Près de 14 ans après le crash d’un Boeing 737 qui s’était abîmé au large de Charm el-Cheikh en Égypte, faisant 148 morts dont 134 Français, le juge français en charge de l’enquête a ordonné un non-lieu, a-t-on appris ce lundi.
Paris a annoncé que les dépouilles de sept Français et d’une Égyptienne, tués lors du crash d’un vol Egyptair au mois de mai dernier, ont été rapatriés en France mardi.
Des traces d’explosifs ont été détectées sur des restes de victimes du crash d’e l’avion de la compagnie EgyptAir reliant Paris au Caire le 19 mai dernier, a indiqué jeudi le ministère égyptien de l’aviation. Les enquêteurs français se sont montrés circonspects face à ces révélations.
Le mot « feu » a été capté par un enregistreur de vol de l’appareil EgyptAir avant que celui-ci s’abîme en Méditerranée en mai, a annoncé samedi une commission d’enquête dirigée par l’Égypte.
Les experts qui enquêtent sur le crash du vol d’EgyptAir, abîmé en Méditerranée en mai, ont annoncé mardi avoir besoin de plus de temps pour analyser les informations avant de pouvoir tirer des « conclusions très élémentaires ».
Un jour après la découverte de la première boîte noire de l’Airbus d’EgyptAir qui s’est abîmé en mer Méditerranée le 19 mai dernier, la seconde a été repêchée, a-t-on appris vendredi. De quoi aider les enquêteurs à faire toute la lumière sur ce drame.
La commission d’enquête égyptienne a indiqué mercredi que des débris de l’Airbus d’Egyptair abîmé en Méditerranée le 19 mai dernier ont été localisés « sur plusieurs sites ». Les boîtes noires, qui cesseront d’émettre le 24 juin, restent introuvables.
Le signal détecté mercredi en mer Méditerranée est bien celui d’une des deux boîtes noires du vol Egyptair qui s’est abîmé en mer le 19 mai entre la Crète et la côte nord de l’Égypte pour une raison encore indéterminée.
Les recherches se poursuivaient activement dimanche en Méditerranée trois jours après le crash du vol Paris- Le Caire d’EgyptAir pour localiser les précieuses « boîtes noires » qui aideront peut être à trancher entre la thèse de l’accident et celle de l’attentat.
La France a réaffirmé que tous les scénarios restaient à l’étude sur les causes du crash de l’Airbus A320 d’Egyptair qui s’est abîmé en Méditerranée, après la confirmation samedi de la présence de fumée à bord de l’appareil avant la catastrophe.
Le Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) a confirmé que l’A320 d’EgyptAir qui s’est abîmé en Méditerranée jeudi a transmis des messages automatiques « Acars » indiquant qu’il y a eu de la fumée en cabine, mais estimé qu’il était trop tôt pour interpréter ces éléments.
Dans un communiqué publié vendredi, l’armée égyptienne a annoncé avoir trouvé, « à 290 km au nord d’Alexandrie », des effets personnels des passagers et des débris de l’Airbus A 320 d’EgyptAir, qui s’est abîmé en mer dans la nuit de mercredi à jeudi.
Plus de 24 heures après la disparition de l’avion d’EgyptAir dans la nuit de mercredi à jeudi au dessus de la Méditerranée, les opérations se poursuivent pour retrouver l’épave de l’appareil. Si plusieurs pistes sont avancées, aucune n’est confirmée. Le point sur la situation.
Trente Égyptiens et 15 Français voyageaient à bord du vol EgyptAir reliant Paris au Caire. Celui-ci s’est abîmé en mer Méditerranée jeudi avec 66 personnes à bord, ont confirmé les autorités françaises et égyptiennes.