Si les dirigeants de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) peuvent se satisfaire des protocoles d’accords décrochés durant la conférence des investisseurs organisée début septembre à Dubaï, le secteur privé ne peut pas en dire autant.
La conférence internationale des investisseurs, organisée le 9 septembre à Dubaï, s’est achevée sur l’annonce d’investissements de 19 milliards de dollars en faveur de 16 projets dans l’UEMOA.
Un avis du comité consultatif de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), révélé par Le Monde et RFI, remet en question l’attribution en 2013 du deuxième terminal à conteneurs du port d’Abidjan au consortium composé de Bolloré et APMT.
L’UEMOA organise une conférence internationale des investisseurs le 9 septembre à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Objectif : lever des fonds pour financer 17 projets dont les coûts sont estimés à 10 759 milliards de F CFA (plus de 15 milliards d’euros).
Les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine ont récolté 1400 milliards de F CFA (2,15 milliards d’euros) sur les marchés financiers durant le premier semestre 2014. Sur l’ensemble de l’année, ils devraient lever au total 3450 milliards de CFA (5,2 milliards d’euros), soit 480 milliards de plus que le montant initialement annoncé et 50% de plus que les ressources mobilisées en 2013.
Nés quelque part, ils ont fait carrière ailleurs. Les parcours de ces trois bourlingueurs suivent les contours de l’Union économique et monétaire ouest-africaine et donnent un sens au concept d’intégration.
Après une décennie d’instabilité politique et de violences, les huit pays membres de l’Union semblent sortis des années noires. Et vont pouvoir relancer une véritable politique d’intégration régionale.
Douane, commerce, transports, banques… Dans tous ces secteurs, selon le FMI, l’Union n’existe en grande partie que sur le papier. Pour améliorer leurs résultats, les huit de l’Union économique et monétaire ouest-africaine vont devoir apprendre à jouer collectif.
Attendue depuis dix ans, la création d’un Parlement de l’UEMOA à Ouagadougou (Burkina Faso) capable d’exercer un véritable contrôle démocratique va devenir réalité.
En abaissant le plafond des taux d’intérêt, l’UEMOA voulait protéger les consommateurs. Mais la mesure, qui menace la survie de certaines institutions de microfinance, pourrait réduire l’accès au crédit.
Les pays de l’UEMOA vont lever 3 000 milliards de F CFA (4,5 milliards d’euros) via l’émission de titres publics en 2014. Conséquence prévisible de la croissance économique de la région ou rechute dans les travers des années 70 et 80 ? Adrien Diouf, directeur de l’agence UMOA-Titres, répond aux questions de « Jeune Afrique ».
Les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine ont prévu de lever près de 3000 milliards de F CFA (4,5 milliards d’euros) en 2014 via l’émission de titres publics. Une nouvelle institution, l’agence UMOA-Titres a été créée pour coordonner leurs recours aux marchés financiers.
Les chefs d’État et de gouvernement des huit pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) ont signé, jeudi, « un acte additionnel instituant une politique commune dans le domaine de la paix et de la sécurité ».
Le ministre ivoirien du Commerce, Jean-Louis Billon, qui remet en cause l’attribution au groupe français Bolloré de la concession du deuxième terminal à conteneurs d’Abidjan, a indiqué, le 15 juin, à l’AFP que l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) était « saisie ».
Grâce au retour au premier plan de la Côte d’Ivoire, l’Union économique et monétaire ouest-africaine s’affiche comme la sous-région la plus dynamique de toute l’Afrique.
Six chefs d’État se sont réunis à Lomé, le mercredi 6 juin, dans le cadre du seizième sommet de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Ce sommet, étalé sur une seule journée, était consacré à la sécurité alimentaire et à la croissance économique dans les huit pays membres, et devait aussi aborder la situation au Mali et en Guinée-Bissau.
L’Union européenne peine à résoudre les problèmes liés à la dette grecque et voit sa monnaie se déprécier face au dollar. Deux économistes, Vera Songwe et Ludovic Subran, en analysent les conséquences pour les pays d’Afrique de l’Ouest et centrale membres de la zone franc CFA.
Le président de la Commission de l’UEMOA, le Sénégalais Cheikh Hadjibou Soumaré, a repoussé le sommet annuel des chefs d’État de l’organisation. Au lieu de février, celui-ci devrait se tenir en avril à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
L’ex-Premier ministre sénégalais Hadjibou Soumaré est le nouveau président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest-africaine. Une nomination qui ne fait pas que des heureux.
Le Sénégalais El Hadj Abdou Sakho, commissaire de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEOMA), a été remplacé par Hadjibou Soumaré. Reste à savoir si cette révocation, signée par Faure Gnassingbé, le président togolais, est légale.
En annonçant la création d’une assurance récolte, l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) réalise une importante avancée sociale et économique. Une initiative bienvenue en cette période de crise alimentaire.
Le président togolais Faure Gnassingbé entame sa présidence de l’Union économique et monétaire ouest-africaine dans un contexte particulièrement complexe.
Même à vitesse réduite, la locomotive régionale tire toujours l’économie de la zone. Mais face aux crises qui secouent le pays depuis 2002, ses voisins multiplient les échanges avec le Ghana et le Nigeria.