Chinoises, émiraties ou encore françaises. En raison de son potentiel encore sous-exploité, le secteur de l’énergie solaire en Afrique attire une multitude d’entreprises étrangères spécialisées dans les ressources renouvelables.
Près de cinq ans après avoir confié à l’énergéticien norvégien la construction d’une centrale solaire de 200 mégawatts, les autorités tunisiennes viennent de réattribuer le marché à un concurrent émirati. Plongée dans les coulisses de ce revirement.