Alors que le prix des courses est désormais soumis à une taxe de 4 %, l’État ivoirien a annoncé des campagnes de contrôle qui viseront avant tout les chauffeurs tout en épargnant les sociétés développant les applications de VTC.
L’entreprise de VTC débarque au Togo. Sur ce marché concurrentiel, elle tentera de se frayer un chemin entre la start-up Gozem et KBG Speed – filiale du burkinabè Ebomaf – qui évoluent sur ce segment.
À Abidjan, les chauffeurs menacent de revoir leurs tarifs à la hausse alors qu’un projet de nouvelle taxe prévoit de prélever 4 % du prix d’une course. De leur côté, les plateformes négocient pour éviter qu’une crise s’enracine.
Dans la capitale économique ivoirienne, l’arrivée des VTC aura contribué à rajeunir le parc automobile, qui a désormais un train d’avance sur les autres capitales de la sous-région. Qu’en sera-t-il pour Dakar, qui lui emboîte le pas ?
Après une suspension de six mois qui, dans les faits, n’a pas été appliquée, le service de mobilité urbaine est autorisé à reprendre du service pour « une durée d’un an renouvelable ». Les raisons d’un tel revirement.
Trois mois après avoir posé ses valises dans le royaume, la plateforme russe de mobilité urbaine s’est vu interdire toute activité commerciale à Casablanca faute d’« autorisation préalable ».
Présente dans sept pays africains, l’application mobile russe de VTC la plus en vue du pays joue la carte de l’apaisement à la suite de la suspension de son activité – premier véritable accroc dans son expansion éclair – décidée par le ministre des Transports.
La start-up de livraison et de messagerie entend capitaliser sur ses plus gros marchés pour dérouler une stratégie de proximité. D’abord en Côte d’Ivoire, puis partout où ses concurrents prennent pied.
Les services de chauffeurs et livraison de la start-up maghrébine seront lancés en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Togo d’ici à la fin de juin, assure son fondateur, Noureddine Tayebi.