La Société nationale des télécommunications (Sonatel) est le leader des télécommunications au Sénégal. Egalement présent au Mali, en Guinée Conakry et en Guinée Bissau, Sonatel commercialise depuis 2006 son offre sous la marque Orange.
Toujours sous l’emprise des tensions monétaires et du yoyo des matières premières, l’activité des champions du continent a reculé pour la deuxième année consécutive. Les entreprises ouest-africaines s’en sortent plutôt mieux.
Au tournant des années 2000, l’entreprise a recruté et formé une cohorte de profils dont plusieurs ont depuis intégré les directions des grands opérateurs continentaux.
Fin décembre 2019, l’opérateur Orange-Sonatel a été condamné par la justice sénégalaise à payer 404,5 millions de francs CFA pour un litige l’opposant aux salariés de la société PCCI, spécialisée dans la relation client et prestataire de l’opérateur.
L’opérateur français Orange et Liquid Telecom, la filiale du zimbabwéen Econet Wireless, ont chacun annoncé la mise en place de nouveaux réseaux de fibre optique terrestre lors du forum AfricaCom qui s’est tenu cette semaine en Afrique du Sud.
Lors d’une rencontre avec la presse spécialisée, le patron du groupe de télécommunications a évoqué la concurrence des plateformes telles que WhatsApp, Viber ou Skype sur les appels passés depuis l’international.
C’est à un Africain que l’opérateur français a confié, en mai, la direction de sa zone Afrique et Moyen-Orient. Et c’est à Jeune Afrique que le Sénégalais a choisi de donner sa première interview.
Largement absentes des places financières africaines, les compagnies de téléphonie ne semblent pas disposées à inverser la tendance malgré les pressions des États.
Alors que MTN se positionne en force sur les bourses de Lagos et Accra, Edoh Kossi Amenounvé, directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), basée à Abidjan, fait le point pour Jeune Afrique sur la situation des cotations des opérateurs de télécoms en Afrique de l’Ouest.
Ancien patron d’Orange Sierra-Leone, ce Sénégalais de 45 ans a pris le 17 janvier les rênes du leader sénégalais des télécoms, tant dans la téléphonie mobile que pour l’internet.
Alioune Ndiaye, le directeur général de la plus grande filiale africaine d’Orange rejoignant la maison-mère en qualité de directeur exécutif d’Orange Afrique et Moyen-Orient, il est remplacé à Dakar par Sékou Dramé, ex-patron d’Orange Sierra Leone.
Alioune Ndiaye, directeur général de Sonatel, est un homme discret mais ses résultats positifs devraient en faire l’un des entrepreneurs importants de 2018.
Vous avez dit « free roaming » ? L’itinérance des appels téléphoniques en vigueur depuis le 31 mars au sein de la Cedeao n’est en réalité pas gratuite. Dans les faits, elle ne concerne que la réception des appels, dans la limite de 300 minutes par mois. De plus, elle n’est effective que dans cinq des sept pays qui s’y sont engagés. À quelle facture devez-vous vous attendre ? Décryptage.
La Sonatel, filiale d’Orange déjà solide leader sur le marché de l’internet mobile au Sénégal, s’est engagée ce mardi 14 février à revoir ses prix à la baisse d’ici à 2020.
L’opérateur historique sénégalais enregistre des records de croissance depuis vingt ans. Mais cela ne suffit pas à éteindre les rancœurs, des syndicats jusqu’au premier cercle du pouvoir sénégalais, à l’égard de son actionnaire de référence, Orange.
Le régulateur télécoms sénégalais a infligé une amende de 13,96 milliards de F CFA (21,3 millions d’euros) à l’opérateur Sonatel, pour violation du droit à l’information des consommateurs. La filiale du français Orange envisage un recours contre cette pénalité, qui représente 3 % de son chiffre d’affaires 2015.
Investissements, acquisitions, création d’un holding… C’est sur le continent que l’opérateur français enregistre sa plus forte croissance. Son nouveau patron Afrique, en poste depuis deux mois, nous a réservé sa première grande interview.
Attendue depuis longtemps, la portabilité des numéros de téléphone mobile a été lancée dans le pays le 1er septembre. Les consommateurs espèrent une meilleure qualité de services et une plus forte concurrence entre les opérateurs du secteur.
L’ARTP, le régulateur du secteur télécoms au Sénégal, a adressé une mise en demeure à la Sonatel au sujet des dysfonctionnements constatés par les usagers des applications de messagerie instantanée Viber et Whatsapp. L’opérateur est exposé à des sanctions pécuniaires.
Le groupe sénégalais Sonatel affiche des revenus annuels en hausse de 11 % à 816 milliards de F CFA (1,24 milliard d’euros) en 2014. David Jean Faye, analyste chez CGF Bourse, décortique cette progression pour « Jeune Afrique ».
Herman Boua, directeur de la recherche de Hudson & Cie livre à « Jeune Afrique » son analyse sur les performances du titre de l’opérateur télécoms Sonatel à la Bourse régionale des valeurs mobilières d’Abidjan.
Manque d’infrastructures, faiblesse de la concurrence et services inadaptés… Le continent rate la révolution qui pourrait booster sa croissance. Pour l’instant.
Sonatel a réalisé un chiffre d’affaires de 738 milliards de F CFA (1,12 milliard d’euros) en 2013, en hausse de 11,4% par rapport à 2012. L’opérateur télécoms historique du Sénégal a également enregistré un résultat net de 190 milliards de F CFA (290 millions d’euros), en progression de 11,1% sur un an.
Face à un durcissement de la concurrence, Sonatel, la filiale ouest-africaine d’Orange prépare sa mue. Sa stratégie : miser sur l’internet mobile, être davantage à l’écoute des clients et réduire les coûts de gestion de ses infrastructures.
L’opérateur de télécommunications Sonatel (Société nationale de télécommunications) lance la phase pilote de son réseau 4G, qui couvrira quatre zones à Dakar et à Saly, au Sénégal.
L’opérateur télécoms Sonatel a connu une croissance soutenue durant les cinq dernières années. David Jean Faye, analyste chez CGF Bourse, analyse le cours boursier de l’action Sonatel à la BRVM.
En quinze ans, la filiale de France Télécom, Sonatel, est devenue un fleuron ouest-africain. Mais, au Sénégal, des voix s’élèvent pour dénoncer une position dominante devenue un obstacle à l’essor de l’économie numérique.
Avec sa marque Orange, l’opérateur historique sénégalais s’est imposé comme un acteur majeur dans la sous-région. Un succès qui doit beaucoup à la qualité du réseau et à la bonne entente avec son partenaire France Télécom. Reste que le nombre de ses concurrents ne cesse de s’étoffer…