300 CHAMPIONS DE LA FINANCE – Si Standard Bank South Africa reste sans conteste en tête du classement, FirstRand lui met la pression tandis que les banques mauriciennes et zimbabwéennes se font un place.
300 CHAMPIONS DE LA FINANCE – Intérêt croissant des investisseurs, diminution du risque… Le président de la deuxième plus grande banque d’Afrique affiche, auprès de Jeune Afrique, sa confiance sans céder à l’angélisme. Conscient des risques politiques qui continuent de peser sur le continent.
L’assainissement budgétaire et le soutien du FMI seront essentiels pour faire baisser les rendements de la dette souveraine africaine. Mais déjà, le Nigeria et le Kenya pourraient faire appel aux marchés si les taux s’améliorent.
Malgré les multiples révisions à la hausse des prix à la pompe, Kinshasa peine à éponger ses dettes envers les distributeurs de produits pétroliers. Une nouvelle pénurie semble désormais inévitable.
ÉPISODE 4/4. Selon des documents officiels, qui ont fuité et que Jeune Afrique a pu consulter, certaines des plus grosses banques du continent peinent à suivre les règles fixées par les autorités de contrôle des marchés financiers. Des manquements qui favorisent les comportements délictuels en Afrique australe.
ÉPISODE 1/4. Députés, ministres, membres de la Haute Cour de justice ou de la famille royale… En Eswatini, l’un des pays cités dans une fuite massive de documents que JA a pu consulter, de nombreuses personnalités sont soupçonnées de corruption. Assujetties au pouvoir en place, les autorités de contrôle sont démunies.
Assainissement budgétaire, fin des subventions : le gouverneur de la Banque centrale du Kenya explique ses recettes pour retrouver le chemin des marchés internationaux.
La nouvelle méthodologie inédite que nous avons élaborée pour cette édition redistribue les cartes de notre classement annuel. L’« indice JA » nous permet de mieux évaluer la solidité et la performance des institutions bancaires.
Alors qu’Access Bank vient de s’installer en France, Herbert Wigwe, son directeur général, évoque la voie à suivre pour transformer le paysage bancaire en Afrique, et attirer à nouveau les investissements au Nigeria.
Cette décision s’inscrit dans une stratégie plus large de financements des énergies renouvelables, et de réduction des risques dans une Afrique du sud menacée par des pannes d’électricité gigantesques.
Quelques semaines après avoir dévoilé ses plans d’expansion au Nigeria, au Kenya et en Éthiopie, le leader bancaire panafricain annonce vouloir déployer sa banque d’affaires et d’investissement au Sénégal, et développer ses activités en Côte d’Ivoire.
Sim Tshabalala explore les voies d’expansion au Nigeria, au Kenya et en Éthiopie, après une forte hausse de l’activité du leader bancaire panafricain cette année.
L’opérateur portuaire et ses partenaires, l’État ivoirien et S.Energie, sur le Terminal industriel polyvalent nourrissent l’espoir de capter une bonne partie de la production de nickel, de manganèse, de fer et de lithium.
Après une année de franc redémarrage et de regain d’optimisme, l’élan des banques africaines – dominées par Standard Bank, FirstRand et National Bank of Egypt – a été stoppé net par la crise sanitaire, augurant de lendemains difficiles pour le secteur bancaire.
Si elle n’envisage pas d’exclure le financement des activités liées au charbon, la banque sud-africaine s’engage à mieux prendre en considération les objectifs de l’Accord de Paris dans ses opérations.
Jeune Afrique dévoile son classement général 2019 des 200 premières banques africaines, permettant de les comparer par leur bilan et leur produit net bancaire. Si le top 10 reste dominé par les établissements bancaires sud-africains, les marocains y consolident leur ancrage.
La lecture des chiffres de l’exercice 2018 pourrait mener à conclure un peu vite à que l’année a marqué un net recul des banques sur le continent, mais les résultats sont à nuancer : les sociétés africaines pèsent de plus en plus sur le continent.
À rebours de la tendance générale, l’établissement britannique continue d’investir sur le continent, notamment sur le segment des particuliers et dans le numérique.
Si les perspectives de croissance sont faibles en Afrique du Sud, les investissements de la première banque du continent restent prometteurs hors de ses bases, alors qu’elle intensifie ses efforts dans le numérique et la réduction des coûts.
Plusieurs chantiers d’extraction d’hydrocarbures restent en suspens à cause du manque de partenaires financiers. Seuls les plus grands champs gaziers attirent.
Standard Bank Group rejette les appels à l’arrêt du financement des industries extractives pour protéger le climat, mettant en avant le développement économique et humain de l’Afrique.
Standard Bank Group, premier groupe bancaire africain, cède pour 181 millions de dollars le reliquat de sa participation dans ICBC Argentina à son partenaire chinois ICBC, et boucle ainsi un recentrage sur l’Afrique entamé en 2011.
Le semencier Syngenta, les laboratoires pharmaceutiques Roche et Novartis, le groupe de médias Ringier… Ces entreprises suisses déjà bien installées sur le continent sont réunies près de Bâle, ce 22 juin, pour aiguiller leurs compatriotes sur les stratégies à adopter pour se lancer sur les marchés africains.
En pariant sur le numérique, le plus grand groupe bancaire kényan, Kenya Commercial Bank, est parvenu à tenir son rang. Son directeur opérationnel revient sur les étapes qui ont conduit à cette transformation.
Le cabinet Konfidants, partenaire de l’Initiative AfroChampions, a réalisé son tout premier index des « African Globalizers », les entreprises africaines qui ont dépassé les frontières du continent pour conquérir de nouveaux marchés. Un classement que Jeune Afrique publie, analyse et décrypte en exclusivité.