La Coupe d’Afrique des nations, qui se tient du 13 janvier au 14 février 2024 en Côte d’Ivoire, a des implications économiques fortes. Le coût des infrastructures (stades, routes, hôtels…), les retombées touristiques pour le pays, l’impact sur l’image du pays… Tous nos articles sur le business de la CAN sont à retrouver ici.
Le fondateur et PDG du groupe Voodoo – qui s’apprête à fêter ses 25 années d’existence en Côte d’Ivoire – est le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique.
Abidjan a investi plus d’un milliard d’euros dans l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations, pariant sur un afflux de visiteurs et un pic de consommation. Mais au-delà de l’évident gain de visibilité pour le pays, les retombées économiques apparaissent loin d’être garanties.
Avec quatre stades construits et deux réhabilités pour la compétition, la Côte d’Ivoire n’a pas lésiné sur les moyens pour se doter d’infrastructures sportives de premier plan. Mais que deviendront-ils au lendemain de la cérémonie de clôture de la CAN ?
Croissance, transformation et retour sur investissement ont été érigés en piliers stratégiques du groupe par le dirigeant kényan, lors d’une rencontre avec la presse à Abidjan, au lendemain de l’ouverture de la 34e Coupe d’Afrique des nations.
Au surlendemain du coup d’envoi de la CAN en Côte d’Ivoire, les images des premiers matchs révèlent un remplissage des stades particulièrement faible. Une situation qui inquiète, alors que la CAF a souhaité conserver le volet « ticketing » dans ses prérogatives.
Cette fois, c’est parti ! La Coupe d’Afrique des nations démarre à Abidjan, ce samedi 13 janvier. Pendant un mois, la rédaction de Jeune Afrique se mobilise pour vous faire vivre cette fête du football africain. Voici le programme.
Six stades sortis de terre ou entièrement refaits, 24 équipes, 52 matchs, 1,5 million de visiteurs attendus… Les chiffres de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en infographies.
Périphérique, échangeurs, route côtière… En amont de la Coupe d’Afrique des nations, les chantiers structurants se sont accélérés afin de transformer l’image du pays et de désengorger le trafic.
La compétition qui va démarrer en début d’année en Côte d’Ivoire a déjà fait des heureux sur le plan économique, de groupes de BTP chinois au français Sogea-Satom, en passant par les opérateurs ivoiriens Voodoo et Alligator. Revue de détail.
Hébergement, transports, restauration, artisanat… Alors que le pays s’apprête à recevoir la Coupe d’Afrique des nations, de nombreux secteurs espèrent tirer profit du lot de visiteurs drainés par la compétition.
Après celle de juin, une nouvelle hausse a été décidée par le gouvernement, officiellement par souci d’équilibre du secteur et conformément à ses engagements pris auprès du FMI.
Après avoir enregistré un nombre record d’arrivées de touristes en 2023, le royaume déploie les grands moyens pour faire venir 26 millions de visiteurs à l’horizon 2030.
À trois semaines du début de la compétition, le comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des nations a interdit la vente et la fabrication des maillots contrefaits de la sélection nationale.
Depuis que le groupe togolais New World TV a acquis les droits de diffusion de la CAN Côte d’Ivoire 2023, les chaînes africaines se bousculent pour boucler leurs offres.
À quelques semaines du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des nations qui aura lieu du 13 janvier au 11 février 2024, le stade olympique d’Ebimpé concentre toutes les attentions.
À Abidjan, les chauffeurs menacent de revoir leurs tarifs à la hausse alors qu’un projet de nouvelle taxe prévoit de prélever 4 % du prix d’une course. De leur côté, les plateformes négocient pour éviter qu’une crise s’enracine.
Le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), élu en avril 2022, est également le vice-président du Comité d’organisation de la CAN. À moins d’un mois du coup d’envoi de la compétition, Yacine Idriss Diallo a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Dans la dernière ligne droite avant le début de la compétition le 13 janvier prochain, tous les responsables affichent une sérénité loin des questions soulevées par l’inondation du stade d’Ebimpé le 12 septembre dernier.
Parc des expos et pont Alassane-Ouattara opérationnels, voie de contournement quasi terminée… La capitale économique ivoirienne a mis les bouchées doubles pour livrer plusieurs grands chantiers avant le coup d’envoi de la CAN, en janvier.
Incarnation de la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Maroc, l’opération de réhabilitation et de valorisation de la baie reliant le Plateau à Cocody doit renforcer l’attractivité de la capitale économique ivoirienne. Mais si certains chantiers sont bouclés, le chemin est encore long.
Le 13 janvier, le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des nations se fera dans le stade olympique Alassane-Ouattara d’Ébimpé d’Abidjan. Infrastructures sportives, capacités d’hébergement pour accueillir les joueurs, les délégations et les supporters, aménagements des espaces publics… La capitale économique est-elle prête ?
En 2018, l’entrée du groupe français sur le marché ivoirien de l’affichage publicitaire avait fait grand bruit. Depuis, il a tracé son sillon dans un secteur toujours aussi concurrentiel et en pleine modernisation.
La Confédération africaine de football vient d’annuler les droits de diffusion de la Coupe d’Afrique des nations accordés au réseau qatari BeIn Media Group, dans 40 pays dont la zone Mena.
La signature d’un partenariat entre la Fecafoot et 1XBet a ravivé les débats autour de sa légalité. Le directeur Afrique de la plateforme de paris sportifs en ligne s’explique.
Les autorités ivoiriennes ont annoncé qu’elles livreraient les équipements sportifs et d’accueil des joueurs pour la prochaine Coupe d’Afrique des nations conformément au « planning » fixé avec la Confédération africaine de football (CAF).
Lors d’un entretien avec le chef de l’État ivoirien et le ministre de la Communication et de l’Économie numérique, Amadou Coulibaly, le président de Canal+ International, Jacques Dupuy, a fait part des intentions de son groupe en matière d’investissements, notamment dans le domaine de la production.
Les deux icônes du sport camerounais s’affrontent à propos de la résiliation du contrat qui liait la Fecafoot, que dirige l’ancien footballeur, au Coq Sportif, dont l’ex-tennisman détient une partie du capital.
La proposition de la CAF de charger la Côte d’Ivoire de financer les primes des sélections qualifiées a créé un conflit au sein du comité d’organisation.