Le procès en appel de quatre accusés condamnés à perpétuité pour l’attentat jihadiste de la ville balnéaire, qui avait fait 19 morts en 2016, a été renvoyé vendredi 17 mai en raison de l’absence d’avocats pour leur défense.
Sur les dix condamnés à la prison à vie au terme d’un procès historique qui s’est tenu à Abidjan en décembre dernier, quatre ont fait appel de leur peine.
Le verdict du procès de l’attentat de Grand-Bassam a été rendu ce mercredi 28 décembre. Dix des accusés, dont ceux présents et les deux hommes considérés comme les « cerveaux » de l’attaque, ont écopé de la peine maximale, huit autres sont relaxés.
En Côte d’Ivoire, le procès de l’attaque terroriste qui a eu lieu en 2016 touche à sa fin. Les avocats de la défense ont plaidé l’acquittement de certains de leurs clients. Les juges rendront leur décision le 28 décembre.
Le procureur de la République, Richard Adou, a demandé la prison à vie, « une peine exemplaire et dissuasive », pour dix des accusés. Le verdict est attendu ce jeudi.
Commis d’office, Éric Saki et Prosper Degré Kouassi ont la lourde charge de défendre les dix-huit présumés terroristes de l’attentat de Grand-Bassam. Ils plaident ce mercredi 21 décembre, lors d’audiences qui devraient marquer leur carrière.
Présenté par la justice ivoirienne comme le coordinateur de l’attaque du 13 mars 2016 qui avait fait 22 morts, le présumé terroriste malien est actuellement jugé par contumace à Abidjan.
Les premières audiences du procès de l’attentat de Grand-Bassam, qui avait fait 22 morts en mars 2016, ont eu lieu à Abidjan. Sur les 18 accusés, seuls 4 sont présents dans le box.
Alors que s’ouvre, ce mercredi 30 novembre à Abidjan, le procès de l’attentat de Grand-Bassam, témoin, général ou responsables politiques se remémorent, dans un récit croisé, cette journée tragique du 13 mars 2016 qui a fait 22 morts.
Le procès des auteurs de l’attentat de Grand-Bassam, qui, le 13 mars 2016, avait coûté la vie à 19 personnes, s’ouvre ce 30 novembre à Abidjan. Dix-huit personnes sont inculpées.
Le 13 mars 2016, Vincent Toh Bi était le directeur de cabinet d’Hamed Bakayoko, alors ministre de l’Intérieur et de la Sécurité. À ce titre, il a coordonné la riposte le jour de l’attaque qui a endeuillé Grand-Bassam en faisant 19 morts.
Déjà détenu au Mali, Mimi Ould Baba a été inculpé par la justice américaine pour avoir joué « un rôle central » dans les attentats visant le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire en 2016.
La menace jihadiste s’étend inexorablement vers le sud et concerne désormais tous les pays côtiers. Comment et avec quels moyens ces derniers s’organisent-ils pour y faire face ? Enquête.
Confrontés au risque de l’infiltration de jihadistes, le Bénin, le Togo et le Ghana se trouvent désormais obligés de relever leurs niveaux de vigilance, et de renforcer les liens avec les services de renseignements des pays en première ligne.
Trois ans après l’attentat de Grand-Bassam, ville balnéaire au sud de la Côte d’Ivoire, qui a fait 19 morts le 13 mars 2016, l’enquête a permis d’interpeller plusieurs acteurs directs et indirects. Mais le cerveau présumé de l’attaque est toujours en fuite.
Depuis le double attentat de Ouagadougou, Iyad Ag Ghaly est le chef jihadiste le plus recherché de la région. À moins que cet ancien interlocuteur privilégié d’Alger et de Bamako ne bénéficie toujours d’une protection…
Mimi Ould baba Ould Cheikh a été identifié vendredi par les autorités burkinabè comme étant le chef des opérations de l’attaque de Ouagadougou en janvier 2016. Arrêté en janvier par des soldats français, il est également suspecté par les Ivoiriens d’être « l’un des cerveaux » de l’attentat de Grand-Bassam.
Le 13 mars 2016, la cité balnéaire de Grand-Bassam était frappée par un attentat faisant 19 morts. Un an après, Jeune Afrique fait le point sur l’enquête.
Un des organisateurs présumés de l’attentat de Grand-Bassam en mars 2016 a été arrêté dans le nord du Mali par des militaires de la force française Barkhane, a appris ce jeudi l’AFP.
Deux soldats ivoiriens ont été condamnés jeudi à dix ans de prison ferme chacun pour avoir côtoyé des jihadistes ayant participé à l’organisation de l’attentat de Grand-Bassam.
Le ministère burkinabè de l’Intérieur a indiqué jeudi que dix personnes ont été arrêtées depuis mai en lien avec les attaques islamistes de Ouagadougou et de la station balnéaire de Grand Bassam en Côte d’Ivoire.
L’arrestation jeudi d’un suspect qui aurait conduit un des véhicules ayant servi lors de l’attaque terroriste qui a fait 19 morts, le 13 mars dernier, à Grand-Bassam, semble établir qu’il existe des liens entre les attentats commis au Mali, en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso.
L’activité touristique a chuté de 6 % depuis 2015 et les recettes générées de 3%, en raison essentiellement des menaces terroristes dans les huit États-membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), s’est alarmé mercredi 11 mai l’organisme.
Nommé en janvier ministre des Affaires étrangères, le président de l’UDPCI se fixe deux priorités : la coopération régionale en matière de sécurité et la diplomatie économique.
Les services de renseignement maliens ont arrêté samedi le numéro deux du groupe auteur de l’attaque jihadiste qui a fait 19 morts le 13 mars à Grand-Bassam, en Côte d’Ivoire, ont indiqué dimanche à l’AFP des sources sécuritaires maliennes.
Le journaliste et écrivain franco-ivoirien Serge Bilé a écrit une chanson pour rendre hommage aux victimes de l’attaque terroriste qui a fait 19 morts le 13 mars.
Des enquêteurs ivoiriens sont arrivés mercredi à Bamako suite à l’arrestation la semaine dernière dans le nord du Mali de deux suspects de l’attaque de Grand-Bassam, dont le cerveau présumé, de nationalité malienne, est toujours en fuite.