Depuis la visite d’État d’Emmanuel Macron au Maroc, et après avoir écarté l’Hexagone de la liste de ses fournisseurs de blé, Alger cultive le malentendu avec Paris.
Entre la construction d’une nouvelle installation pétrochimique et la diversification des marchés d’exportation, le géant algérien des hydrocarbures veut maintenir sa dynamique d’ouverture.
Avec la reprise des opérations du géant sur le block pétrolier de Kafra, l’Algérie tente de revenir sur le devant de la scène dans la bataille d’influence que le pays mène contre son rival marocain au Sahel.
Le MCA a remporté son huitième titre de champion d’Algérie à l’issue de la saison 2023-2024 et compte bien se hisser parmi les meilleures équipes du continent. Nouveau stade, centre d’entraînement flambant neuf, budget en hausse… la puissante société nationale des hydrocarbures, qui en est propriétaire, lui en donne les moyens.
Si le pétrolier français s’est retiré de la réalisation du complexe pétrochimique géant à Arzew, il convoite toujours le pétrole et le gaz naturel liquéfié algérien.
Depuis la dernière édition de notre classement des 500 champions africains, 60 nouveaux CEOs ont été nommés parmi les lauréats de notre classement. Portraits de cinq d’entre eux qui auront pour tâche de donner une nouvelle impulsion à une entreprise qui en a besoin.
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
Entre exploration et production, retrait stratégique et transaction astronomique, l’année qui s’achève a été riche pour des groupes comme Sonatrach, TotalEnergies ou Eni. Rétrospective.
Après l’investiture de Rachid Hachichi et le départ des hommes forts de Taoufik Hakkar, le groupe public, géant africain du pétrole et du gaz, officialise l’arrivée de neuf nouveaux hauts responsables.
Huit vice-présidents du groupe pétrolier algérien viennent d’être limogés par décret présidentiel. Ils avaient été nommés en mars 2020 par l’ancien PDG, lui-même remercié en octobre dernier.
Pur produit du géant gazier et pétrolier public algérien, l’ingénieur de 60 ans a connu honneurs et disgrâce avant de retrouver un poste, hautement stratégique, qu’il a déjà occupé en 2019.
Des contrats en discussion aux projets XXL déjà amorcés, la major algérienne et le géant du Golfe luttent pour renforcer leur statut de partenaire incontournable du Vieux continent à l’approche de l’hiver. Mais qui aura le dernier mot ?
Plus qu’un club de football – pourtant le plus titré d’Algérie –, la Jeunesse sportive de Kabylie a su incarner les aspirations d’autonomie ou d’indépendance du peuple kabyle. Au point d’agacer durablement le pouvoir central.
Après avoir condamné le putsch contre le président Mohamed Bazoum, l’Algérie réitère son soutien à ce dernier tout en mettant en garde contre une opération de force pour déloger les putschistes.
L’ESS, l’un des clubs de foot les plus titrés d’Algérie, s’apprête à devenir la propriété de la compagnie nationale de l’électricité et du gaz. Ce genre d’opérations, qui ne peuvent se faire sans l’aval du pouvoir, se multiplient dans le pays.
Malgré la multiplication des projets renouvelables portés par les géants de l’or noir, les efforts de ces derniers demeurent limités sur le plan financier en raison de nombreuses contraintes. La donne pourrait-elle changer ?
Sélectionné par Sonatrach pour la réalisation du site pétrochimique, le groupe parapétrolier britannique est déjà présent dans le pays. Il a été condamné, en 2021, pour des faits de corruption relatifs à des contrats au Moyen-Orient.
Malgré des indicateurs économiques dans le vert, le pays n’est pas épargné par la forte hausse des prix qui touche l’Afrique. Mais depuis plusieurs mois, le gouvernement algérien a mis en place plusieurs mesures pour y faire face.
Engagés dans des partenariats stratégiques, Rabat, Alger et Tunis se ruent vers l’hydrogène vert. Si les intentions sont diverses, le déploiement des projets de production demeure une priorité.
La Cour d’Alger a prononcé dimanche en appel les peines d’anciens membres du gouvernement dont Noureddine Boutarfa, ex-ministre de l’Énergie, et d’anciens patrons du géant public des hydrocarbures Sonatrach pour corruption.
Partenaires de longue date, le groupe pétro-gazier algérien et la Société tunisienne de l’électricité et du gaz sont au cœur de l’actualité sur fond de « factures impayées ». Pour quelles raisons ?
Après une année 2022 record, la compagnie nationale annonce avoir déjà découvert six gisements au cours du premier trimestre de 2023. Dans un contexte de baisse globale de la production, la manne pétro-gazière ne tarit pas et place l’Algérie en position de force sur le marché international des hydrocarbures.
Sidérurgie, mines et même outsourcing ont permis aux groupes nord-africains d’enregistrer de belles performances dans notre classement régional des 500 Champions africains 2023.
Après la crise liée au Covid, la reprise d’activité des 500 champions africains est quasi générale. Porté par la croissance et la hausse du cours des matières premières, le total de leur chiffre d’affaires a bondi de près de 12 % en 2021.
Le classement des champions de l’énergie et des hydrocarbures en Afrique est marqué par la reprise des cours du pétrole et du gaz qui dope le secteur. Les nouveaux projets devraient permettre une forte montée en puissance des opérateurs nationaux.
Le boycott des hydrocarbures russes par l’Union européenne a redistribué les cartes en bousculant la demande. Une nouvelle tendance qui a un impact considérable sur les investissements gaziers.
Alger a récemment annoncé avoir atteint l’autosuffisance dans ce secteur, un objectif que le gouvernement cherchait à atteindre de longue date. Qu’en est-il en réalité ?