Coup d’État au Niger

Le président Mohamed Bazoum a été renversé, le 26 juillet 2023, par des éléments de sa garde présidentielle. Leur commandant, le général Abdourahamane Tiani, a été proclamé chef de l’État le 28 juillet, après être parvenu à rallier à sa cause le reste de l’armée. La Cedeao entend rétablir Mohamed Bazoum dans ses fonctions et étudie « toutes les options », y compris militaires.

Le chef de l’État nigérian, et président de la Cedeao, Bola Tinubu, après sa prestation de serment, à Abuja, le 29 mai 2023. © Temilade Adelaja/REUTERS

Bola Tinubu face au choix des armes

Manifestation de partisans du CNSP, place de la Concertation à Niamey, le 20 août 2023. © AFP

Au Niger, le régime militaire expulse l’ambassadeur de France

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Mohamed Bazoum (à g.) et Sani Issoufou, fils de Mahamadou Issoufou. © Montage JA ; Tagaza Djibo pour JA ; Vincent Fournier pour JA

Coup d’État au Niger : et si le pétrole expliquait tout ?

Le général Abdourahamane Tiani. © Montage JA ; AFP

Au Niger, Bazoum, Tiani et les milliards de la discorde

Mohamed Bazoum (à g.) et Mahamadou Issoufou, à Tahoua, le 5 août 2019. © Montage JA ; Louis Vincent

Entre Bazoum et Issoufou, les masques sont-ils tombés ?

Le symbole de l’Union africaine lors de la 39e session ordinaire du conseil exécutif à Addis-Abeba, le 14 octobre 2021. © EDUARDO SOTERAS/AFP

Coup d’État au Niger : au cœur de la (non) décision du CPS de l’Union africaine

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Ambassade du Niger © Christel Jeanne pour JA

Coup d’État au Niger : le conflit se joue (aussi) à Paris

Manifestation de soutien aux putschistes, à Niamey, le 30 juillet 2023. © AFP

Coup d’État au Niger : le Maroc ou la diplomatie du silence

Moussa Salaou Barmou (à g.), chef d’état-major des armées du Niger, et Christopher Gwabin Musa, son homologue nigérian.

Entre le Niger et le Nigeria, l’affrontement aura-t-il lieu ?