François Hollande a chaleureusement remercié vendredi le roi Mohammed VI pour « l’assistance efficace » apportée par le Maroc à la suite des attentats de Paris le 13 novembre, a indiqué la présidence française à l’issue de leur entretien.
Deux jours après l’assaut lancé à Saint-Denis, au nord de Paris, le procureur de la République a fait savoir ce vendredi que trois personnes avaient été tuées, parmi lesquelles Abdelhamid Abaaoud, le commanditaire présumé des attaques et sa cousine, Hasna Aitboulahcen.
Le commanditaire présumé des attentats de Paris, le Belgo-Marocain Abdelhamid Abaaoud, a été tué lors de l’assaut donné par les forces de l’ordre françaises à Saint-Denis, au nord de Paris, mercredi.
Abdelhamid Abaaoud a-t-il été tué mercredi dans l’assaut de Saint-Denis ? Est-il en fuite en France ? Au lendemain de l’assaut de Saint-Denis, au nord de paris, l’incertitude plane toujours jeudi sur le sort du cerveau présumé des attentats du 13 novembre.
Au lendemain des attentats terroristes du 13 novembre à Paris, la France a demandé une assistance militaire aux autres États membres de l’UE. Dans ce cadre, un déploiement des troupes européennes – allemandes et irlandaises a priori – en Afrique de l’Ouest paraît désormais plus que probable. Décryptage.
L’assaut mené par les forces de l’ordre françaises mercredi matin à Saint-Denis s’est soldé par la mort de deux terroristes présumés. Parmi eux, une jeune femme qui est , selon nos informations, la cousine du cerveau présumé des attentats de Paris, Abdelhamid Abaaoud. Son nom : Hasna Aitboulahcen.
Cinq jours après les attentats de Paris, un assaut policier de grande ampleur a été lancé mercredi 18 novembre vers 4h30 du matin à Saint-Denis, commune limitrophe de la capitale française. L’opération visait Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des tueries qui ont fait au moins 129 morts vendredi dernier.
Quatre jours après les attentats qui ont fait 129 morts à Paris, Salah Abdeslam, l’un des principaux suspects, est toujours en cavale. Mais l’enquête progresse aussi bien en France qu’en Belgique.
Le HCR a appelé mardi les États du monde entier à ne pas revenir sur leurs promesses d’accueil de migrants et de réfugiés, essentiellement des Syriens qui arrivent en Grèce, après les attentats de Paris du 13 novembre.
L’enquête, qui se partage entre la France et la Belgique, avance rapidement, trois jours après les attentats ayant fait 129 morts à Paris. Le point sur les dernières évolutions.
L’enquête, encore en cours trois jours après les attentats de Paris, semble s’orienter vers un nom : Abdelhamid Abaaoud. Voici ce qu’il faut savoir sur ce personnage soupçonné d’avoir commandité les attaques du vendredi 13 novembre.
Alors que la France rendait hommage lundi par une minute de silence aux victimes des attentats de Paris du 13 novembre, les journaux du monde entier continuaient d’avoir les yeux tournés vers la capitale française. Les journalistes et éditorialistes du continent ne font pas exception, entre compassion et analyse.
Plus de quarante-huit heures après les attentats qui ont fait au moins 129 morts à Paris, le bilan des attaques reste provisoire. Plus de 150 perquisitions sont actuellement en cours. Le point sur ce que l’on sait de l’enquête.
Le corps d’un deuxième kamikaze, retrouvé dans la salle de spectacles du Bataclan à Paris, a été identifié, a-t-on appris dimanche auprès de source proche de l’enquête.
Gardes à vue, voiture retrouvée : l’enquête sur les attentats et la recherche d’éventuels complices progressait dimanche, une journée marquée par le recueillement et l’appel à l’unité nationale face aux attaques les plus meurtrières de l’histoire en France.
Les dirigeants des pays les plus riches de la planète veulent envoyer dimanche lors de leur sommet en Turquie un message d’unité contre la terreur jihadiste après les attentats qui ont frappé la France, malgré de profondes divergences sur la Syrie.
État d’urgence, écoles fermées, manifestations interdites : la France était samedi en état de choc, au lendemain des attentats les plus meurtriers de son histoire, revendiqués par le groupe jihadiste État islamique (EI), qui ont fait au moins 128 morts.
Le ministre allemand l’Intérieur, Thomas de Maizière, a appelé samedi à s’abstenir d’établir tout lien hâtif entre les attaques terroristes de Paris et la crise migratoire en Europe.
Le groupe jihadiste État islamique (EI) a revendiqué samedi les attentats ayant fait au moins 128 morts à Paris, dans un communiqué publié sur internet, affirmant que la France restera une de ses principales cibles.
Nkosazana Dlamini-Zuma, la présidente de la commission de l’Union africaine, Ali Bongo Ondimba, le président gabonais, ou son homologue sénégalais, Macky Sall… Plusieurs dirigeants du continent ont réagi aux attaques terroristes qui ont fait plus de 120 morts vendredi à Paris.
Le grand imam de la mosquée Al-Azhar, prestigieuse institution de l’islam sunnite, a condamné samedi les attaques à Paris qui ont fait au moins 128 morts les qualifiant d' »odieuses » et a appelé « le monde entier à s’unir pour faire face à ce monstre ».
État d’urgence, écoles fermées, contrôles renforcés : la France était samedi en état de choc, au lendemain des attentats les plus meurtriers de son histoire, avec pour la première fois des actions kamikazes.