La Société nationale des télécommunications (Sonatel) est le leader des télécommunications au Sénégal. Egalement présent au Mali, en Guinée Conakry et en Guinée Bissau, Sonatel commercialise depuis 2006 son offre sous la marque Orange.
Plusieurs hauts dirigeants sénégalais de groupes comme MTN, Orange, Wave ou Partech Africa investissent les réseaux sociaux pour contester le choix de Macky Sall.
Portée par les opérateurs télécoms et les banques, la bourse régionale des valeurs mobilières a enregistré une capitalisation boursière de près de 8 000 milliards de francs CFA en 2023. Un « record ».
La Sonatel a donné le coup d’envoi du déploiement de « Max It » une plateforme multiservices conçue pour être une place de marché regroupant les applications mobile du groupe Orange et celles de tierces entreprises.
Expert auprès des pouvoirs publics, l’ingénieur est aussi le promoteur du Salon international des technologies de l’information et de l’innovation de Brazzaville, Osiane. Son credo : connecter son pays et la sous-région.
La bourse ouest-africaine a franchi, pour la première fois, la barre symbolique des 8 000 milliards de francs CFA. Une capitalisation record, reflet de la confiance des investisseurs mais aussi du regain de forme des titres vedettes de la place d’Abidjan.
Le fonds britannique a déposé auprès du gouvernement une demande de conciliation, afin de préserver ses droits face à la situation de quasi-faillite de l’énergéticien. Faute d’une entente entre les parties à la fin du mois d’août, l’actionnaire de référence va recourir à l’arbitrage.
La filière bancaire africaine du groupe de télécommunications ne devrait pas être impactée par les négociations exclusives pour les activités de sa consœur en France et en Espagne avec la banque commerciale française.
Sonatel, Free, mais aussi Wave… Les dégradations lors des manifestations après la condamnation d’Ousmane Sonko et la coupure internet décidée par l’exécutif de Macky Sall ont eu un impact financier important.
La tension reste vive deux jours après la condamnation d’Ousmane Sonko, alors que les émeutes ont déjà fait au moins 15 morts. Manifestants et internautes parviennent toutefois à contourner le blocage des réseaux sociaux.
Ces deux figures du monde mauritanien des affaires, actionnaires de l’opérateur Mattel, se livrent un combat acharné. Ce qui inquiète leur partenaire Tunisie Telecom, et même le Palais.
La Cour suprême du Mali a confirmé la condamnation d’Orange Mali et de Malitel, filiale locale de Maroc Telecom, à indemniser une association de consommateurs à hauteur de 175 milliards de francs CFA (plus de 266 millions d’euros).
Il occupe aujourd’hui une place centrale dans la stratégie de transformation digitale de son pays. Portrait du patron de la nouvelle Agence des systèmes d’information et du numérique du Bénin.
L’opérateur historique s’est lié à MTN Cameroun afin de rendre ses abonnés mobiles joignables sur tout le territoire, en attendant le déploiement intégral de son réseau d’accès. Comme le sénégalais Sonatel, il nourrit une ambition sous-régionale.
La start-up américaine reprochait à l’opérateur d’empêcher l’achat de crédit Orange via sa plateforme. Elle avait saisi le régulateur des télécoms sénégalais.
Le 21 octobre, l’opérateur public lancera ses services mobiles pour concurrencer Moov et MTN. La stratégie de Cotonou, qui mise en partie sur une réglementation favorable au nouvel entrant, fait grincer des dents.
Au moment où le deuxième opérateur du pays fête ses trois ans d’existence, l’implication des équipes du milliardaire français apparaît plus que jamais indispensable à la mise en place de sa feuille de route.
Le pays voit le nombre de développeurs augmenter plus vite que partout ailleurs sur le continent. Mais une partie d’entre eux choisit l’exil, faute d’opportunités.
L’ARTP a annoncé avoir réduit l’amende infligée en décembre 2021 aux trois opérateurs du pays. Mais, parallèlement, l’Autorité contraint ces derniers à investir davantage que le montant initial de la sanction.
Pour le patron Afrique de l’opérateur français, l’offensive tarifaire déclenchée par la start-up américaine est destructrice de valeur. La directrice de cette dernière pour la zone Uemoa voit, au contraire, cette baisse de prix comme salutaire.
Grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique, le patron d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient commente l’arrivée de la fintech américaine en Afrique de l’Ouest, répond aux critiques sur le prix de l’Internet et salue le rôle positif de l’équipementier chinois Huawei sur le continent.
Résultats du groupe, pression fiscale sur les télécoms, concurrence de la start-up Wave, développement de nouveaux services financiers… Le directeur général du groupe sénégalais dévoile sa feuille de route 2022 et répond aux questions de Jeune Afrique.
Capitaines d’industrie, responsables politiques du continent et poids lourds mondiaux participent au Mobile World Congress (MWC). Bienvenue dans les coulisses de cette grand-messe de la tech et des télécoms.
Le gouvernement entend augmenter la couverture des réseaux télécom du pays tout en dessinant un cadre réglementaire qui doit permettre au nouvel opérateur public de rebattre les cartes du marché.
Pour Cheikh Tidiane Sarr, DG d’Orange Finances Mobiles au Sénégal, l’arrivée de la start-up américaine a bousculé l’équilibre de l’écosystème construit par Sonatel depuis douze ans. Selon lui, tout le monde est perdant dans cette course aux prix bas.
Après des débuts agités à Dakar, le dirigeant sénégalais, décrit par tous comme un « gros bosseur » et un « chic type », est parvenu à s’épanouir dans l’un des plus grands groupes du continent. Jusqu’à en devenir l’une des pièces maîtresses.
Du juridique au marketing, en passant par le développement des RH et les infrastructures, le groupe de télécoms optimise ses performances en s’appuyant sur ses deux centres de décision ouest-africains, qui pèsent conjointement 54% de ses revenus sur le continent et au Moyen-Orient.
Créée par deux Américains pour baisser les frais des transactions en mobile money, la start-up est sous le feu des projecteurs depuis qu’Orange tente de freiner son développement au Sénégal.