TotalEnergies est une entreprise pétrolière française privée. Le continent africain représente une grand part de sa production de liquides (pétrole et condensats).
Si les investissements mondiaux dans l’amont pétrolier et gazier sont en passe de croître de 7 %, les multinationales se montrent de plus en plus sélectives dans leurs projets sur le continent.
Décriés ou non réalisés, certains projets africains du milliardaire Gautam Adani font peser des doutes sur les ambitions continentales du conglomérat asiatique.
Les États membres du G7 freinent le développement de projets gaziers sur le continent. Au grand dam du PDG de TotalEnergies, qui craint que cette « politique d’exclusion » ne compromette la transition énergétique.
La NOC a annoncé la suspension « partielle » de la production sur l’un des plus importants gisements pétroliers de Libye, le champ d’al-Charara, exploité avec Repsol, TotalEnergies, OMV et Statoil. Explications.
LE PORTRAIT ÉCO – Le DG de la Gabon Oil Company (GOC) a été à la manœuvre pour acter le rachat des actifs pétroliers de Carlyle au Gabon. Une transaction pas si simple à finaliser.
L’énergéticien français vient de finaliser un investissement conséquent dans des projets d’hydroélectricité en acquérant une filiale de l’entreprise norvégienne des énergies renouvelables, Scatec.
Le géant français vient de céder sa participation dans Shell Petroleum Development Company of Nigeria (SDPC) à Chappal Energies pour 860 millions de dollars, et va resserrer son activité onshore sur la chaîne de valeur intégrée gaz. D’autres compagnies pétrolières et gazières ont aussi cédé leurs actifs dans le pays ces dernières années.
Les points clés autour du projet de pipeline en construction en Ouganda et en Tanzanie, porté par TotalEnergies. Alors que Standard Bank s’apprête à annoncer les résultats de son processus de due diligence visant à s’engager dans le projet.
Rétabli à son poste après avoir été un temps suspendu, mais bousculé par son sous-secrétaire, Mohamed Aoun exige du chef du gouvernement qu’il réaffirme son autorité ou, à défaut, le limoge.
Malgré les multiples révisions à la hausse des prix à la pompe, Kinshasa peine à éponger ses dettes envers les distributeurs de produits pétroliers. Une nouvelle pénurie semble désormais inévitable.
L’ACTU VUE PAR – Nouvelles acquisitions, nouveaux projets et une stratégie coordonnée : le mastodonte français des hydrocarbures mise sur le développement de gisements « à faible coût et à faibles émissions carbone » pour doper ses activités sur le continent.
La déclaration finale du forum Investing in African Energy 2024 (IAE), qui s’est tenu à Paris les 14 et 15 mai, souligne que l’Afrique doit faire partie du débat mondial sur la transition énergétique et la justice climatique.
Le géant pétrolier a annoncé, à la suite d’une rencontre entre son PDG Patrick Pouyanné et le président João Lourenço, le lancement d’un projet dont la production devrait débuter en 2028 avec un plateau de 70 000 barils de pétrole par jour.
Présent à Kigali à l’occasion de l’Africa CEO Forum, Patrick Pouyanné, le patron de TotalEnergies revient sur les dossiers prioritaires de la major tricolore et révèle sa volonté de collaborer avec Aliko Dangote.
Abandonner les énergies fossiles ? Oui, mais de manière « contrôlée ». Vice-président Afrique de TotalEnergies, Mike Sangster, qui participait à l’Africa CEO Forum 2024, livre sa vision d’une transition « juste ». Et répond aux critiques des détracteurs du groupe. Entretien en vidéo.
Plus grand groupe énergétique du CAC40 – le principal indice de la Bourse de Paris –, le géant français des hydrocarbures, très présent sur le continent, est en réflexion stratégique pour quitter Paris et rejoindre le New York Stock Exchange (NYSE).
Si le pétrolier français s’est retiré de la réalisation du complexe pétrochimique géant à Arzew, il convoite toujours le pétrole et le gaz naturel liquéfié algérien.
La flambée de l’or noir a propulsé les bénéfices des pétroliers mais n’a pas empêché la marge nette des 500 de tomber à 11,5% contre 14,9% lors de l’édition précédente.
Lancé il y a six ans à Dakar, l’Institut national du pétrole et du gaz (INPG) affiche des taux d’insertion records de ses étudiants. Ce succès nourrit l’essor de l’industrie locale, dont les besoins sont toutefois loin d’être satisfaits.
Dakar s’ouvre depuis plus d’une décennie à de nouveaux investisseurs, venus notamment du Golfe, de Chine et de Turquie. Pourtant la France demeure le premier partenaire économique du pays, malgré un recul perceptible de ses intérêts commerciaux.
La filiale marocaine du géant tricolore a traversé une année difficile, avec des résultats nettement en baisse à cause d’une lourde amende infligée par le régulateur du royaume.
Connexions politiques, conseillers, fidèles collaborateurs et nouveaux piliers… Qui sont les relais avec lesquels le dirigeant, à la tête du géant pétro-gazier français depuis 2014, pilote la stratégie africaine du groupe ?
Le pétrolier français confie à l’ancien Premier ministre béninois l’évaluation de la contribution au développement socio-économique de ses projets ougandais et tanzanien. Deux chantiers vivement décriés par les militants écologistes.
La compétition qui va démarrer en début d’année en Côte d’Ivoire a déjà fait des heureux sur le plan économique, de groupes de BTP chinois au français Sogea-Satom, en passant par les opérateurs ivoiriens Voodoo et Alligator. Revue de détail.
Entre exploration et production, retrait stratégique et transaction astronomique, l’année qui s’achève a été riche pour des groupes comme Sonatrach, TotalEnergies ou Eni. Rétrospective.
Entre les engagements à sécuriser les opérations et les incitations aux investissements, le président de la transition gabonaise veut relancer une manne pétrolière en déclin.
Avec un projet d’investissement de 6 milliards de dollars, le PDG du pétrolier français s’est engagé sur le long terme avec le premier producteur africain d’or noir.
Surendettement modéré, confiance renouvelée du FMI, croissance prometteuse mais des secteurs essentiels qui tardent à décoller… À la veille de l’élection présidentielle en RDC, « Jeune Afrique » dresse un panorama du bilan économique du président sortant.
Consécutive à la pénurie que subit le Cameroun depuis des semaines, la décision de libéraliser les importations de carburant fait un grand perdant : le ministère de l’Eau et de l’Énergie.
L’action de la société spécialisée dans le solaire a perdu près de 90 % de sa valeur à la Bourse de New York. Une douche froide pour ses promoteurs, qui demeurent néanmoins confiants et tablent sur les bénéfices de long terme.