La culture du secret dans le secteur et les clauses de stabilité qui garantissent et sécurisent les investissements des compagnies étrangères sont autant d’obstacles à une renégociation en profondeur des accords signés entre Dakar et les pétroliers.
Les deux pays, qui bénéficient à la fois de gigantesques réserves gazières – dont l’exploitation est attendue en 2023 – et d’un potentiel solaire et éolien manifeste, élaborent un plan de route énergétique similaire qui doit leur permettre d’accélérer l’électrification et d’en baisser le coût.
L’exploitation du bloc pétrolier offshore de Sangomar, au large du Sénégal, ne commencera qu’en 2023 et non en 2022 comme cela était initialement prévu.