Alors que le prix des courses est désormais soumis à une taxe de 4 %, l’État ivoirien a annoncé des campagnes de contrôle qui viseront avant tout les chauffeurs tout en épargnant les sociétés développant les applications de VTC.
Une enveloppe de 100 millions de dollars est en discussion dans un nouveau tour de table. La confirmation que Moove, la jeune pousse du Nigeria, a le vent en poupe.
Dans la capitale économique ivoirienne, l’arrivée des VTC aura contribué à rajeunir le parc automobile, qui a désormais un train d’avance sur les autres capitales de la sous-région. Qu’en sera-t-il pour Dakar, qui lui emboîte le pas ?
Notre enquête, menée auprès d’une trentaine d’investisseurs, permet de déterminer assez précisément les caractéristiques des jeunes pousses du continent qui attirent le plus de fonds.
La start-up d’origine estonienne assure vouloir recruter et investir 500 millions de dollars en deux ans sur le continent, sans toutefois dévoiler de plan d’action précis.
La fintech americano-nigériane revient au Kenya après le retrait de la plainte pour blanchiment d’argent déposée par le régulateur devant la Haute Cour. Les comptes de la société vont être débloqués, et elle va pouvoir continuer son assaut continental en Afrique du Nord.
La start-up de livraison et de messagerie entend capitaliser sur ses plus gros marchés pour dérouler une stratégie de proximité. D’abord en Côte d’Ivoire, puis partout où ses concurrents prennent pied.
Plusieurs centaines de livreurs africains ont manifesté, lundi 12 septembre à Paris, contre le siège français de la plateforme américaine Uber Eats qui venait de déconnecter 2 500 comptes jugés frauduleux.
Les services de chauffeurs et livraison de la start-up maghrébine seront lancés en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Togo d’ici à la fin de juin, assure son fondateur, Noureddine Tayebi.
Heetch, le leader du VTC au Maroc, a saisi le Conseil de la concurrence pour statuer sur la légalité des activités de Careem, à qui elle reproche d’exercer sans que ses chauffeurs n’aient d’agrément du ministère de l’Intérieur.
Le navire amiral des VTC débarque de la Sicon Valley officiellement en Afrique de l’Ouest. Abidjan est depuis jeudi la première ville de la région où le service de voiture de transport avec chauffeur est opérationnel.
Si l’américain Uber a quitté le Maroc l’an passé, son rival français a su s’allier avec les chauffeurs locaux pour devenir leader du VTC dans la capitale économique marocaine.
La start-up française de VTC vient d’annoncer une levée de fonds de 34 millions d’euros, avec laquelle elle prévoit notamment de se développer en Afrique francophone, profitant l’absence d’Uber, son principal concurrent à l’international.
Concurrence, expansion territoriale, élargissement de l’offre… Pour Jeune Afrique, le dirigeant passe au crible la méthode et les ambitions du géant californien.
Trois ans après avoir lancé son application de VTC dans le royaume chérifien, Uber a décidé de se retirer du pays, estimant que le cadre légal qui régit le transport au Maroc ne lui a pas permis de se développer conformément à ses attentes.
Le projet de taxis à carburant alternatif ambitionne de changer le visage traditionnel des taxis dakarois. Objectif : faire moins cher, plus propre, plus sûr.
Drive, Easycab, Africab ou encore Taxijet. Depuis un an, les marques de voitures de transport (VTC) avec chauffeur ont débarqué en Côte d’Ivoire. Et la concurrence est rude, quitte à susciter l’irritation des taxis traditionnels. Un reportage de « Réussite », l’émission coproduite par le groupe Jeune Afrique, Canal + et Galaxie presse.
Le géant californien passe à la vitesse supérieure. Ses chauffeurs opèrent déjà dans douze métropoles et devraient investir douze autres villes d’ici à la fin de l’année. Une course contre la montre pour parvenir à développer une activité viable, mais aussi une course d’obstacles pour adapter son modèle au continent.
Le 21 juillet 2015, Uber s’installait au Maroc. Après des débuts difficiles, le géant américain se lance désormais dans la diversification de son offre et envisage l’avenir sereinement.
Le royaume, seul pays au monde où les femmes n’ont pas le droit de prendre le volant, a investi 3,5 milliards de dollars dans le service américain de réservation de voitures avec chauffeur Uber, a indiqué ce dernier mercredi.
Avec sa solution de paiement mobile WeCashUp, la start-up Infinity Space dirigée par le Camerounais Cédric Atangana ambitionne de devenir un point d’entrée unique sur le continent, entre les porte-monnaie mobiles des opérateurs de téléphonie et les e-commerçants. Le lancement dans 35 pays africains est prévu en septembre 2016.
Ces nouveaux concurrents des taxis sont nombreux à s’implanter dans la métropole ivoirienne. Avec leurs voitures flambant neuves, ils font le pari du haut de gamme.
Né au Congo, élevé en France et diplômé aux États-Unis, Vangsy Goma, petit-fils d’Antoinette Sassou Nguesso, a décidé de se lancer dans les affaires à Abidjan.
Au Kenya, pays féru de nouvelles technologies, Uber a fait une entrée fracassante sur le marché en 2015, au grand dam des chauffeurs de taxi, accusés de répliquer en multipliant les actes de vandalisme et les agressions envers leurs concurrents.
Le service américain de réservation de voitures avec chauffeur Uber, dont les activités au Maroc viennent d’être jugées « illégales » par les autorités, compte « continuer à travailler en respectant la législation locale », a affirmé mercredi la directrice générale d’Uber Maroc, Meryem Belqziz.
Les Casaouis peuvent tester depuis mercredi le service de transport du groupe américain. Pour se faire une place au Maroc, Uber devra toutefois s’adapter aux habitudes de la population. Mais pas seulement.
Six ans après son lancement aux États-Unis et après avoir conquis plusieurs villes européennes ces dernières années, Uber, la société américaine spécialisée dans la mise en relation d’utilisateurs et de chauffeurs gagne petit à petit l’Afrique. Non sans difficultés.
Près de dix ans après la réforme du code de la famille, l’égalité est loin d’être acquise. Face à un gouvernement islamiste, une nouvelle génération de militantes reprend le flambeau.