traduit la remontée des prix des matières premières. Les groupes télécoms aussi ont marqué des points.
Le mastodonte de l’or noir angolais vient de débourser 40 millions de dollars pour soutenir un projet de raffinerie qui suscite de nombreuses questions.
L’ambitieux programme de privatisation engagé par le président angolais, João Lourenço, depuis son arrivée au pouvoir, en 2017, connaît des hauts et des bas. Point d’étape.
En arrivant au pouvoir en 2017, le chef de l’État a promis de moderniser l’économie angolaise en laissant toute sa place au secteur privé. Le contrat n’est que partiellement rempli.
Malgré les ambitions affichées de réduire leurs émissions de CO2, les majors n’ont pas lancé en Afrique autant de projets dans le solaire, l’éolien ou l’hydrogène que sur les autres continents. ENI et TotalEnergies se mettent toutefois en ordre de marche.
L’Institut néerlandais d’arbitrage (NAI) a rendu sa décision concernant la fille de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos. Elle devra restituer des actions d’une valeur de 422 millions d’euros à la compagnie nationale pétrolière Sonangol.
Toujours sous l’emprise des tensions monétaires et du yoyo des matières premières, l’activité des champions du continent a reculé pour la deuxième année consécutive. Les entreprises ouest-africaines s’en sortent plutôt mieux.
Ébranlée en début d’année par les « Luanda Leaks », la femme d’affaires et fille aînée de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos accuse la justice angolaise de s’être appuyée sur de faux documents pour geler ses avoirs en Angola et au Portugal.
La compagnie pétrolière publique angolaise annonce l’ouverture d’un appel d’offres pour vendre une partie de ses actifs dans plusieurs sociétés actives dans les secteurs du transport maritime et parapétrolier. Objectif : se recentrer sur son cœur de métier.
L’étau se resserre autour de la fille de l’ancien président angolais José Éduardo dos Santos. Alors que les « Luanda Leaks » viennent d’éclater, la justice angolaise décide de poursuivre Isabel dos Santos dans le cadre d’une enquête lancée en mars 2018 sur sa gestion lorsqu’elle dirigeait la compagnie pétrolière nationale, Sonangol.
La justice angolaise a ordonné le gel préventif des comptes bancaires et des actifs d’Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos, et de son époux Sindika Dokolo dans plusieurs sociétés, dans le cadre d’une enquête pour corruption, a-t-on appris de source officielle mardi.
Les autorités angolaises lancent une vague de privatisations sans précédent, avec l’objectif d’améliorer l’efficacité et la productivité des entreprises concernées, tout en équilibrant la balance commerciale d’un pays fortement endetté.
Sous la pression de l’exécutif, la compagnie pétrolière nationale angolaise Sonangol doit se réformer et relancer sa production. Une situation qui génère des tensions.
Comme la croissance économique, le chiffre d’affaires des 500 premières entreprises du classement Jeune Afrique repart nettement de l’avant. La chute des monnaies et la faiblesse des cours des matières premières sont absorbées. Mais les entreprises ne retrouvent pas encore les sommets passés.
Le président João Lourenço a renvoyé le patron de la compagnie nationale pétrolière qu’il avait nommé pour réformer la société alors que le pays, deuxième producteur d’or noir du continent, est confronté à une pénurie de carburants.
Eni vient d’annoncer la découverte d’un gisement de pétrole à 180 kilomètres des côtes angolaises. Le consortium composé du groupe italien, de la compagnie publique Sonangol et de SSI Fifteen Ltd y envisage une production conjointe de 20 000 barils par jour.
L’arrivée au pouvoir de João Lourenço a permis à la major française de renforcer ses positions et de multiplier les projets dans le deuxième État pétrolier du continent.
Sur fond de ralentissement économique et de changements politiques, la restructuration de la Sonangol, entreprise publique angolaise s’accélère. Objectif : se recentrer pour renouer avec les bénéfices.