Présenté par certains médias comme un « possible commanditaire » des attentats de janvier 2015 en France, Peter Cherif, proche des frères Kouachi, a été arrêté dimanche 16 décembre par la police djiboutienne.
Actuellement détenu en Belgique, Mohamed Abrini a été remis à la justice française pour la journée de lundi seulement. Un juge antiterroriste lui a signifié sa mise en examen pour sa participation supposée aux attaques de Paris en novembre 2015.
La justice allemande a annoncé qu’un Marocain, membre présumé de l’organisation État islamique (EI), a été interpellé mardi dans le Land de Basse-Saxe. Il est suspecté d’appartenir à un groupe proche d’Abdelhamid Abaaoud, l’un des coordinateurs des attentats du 13 novembre 2015 à Paris.
Oussama Atar, alias Abou Ahmad, serait le cerveau présumé des attaques meurtrières dans les deux capitales européennes depuis la Syrie. Pour le moment, il est le seul coordinateur à avoir été identifié par les enquêteurs.
Face au silence de Salah Abdeslam, suspect clé des attentats du 13 novembre à Paris et incarcéré à la prison de Fleury, ses avocats ont annoncé mercredi qu’ils renonçaient à le défendre.
L’employé de sécurité algérien de 35 ans, dont on a appris la naturalisation française fin mai, a reçu jeudi la médaille d’or de la sécurité intérieure des mains du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Il avait sauvé de nombreuses vies lors des attentats de Paris, le 13 novembre dernier.
Comment se prémunir contre les risques d’attentat islamiste et neutraliser les supporters violents en provenance de toute l’Europe ? Policiers français et européens sont sur les dents.
Quatre Franco-Marocains et un Franco-Turc ont été définitivement déchus de leur nationalité mercredi. Le Conseil d’État a rejeté le recours de ces cinq hommes condamnés pour actes terroristes.
« Didi », Algérien de 35 ans, fait partie des héros des attentats du 13 novembre, selon les rescapés du Bataclan. Ce responsable de la sécurité, dont la bravoure a sauvé des dizaines de personnes ce soir-là, vient d’obtenir la nationalité française ainsi que les félicitations de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur.
Le procès de la cellule jihadiste démantelée en janvier 2015 à Verviers, dans l’est de la Belgique, s’ouvre lundi pour trois semaines devant le tribunal correctionnel de Bruxelles. Cette cellule, dont le chef aurait été Abdelhamid Abaaoud, pourrait avoir inspirée celles ayant commis les attentats de Paris et de Bruxelles.
Mohamed Abrini avait été capturé vendredi à Bruxelles. Sa capture finissait de confirmer les liens très étroits entre les attentats de la capitale belge et ceux du 13 novembre à Paris.
La justice belge a donné son accord pour que Salah Abdelslam, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt européen émis par la France, soit remis aux autorités françaises, a annoncé jeudi le parquet fédéral.
Le suspect-clé des attentats de Paris veut désormais partir en France, a annoncé ce jeudi son avocat. Jusqu’ici, il s’était opposé à son transfèrement à Paris. Une audience en vue de l’exécution du mandat est prévue le 31 mars.
Salah Abdeslam, suspect-clé des attentats de Paris, a été inculpé de « meurtres terroristes et participation aux activités d’un groupe terroriste » dans l’enquête sur les attentats du 13 novembre à Paris, a annoncé samedi le parquet fédéral belge.
Il était l’un des hommes les plus recherchés d’Europe. Salah Abdeslam, principal suspect des attentats de Paris, a été arrêté vendredi 18 mars lors d’une vaste opération de police dans la municipalité de Molenbeek, a confirmé le gouvernement belge. Il a été blessé à une jambe lors d’un échange de coups de feu avec les forces de l’ordre.
C’est en toute discrétion et après la fermeture du cimetière qu’Hasna Aït Boulahcen a été enterrée, mardi en fin d’après-midi, à Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, dans le carré musulman et avec une sépulture anonyme.
La justice a délivré un permis d’inhumer pour Hasna Aït Boulahcen, tuée lors de l’assaut des forces de l’ordre à Saint-Denis (banlieue parisienne) le 18 novembre, cinq jours après les attentats qui ont tué 130 personnes à Paris.
L’État islamique a publié dimanche une vidéo mettant en scène neuf des auteurs des attaques du 13 novembre à Paris. Le président François Hollande a réagi en déclarant qu’« aucune menace ne fera douter la France ».
Jalal Attar, un Belgo-Marocain proche des membres du commando terroriste ayant perpétré les attentats de Paris, a été arrêté au Maroc. Selon le parquet belge, il y résidait depuis 2013 et faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis juillet 2015.
Leurs réactions aux attentats du mois de janvier avaient pu paraître exagérément prudentes et ambiguës. Cette fois, leur condamnation des massacres jihadistes du 13 novembre est sans réserve.
Dès son arrivée à Paris, Barack Obama, accompagné notamment de François Hollande, s’est rendu, dans la nuit de dimanche à lundi, devant la salle de concerts du Bataclan pour se recueillir, en hommage aux victimes des attaques terroristes du 13 novembre dans la capitale française.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Noumouké Sidibé a survécu et a sauvé plusieurs vies.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Mohamed Amine Ibnolmobarak.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Ludovic Boumbas.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi, eux Hyacinthe Koma.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Halima Ben Khalifa Saadi Ndiaye.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française. Parmi eux, Asta Diakité.
Ils étaient burkinabè, tunisiens, algériens, maliens, congolais ou « français d’origine » ; chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Certains écoutaient le groupe américain Eagles of Death Metal au Bataclan. D’autres fêtaient l’anniversaire d’une amie au restaurant La Belle Équipe, pas très loin de la place de la Bastille. Vendredi 13 novembre, une dizaine d’entre eux, jeunes pour la plupart, qui aimaient la vie, sortir, s’amuser, sont morts à Paris lors des attentats perpétrés dans le nord-est de la capitale française.