Trois ans à peine après son arrivée dans le pays, le groupe suédois ferme déjà ses boutiques et il n’est pas le seul. Un phénomène que la loi de finances 2023 risque encore d’accentuer.
Poids écrasant de la dette, déficits qui se creusent, investissement privé en berne, infrastructures insuffisantes… Faute d’une vision ambitieuse, les promesses du Printemps tunisien sont restées lettre morte, et les opérateurs étrangers s’impatientent.