La 21e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), appelée COP21 ou Paris 2015, doit se tenir du 30 novembre au 11 décembre 2015 sur le site du Bourget, en région parisienne.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Hakima El Haité, ministre marocaine de l’Environnement.
Retrouvez les principaux engagements pris envers le continent africain durant la conférence internationale de Paris sur le climat, qui a débouché le 12 décembre sur un accord historique visant à limiter la hausse des températures et impulser réellement une marche vers une économie verte.
Un accord sans précédent pour lutter contre le réchauffement, dont l’ampleur menace la planète de catastrophes climatiques, a été adopté à Paris par 195 pays, mais beaucoup reste à faire pour que les engagements ambitieux se concrétisent.
Aujourd’hui 640 millions d’africains n’ont pas encore accès à l’électricité. Qu’en sera-t-il dans 15 ans ? Un nouveau projet adopté par les chefs d’États africains lors de la COP21 prévoit de rendre le continent leader en énergies renouvelables d’ici 2030. État des lieux.
L’Afrique participe à la COP 21, mais elle n’a pas le feu sacré de l’Europe pour les énergies renouvelables, car celles-ci demeurent chères et difficiles à maîtriser.
Acteurs politiques, chefs d’entreprise et même artistes… Tous se mobilisent pour faire avancer la cause verte à leur façon. L’ex-trader Seyni Nafo se fait porte-parole de la cause écologique au Mali.
Alors que les négociateurs planchent encore ce vendredi 4 décembre sur un projet d’accord provisoire, des représentants ont commencé a exprimé publiquement leur mécontentement à la COP21. Avant la deuxième phase de négociations qui débutera la semaine prochaine, la ministre déléguée à l’environnement du Maroc, Hakima El Haite, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
La mobilisation générale autour de la COP21, ces milliers de participants, chefs d’État, ministres, scientifiques, activistes, lobbyistes, journalistes, etc., venus des quatre points cardinaux pour se pencher au chevet de la planète, fait penser à la fameuse phrase de Marx : « L’humanité ne se pose que des problèmes qu’elle peut résoudre. »
Les pays en développement sont de plus en plus amers et mécontents de la tournure des négociations sur le climat à Paris. Jeudi, ils ont accusé les pays riches d’ignorer les inquiétudes des plus pauvres et des plus vulnérables.
La banque africaine de développement s’est associée à sept autres organisations multilatérales pour lancer un appel en faveur des solutions de transport durables. L’institution a également réaffirmé son soutien au fonds des Pays les moins avancés (PMA).
À Paris, les Africains réclament que les pays développés leur cèdent les technologies propres, souvent très coûteuses, afin de pouvoir allier développement et protection de la planète.
Grands absents de la COP21, les partis verts africains sont aussi très peu représentés dans les sphères politiques nationales. Quelle est leur véritable influence ? Franck Habineza est président de la Fédération des verts africains.
Pour faire de cette grand-messe sur le climat un vrai succès, la France n’a pas ménagé sa peine, allant jusqu’à dépêcher ses experts dans toute l’Afrique.
Le Bissau-Guinéen analyse la position du continent sur l’échiquier environnemental mondial. Entre la nécessité de faire entendre sa voix et l’immensité du chantier à venir.
François Hollande a réuni mardi matin une douzaine de chefs d’État africains pour un sommet consacré aux défis immédiats du continent face au changement climatique. L’occasion de rappeler les inquiétudes de l’Afrique, et d’appeler aux financements.
Paris promet deux milliards d’euros à l’Afrique d’ici à 2020 pour développer des énergies renouvelables, a annoncé le président français François Hollande mardi lors d’un sommet avec des dirigeants africains, en marge de la COP21, au Bourget près de Paris.
Les délégations de 195 pays entament mardi leurs tractations à la conférence mondiale de Paris sur le climat en vue d’un accord pour limiter le réchauffement climatique.
La COP 21 s’est ouverte lundi avec les déclarations, limitées à quelques minutes, de l’ensemble des chefs d’État présents à Paris. Voici les principales déclarations des présidents africains.
De toutes les régions du monde, le continent est le plus affecté par le réchauffement de la planète. Il en est pourtant le dernier responsable. À Paris, ses États vont réclamer justice.
Du 30 novembre au 11 décembre, les pays du monde entier se réunissent à Paris pour faire face au dérèglement climatique. Reste à savoir s’ils sauront dépasser le stade des bonnes intentions.
Une vingtaine de chefs d’État et de gouvernement, dont une douzaine d’Africains, vont se réunir mardi matin en marge de la COP21, à Paris, pour évoquer notamment le phénomène de la désertification et l’accès aux énergies vertes sur le continent.
Plus de 20 pays africains sillonnés en 18 mois pour arracher des promesses aux chefs d’État : Annick Girardin a très tôt pris le flambeau tricolore pour préparer la 21e conférence des parties (COP21) qui se tiendra à Paris, entre le 30 novembre et le 11 décembre. Et le plus dur reste à faire. La secrétaire d’État au Développement et à la Francophonie a répondu aux questions de Jeune Afrique.
En dépit des attentats qui ont frappé Paris, les chefs d’État africains attendus maintiennent leur participation à la Conférence sur le climat. Mais le sommet sera finalement express et ultrasécurisé.
La Banque mondiale a annoncé mardi un plan d’action de 16 milliards de dollars d’ici 2020, pour aider l’Afrique à lutter contre le changement climatique.
En 20 ans, les catastrophes climatiques ont coûté la vie de quelque 600 000 personnes, a annoncé l’ONU lundi 23 novembre. Conséquence : les Nations unies ont souligné l’urgence de parvenir à un accord lors de la COP21 pour endiguer les épisodes climatiques extrêmes, qui n’épargnent pas l’Afrique.