Particulièrement ciblé par l’opération mains propres du président João Lourenço, l’empire économique de la fille de l’ex-président tangue. Mais la « Princesse » est déterminée à le maintenir à flot.
Le chef de l’État angolais a notamment réitéré sa promesse de régler la dette d’1 milliard d’euros contractée par Luanda auprès d’entreprises françaises. Il a même livré un échéancier.
Le groupe français Total a signé lundi une série d’accords avec l’Angola, dont le président est actuellement en visite à Paris, et annoncé le lancement d’un nouveau projet pétrolier au large du pays.
Le président angolais, qui sera reçu à l’Elysée le 28 mai, a, depuis sa prise de fonctions le 26 septembre 2017, écarté plusieurs caciques de l’ancien régime. Et s’est entouré d’autres piliers du MPLA, déçus par José Eduardo dos Santos.
La fille de l’ancien président angolais, qui fait face à une enquête pour corruption, a un nouvel ennemi : Carlos Saturnino, qui lui a succédé à la tête de la Sonangol, la compagnie pétrolière nationale.
Moins de quatre mois après avoir été limogée de la présidence du conseil d’administration de Sonangol, la compagnie pétrolière nationale angolaise, Isabel dos Santos fait l’objet d’une enquête. Les nouvelles autorités du pays se penchent notamment sur un « transfert suspect » de 38 millions de dollars. Des accusations « totalement infondées », assure-t-elle.
Le parquet de Luanda a indiqué avoir ouvert une enquête après la découverte d’un transfert suspect de 38 millions de dollars, alors que la fille de l’ancien président dirigeait la compagnie.
Le procès de l’ancien vice-président angolais Manuel Vicente, accusé de corruption, s’est ouvert lundi à Lisbonne, sur fond de tensions diplomatiques entre les deux pays.
Télécommunications, banques ou compagnies pétrolières… De plus en plus d’entreprises collectent les informations issues des objets connectés. Mais leur pleine exploitation reste encore en chantier.
Une enquête sur de « possibles détournements » de fonds a été ouverte par la compagnie pétrolière angolaise Sonangol à l’encontre de son ancienne PDG, Isabel dos Santos, la fille de l’ancien président Jose Eduardo dos Santos.
Pour de nombreux observateurs, l’élection de João Lourenço à la tête de l’Angola n’était guère plus qu’une opération cosmétique visant à perpétuer la mainmise de José Eduardo dos Santos et de son clan sur le pays.
Limogée le 15 novembre de la tête de la compagnie pétrolière nationale, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos a publié un communiqué dans lequel elle fait le bilan de son année passée à la Sonangol.
Grace, Nkosazana, Ellen, Joyce, Isabel : elles sont cinq femmes puissantes nichées au cœur du pouvoir, de ses fortunes et de ses infortunes, dans le collimateur impitoyable des médias en cette fin d’année 2017.
Le vice-président angolais Manuel Vicente a été renvoyé en procès par la justice portugaise mercredi 21 juin. Elle le soupçonne d’avoir versé des pots-de-vin à un procureur pour qu’il classe deux enquêtes le visant en 2012, selon une décision citée par l’agence de presse Lusa. Les enquêtes concernaient l’origine des fonds avec lesquels Manuel Vicente avait acheté un appartement de luxe dans la banlieue de Lisbonne et, d’éventuels fraudes fiscales et blanchiments de capitaux.
Jeune Afrique publie son hors-série annuel sur les grandes entreprises africaines. Et constate, pour la troisième année consécutive, que leurs revenus sont en baisse.
Auparavant expert international en énergie et pétrole pour le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Mahaman Laouan Gaya a pris la tête en juillet 2015 de l’Association des producteurs de pétrole africains (Appa), dont il est devenu le nouveau secrétaire exécutif.
Art contemporain, José Eduardo dos Santos et sa fille, Joseph Kabila et Moïse Katumbi, Sonangol… Loin d’esquiver les questions délicates, le collectionneur Sindika Dokolo répond sans tabou à Jeune Afrique.
La nomination de la fille du président Jose Eduardo dos Santos à la tête de la compagnie pétrolière publique Sonangol ne passe pas : un groupe de juristes angolais, déboutés fin décembre d’un premier recours contre cette nomination ont fait appel devant la Cour constitutionnelle.
La revente de la participation du groupe texan de 40% dans deux blocks offshore au large de l’Angola, pour un montant de 1,75 milliard de dollars, à la société nationale angolaise, Sonangol, avait été annoncée en août 2015.
La nouvelle présidente de la compagnie nationale angolaise des hydrocarbures a suspendu toutes les négociations concernant la cession d’actifs pétroliers et gaziers.
Depuis l’annonce de son retrait de la vie politique en 2018, les spéculations sur la succession du président José Eduardo « Zedú » dos Santos vont bon train.
Crise économique, contestation sociale, succession… Alors que le régime est fragilisé, le président a placé sa fille Isabel à la tête de la Sonangol. Un choix risqué – mais calculé – à un an de l’échéance présidentielle.
La fille du président angolais a pris lundi ses fonctions de présidente du conseil d’administration de la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonangol. Isabel dos Santos indique avoir renoncé à ses autres fonctions administratives et promet de restructurer le géant pétrolier, en instaurant davantage de transparence.
Le président angolais José Eduardo dos Santos a nommé jeudi sa fille, la milliardaire Isabel dos Santos, présidente du conseil d’administration de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonangol, a annoncé la radio publique Rádio Nacional de Angola.
« Jeune Afrique » publie son hors-série annuel sur les 500 premières entreprises africaines. L’algérien Sonatrach conserve la première place tandis que 32 pays, de la Côte d’Ivoire au Maroc, sont représentés dans le palmarès.
La compagnie nationale pétrolière angolaise Sonangol est entrée au capital de la filiale locale du groupe Banco Espirito Santo. Une décision qui devrait rasséréner les milieux d’affaires.
Avec un bénéfice de 2,96 milliards de dollars en 2013, Sonangol, la compagnie nationale d’hydrocarbures angolaise, est un acteur unique sur le continent africain. L’opérateur, qui règne sur une production de 626 millions de barils de brut, doit toutefois faire face au défi de la production de gaz, un chantier qui a pris du retard.
Total a signé un accord de cession avec Sonangol E&P concernant sa participation de 15 % dans le bloc offshore 15/06 en Angola. Montant de l’opération : 750 millions de dollars.