L’arrivée de la société britannique à Lokichar, dans le nord-est du pays, a nourri nombre d’espoirs au sein de cette région pauvre et aride. Mais ils ont fait place à une litanie de reproches et de récriminations, sans aucun bénéfice durable pour la communauté.
Les groupes pétroliers Tullow Oil et Capricorn Energy (ex-Cairn Energy) vont s’unir dans une opération valorisée à plus de 1,6 milliard d’euros, avec l’objectif de créer un « leader de l’énergie en Afrique » coté à Londres.
Nommé au début de 2020 à la tête du groupe britannique, alors en perte de vitesse, ce discret CEO a fortement réduit les coûts et recentré les activités sur quatre grandes filiales africaines : au Ghana, en Côte d’Ivoire, au Gabon et au Kenya.
Les États africains, dont la Côte d’Ivoire et le Sénégal, ainsi que les compagnies ont promu les ressources gazières pour l’électricité et discuté de la compensation carbone. De grands absents ont été toutefois remarqués. Récit.
Le mégaprojet de Total a franchi un pas avec deux accords pour la construction de l’oléoduc entre l’Ouganda et la Tanzanie, mais la conjoncture morose pourrait repousser la décision finale d’investissement.
Annoncée jeudi 23 avril, la cession pour 575 millions de dollars à son partenaire, Total, de la totalité de sa participation dans le projet du lac Albert en Ouganda, était attendue. Elle permet à Tullow Oil, lourdement endetté, de se recentrer sur ses actifs les plus rentables.
Alors que le cours du baril s’effondre, rien en dehors de dispositions sanitaires drastiques n’a changé pour les compagnies actives sur le continent. En revanche, si la situation devait perdurer, certains groupes parmi les plus fragiles n’y survivraient pas.
Le 12 mars, en pleine déroute des cours du Brent, la junior britannique a annoncé une perte nette avant impôt de 1,7 milliard de dollars pour 2019 et sa décision de se séparer du tiers de ses effectifs.
La révision des prévisions de production de la compagnie a entraîné la démission de son patron et la chute de son cours boursier. Mais le portefeuille africain de Tullow Oil demeure attractif…
Six ONG ont assigné mercredi en justice le groupe Total concernant un projet pétrolier en Ouganda, dénonçant ses « impacts désastreux » pour les habitants et la biodiversité.
A Kampala, la compagnie pétrolière britannique Tullow Oil se retrouve enlisée dans un imbroglio fiscal qui n’en finit pas. Le français Total et le chinois CNOOC en font aussi les frais.
La junior britannique anticipe une hausse de sa production comprise entre 4,4 % et 13,3 % et devrait relancer le versement de dividendes à ses actionnaires.
Dans le conflit qui oppose les deux pays ouest-africains, la justice a tranché en faveur du Ghana. Une décision qui permet à la junior britannique de reprendre ses projets d’exploration du gisement TEN.
Le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) a estimé samedi que le Ghana n’avait pas violé les droits d’exploitation pétrolière de la Côte d’Ivoire, statuant sur le différend concernant la frontière maritime entre ces pays.
Total a annoncé le 9 janvier 2017 son rachat de 21,57% des parts du britannique Tullow Oil dans le projet pétrolier ougandais du Lac Albert pour la somme de 900 millions de dollars.
L’Ouganda a délivré officiellement, mardi, aux groupes français Total et britannique Tullow de très attendus permis d’exploitation pétrolière pour la région ougandaise du Lac Albert, dont la capacité est estimée au bas mot à 1,7 milliard de barils, a annoncé la ministre de l’Énergie, Irene Muloni.
Le britannique qui exploite déjà le gisement phare de Jubilee a annoncé, jeudi, que la deuxième barge de production positionnée au large du Ghana avait extrait son premier brut au mois d’août. Une production de 23 000 barils de pétrole par jour est escomptée au deuxième semestre 2016.
La junior pétrolière britannique a annoncé produire 30 000 barils de brut par jour, sur le champ pétrolier géant de Jubilee, au Ghana, interrompue au premier trimestre en raison de difficultés techniques. La production du site dépassait 100 000 barils par jour en 2015.
Le groupe pétrolier Tullow Oil a annoncé qu’il allait réduire d’au moins 600 millions de dollars ses investissements en 2016, en pleine chute des cours du pétrole qui flirtent avec la barre symbolique des 30 dollars.
Malgré un net recul de son chiffre d’affaires au premier semestre 2015, le groupe pétrolier britannique a réduit ses pertes et poursuit une politique ferme de réduction des coûts.
Le britannique Tullow Oil a annoncé la suspension de la production de gaz issu de son gisement phare de Jubilee au Ghana, suite à un problème technique. L’extraction de pétrole y sera quant à elle réduite à seulement 65 000 barils par jour.
Le groupe pétrolier britannique Tullow Oil a annoncé le lundi 22 juin avoir reglé un long contentieux fiscal avec les autorités ougandaises, acceptant de débourser 250 millions de dollars (220 millions d’euros).
Le titre du producteur d’hydrocarbures britannique Tullow Oil a enregistré un net recul à la Bourse de Londres, suite à une requête du gouvernement ivoirien demandant la suspension de l’exploration pétrolière dans une zone maritime que se disputent la Côte d’Ivoire et le Ghana.
La compagnie britannique Tullow Oil, qui réalise l’immense majorité de ses revenus en Afrique, a annoncé des pertes de 1,6 milliard de dollars pour 2014. En cause, des provisionnements importants suite à l’effondrement des cours du baril.
En raison de l’effondrement du prix du baril, le groupe britannique essentiellement actif en Afrique a réduit en quelques mois son budget d’exploration de un milliard de dollars à 200 millions.
Alors que les cours du pétrole sont au plus bas, le « Monsieur Afrique » du groupe britannique mise sur les gisements à terre en Ouganda ou au Kenya, moins coûteux mais politiquement plus risqués.
Tullow Oil a annoncé que l’exploration du puits Sputnik-1 sur le champ offshore d’Arouwe, au large du Gabon, n’a pas permis la découverte d’hydrocarbures commercialisables. Les actions du groupe britannique à la Bourse de Londres ont chuté à 535 pence, leur plus bas niveau depuis cinq ans.