TotalEnergies est une entreprise pétrolière française privée. Le continent africain représente une grand part de sa production de liquides (pétrole et condensats).
Selon des informations de Jeune Afrique Business +, un accord a été signé entre Total et Sonatrach, sonnant le glas de la bataille à laquelle se sont livrés en 2016 les deux groupes pétroliers à propos de l’exploitation du champ de Tin Fouye Tabenkort (TFT).
En tournée au Maghreb, le Premier ministre français Bernard Cazeneuve a trouvé jeudi à Alger une porte rouverte aux investissements français, avec la conclusion promise d’ici la fin de l’année d’un accord sur une usine PSA Peugeot Citroën dans le pays.
Pays d’Afrique centrale producteur de pétrole, la Guinée équatoriale connaît une pénurie d’essence qui a atteint le 3 avril la capitale du pays, Malabo.
Le géant pétrolier Total a annoncé ce mercredi 15 mars avoir mis en production le champ pétrolier de Moho Nord, situé au large de Pointe-Noire, et dont il est l’opérateur majoritaire.
Dans un secteur énergétique en pleine mutation, sur fond d’abondance pétrolière et de compétition intense pour attirer les investissements, les analystes s’opposent sur les perspectives de croissance de la production africaine.
Total a annoncé le 9 janvier 2017 son rachat de 21,57% des parts du britannique Tullow Oil dans le projet pétrolier ougandais du Lac Albert pour la somme de 900 millions de dollars.
Le patron de la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) et actuel ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, Pascal Houangni Ambourouet, a été nommé ce lundi ministre du Pétrole et des Hydrocarbures.
Investissements, déroutes, annonces, litiges… Voici notre sélection des événements qui ont marqué la vie des entreprises du continent, de janvier à décembre.
Après le groupe Bolloré, c’est le Français Total qui est dans le viseur des avocats des victimes de la catastrophe ferroviaire d’Eseka. Actionnaire de Camrail, le groupe pétrolier est notamment accusé d’ « omission de porter secours » dans une plainte déposée le lundi 19 décembre au Cameroun et que Jeune Afrique a pu consulter.
Grâce à la mise en service d’un nouveau projet dans le champ pétrolifère de Moho Bilondo, le Congo-Brazza pourrait voir ses capacités passer la barre des 300 000 barils de brut par jour en 2018 et devenir ainsi le troisième producteur en Afrique subsaharienne.
Alors que l’Africa Oil Week se termine vendredi au Cap, en Afrique du Sud, avec 1200 professionnels du secteur pétrolier, Jeune Afrique fait le point sur les pays qui ont la cote et ceux qui rebutent les investisseurs.
Pour le groupe français Total, dirigé par Patrick Pouyanné, la sentence rendue le 9 octobre à Genève en faveur de l’algérien Sonatrach contre l’espagnol Repsol n’est pas de bon augure.
Une douzaine de compagnies pétrolières étrangères opérant au Nigeria, parmi lesquelles ENI, Chevron et Total, sont accusées par l’État fédéral d’avoir sous-déclaré leur production entre 2011 et 2014.
Malgré une conjoncture difficile, le patron du pétrolier l’assure : son groupe est le numéro un sur le continent, l’un de ses marchés clés. Et celui-ci sera bien intégré dans sa nouvelle stratégie mondiale, qui doit permettre au géant de diversifier ses activités dans le gaz, l’électricité ou le solaire.
L’agence de notation WARA a confirmé la note d’investissement (A-) de Total Sénégal, avec une perspective stable. Malgré le recul de son chiffre d’affaires en 2015 (-15,6 %), le leader sénégalais de la distribution de carburants conserve ses parts de marché et sa marge de profit.
L’Ouganda a délivré officiellement, mardi, aux groupes français Total et britannique Tullow de très attendus permis d’exploitation pétrolière pour la région ougandaise du Lac Albert, dont la capacité est estimée au bas mot à 1,7 milliard de barils, a annoncé la ministre de l’Énergie, Irene Muloni.
Une décision annoncée par la présidence mercredi. En avril déjà, Kampala avait choisi de faire transiter sa future production de pétrole brut par un oléoduc traversant la Tanzanie, option préférée par Total, écartant ainsi un projet concurrent porté par le Kenya.
Durant les six premiers mois de l’année, la production d’hydrocarbures du groupe français en Afrique subsaharienne est restée stable, autour de 632 000 barils équivalents pétrole. Elle est toutefois en net recul (-6 %) au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
La Confédération Africaine de Football a passé un accord avec le géant pétrolier. Total sera désormais le « sponsor titre » des compétitions organisées par la CAF.
Le français Total et son patron, Patrick Pouyanné, se disent persuadés de gagner leur combat judiciaire contre la Sonatrach à propos du projet de Tin Fouye Tabenkort (TFT, dans le centre-est de l’Algérie), dans lequel les deux groupes sont associés avec l’espagnol Repsol.
Selon les informations de « Jeune Afrique », le géant français des hydrocarbures a décidé de se retirer de ce champ situé au large des côtes du Congo-Brazzaville.
Le géant pétrolier français, dont la production atteint 2,3 millions de barils d’équivalents pétrole (bep) par jour, dont 678 000 en Afrique, se serre toujours la ceinture. État des lieux des opérations de Total en Afrique subsaharienne avec Guy Maurice, le patron exploration-production de la zone.
Le géant français des hydrocarbures reprend une centaine de stations-service et deux terminaux logistiques détenus par Gulf Africa Petroleum Corporation (GAPCO) au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie. En 2014-2015, les revenus de cette entreprise basée à Maurice ont atteint 2 milliards d’euros.
C’est finalement par la Tanzanie que transitera le pétrole ougandais pour atteindre l’océan Indien. Ce tracé, privilégié par le géant français des hydrocarbures Total, était contesté par le britannique Tullow, qui préférait un transit via le Kenya, où il compte également des actifs pétroliers.
Le géant français des hydrocarbures a enregistré un chiffre d’affaires de 165,4 milliards de dollars en 2015, soit une baisse de -30 % sur un an, et ce malgré une hausse de +9,4 % de sa production. La faute au recul du prix du pétrole.