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À l’heure où l’épidémie de coronavirus arrive sur le continent africain, de nombreuses fausses informations circulent sur l’épidémie. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre les effets d’une « infodémie » néfaste. Top 10 des « fake news » en circulation.
Les médecins et autres spécialistes des maladies infectieuses sont unanimes à noter que le coronavirus fait plus de peur que de mal. L’épidémie se transmet vite, contamine beaucoup, mais tue peu.
L’Afrique du Sud évacuera d’ici « sept à dix jours » quelque 151 de ses citoyens de la ville chinoise de Wuhan, l’épicentre de l’épidémie de coronavirus qui s’est étendue à une soixantaine de pays, a annoncé dimanche son gouvernement.
Un cas de contamination au nouveau coronavirus, un ressortissant italien, a été confirmé jeudi 27 février à Lagos, la capitale économique du Nigeria. C’est le premier cas officiellement identifié en Afrique subsaharienne.
Face à la propagation du coronavirus en Italie, où vivent près de 200 000 ressortissants tunisiens, et après la confirmation d’un cas en Algérie, la Tunisie renforce son dispositif de prévention.
Les autorités algériennes ont annoncé mardi l’identification d’un premier cas de coronavirus dans le pays. Il s’agit d’un ressortissant italien arrivé à Alger le 17 février.
Le coronavirus est, sans conteste, la grande préoccupation du moment et peut-être, les historiens le diront plus tard, l’événement de la décennie. Il s’est déclaré en Chine il y a près de deux mois. Jusqu’ici, il ne s’est pas répandu dans le pays où il est apparu et n’a pas vraiment franchi ses frontières. Il a donc été contenu, et l’on espère le vaincre en avril.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a alerté samedi sur la vulnérabilité des systèmes de santé sur le continent, mal équipés pour affronter l’épidémie en cas de contaminations.
Bien que relativement épargné par l’épidémie, le continent en subit les conséquences économiques, notamment du fait de la limitation au strict minimum des déplacements des personnes et de la chute des cours des matières premières.
Pour le Cameroun, comme pour les pays africains au profil similaire, les temps qui s’ouvrent s’annoncent périlleux. En l’absence d’un coup de pouce du destin, le coronavirus pourrait bien faire des victimes politiques considérables en Afrique.
Sauf accident, on viendra à bout du coronavirus dans les prochaines semaines grâce au partenariat qui s’est noué entre la Chine et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), que dirige l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Soupçonné à tort de complaisance à l’égard de la Chine dans sa gestion de l’épidémie, le patron éthiopien de l’OMS durcit le ton à mesure que le nombre de malades augmente.
Du Maroc à la Centrafrique, cartographie des zones du continent les plus exposées au coronavirus et les pays les mieux armés pour résister à l’épidémie.
GSMA, l’association professionnelle mobile qui organise chaque année le plus grand salon mondial de la téléphonie mobile, a décidé d’annuler l’édition 2020 de l’événement qui devait se tenir à Barcelone du 24 au 27 février, du fait de « l’inquiétude mondiale concernant l’épidémie de coronavirus ». Un dizaine de géants du secteur, comme Facebook et Nokia, s’étaient retirés.
Pour le président américain, l’épidémie de coronavirus disparaîtra au printemps grâce aux premières chaleurs dans les pays concernés. La canicule africaine conférerait-elle alors un atout sanitaire au continent ?
Si l’Afrique est à ce jour le seul continent épargné par le virus 2019-nCoV, beaucoup estiment qu’elle finira par être touchée à son tour, et soulignent l’impact économique de l’épidémie. Une inquiétude justifiée ?
Le sort de treize étudiants sénégalais actuellement confinés à Wuhan, épicentre de l’épidémie de coronavirus, inquiète beaucoup leurs familles et proches. Alors que les autorités sénégalaises affirment ne pas être en capacité de rapatrier leurs ressortissants actuellement bloqués en Chine, l’un d’entre eux raconte sa vie de reclus et ses espoirs de retour.
Un jeune Camerounais étudiant à Jingzhou a contracté le coronavirus. L’annonce a créé une vague d’effroi parmi les proches des ressortissants camerounais vivant en Chine, malgré les assurances données tant par les autorités camerounaises que par la représentation diplomatique chinoise.
Tandis que plusieurs pays africains ont commencé à rapatrier leurs ressortissants installés en Chine, Macky Sall a estimé le rapatriement des Sénégalais de Wuhan « hors de portée du Sénégal ».
Si aucun cas de coronavirus n’a été signalé dans les pays du Maghreb, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc annoncent de nouvelles mesures de prévention face à l’épidémie de pneumonie qui a contaminé près de 17 500 personnes à travers le monde.
Le 22 janvier, le Nigeria a pris des mesures strictes pour empêcher le coronavirus de s’étendre à son territoire. Le 25, un premier cas suspect était détecté à Abidjan. Depuis, plusieurs pays du continent ont annoncé qu’ils renforçaient la surveillance dans leurs aéroports.
Le Maroc a rapatrié dimanche 167 ressortissants qui se trouvaient à Wuhan, épicentre de l’épidémie du nouveau coronavirus en Chine, et les a placés dans des structures hospitalières où ils resteront « 20 jours » sous surveillance médicale.
Royal Air Maroc, RwandAir, Kenya Airways,… les compagnies aériennes africaines qui desservent la Chine, en proie à une épidémie de coronavirus, ont décidé de suspendre leurs liaisons. Pour l’heure, seule Ethiopian Airlines a choisi de maintenir ses vols, cependant qu’Air Algérie a finalement pris la décision, quelques jours après, de mettre un terme provisoire aux dessertes.
Les tests effectués sur l’étudiante ivoirienne arrivée de Pékin et placée en quarantaine le 25 janvier sont négatifs, ont annoncé les autorités. D’autres cas suspects ont été détectés au Kenya, en Éthiopie et au Soudan.
Face à l’épidémie de coronavirus, et même si aucun infection confirmée n’a été signalée à ce jour sur le continent, plusieurs pays ont annoncé des mesures spécifiques. À ce jour, le virus a fait 132 victimes dans le monde.
L’épidémie de pneumonie virale qui s’est déclenchée fin décembre en Chine s’est répandue dans le monde, contaminant plus de 2 700 personnes. L’Afrique, qui entretient d’importantes relations commerciales avec la Chine, surveille avec attention l’évolution de la situation.
Le coronavirus fait un nouveau mort et pour la première fois en Afrique du Nord, en Tunisie. À ce jour, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a recensé 20 cas d’infection mortels dont 16 en Arabie Saoudite.
La panique a commencé à gagner, lundi 13 mai, les habitants de l’est de l’Arabie saoudite où ont été recensés la majorité des cas de coronavirus, proche du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) qui avait causé la mort, en 2003, de plus de 800 personnes en Chine. L’OMS lance un appel à la vigilance.