Après des mois de réserve depuis le rejet de sa candidature à la présidence du parti en décembre 2023, celui qui était le bras droit d’Henri Konan Bédié multiplie les sorties médiatiques et les activités politiques.
Cette rencontre avec l’ancien chef d’État ivoirien s’inscrit dans une volonté de dialogue de la diplomatie française avec les différents acteurs politiques du pays, à moins d’un an de l’élection présidentielle.
L’ancien Premier ministre de Laurent Gbagbo a également été reconduit à la tête de son parti sur fond de tensions au sein de la formation, à l’issue du congrès qui s’est tenu les 8 et 9 novembre à Yamoussoukro.
La Côte d’Ivoire étant régulièrement la cible de campagnes de désinformation, le chef de l’État a décidé de muscler le dispositif existant et de créer une vaste structure dédiée à la cybercriminalité.
Déjà en pré-campagne, le successeur d’Henri Konan Bédié à la tête du PDCI s’appuie sur sa compagne, de plus en plus présente sur le devant de la scène.
Le bras de fer entre Pascal Affi N’Guessan et Pierre Dagbo Godé au sein du Front populaire ivoirien se déporte sur le terrain judiciaire. Où il est question de la stratégie du parti à l’égard du pouvoir, mais aussi des ambitions personnelles à un an de la présidentielle.
Le secrétaire général du PPA-CI accuse le RHDP au pouvoir de vouloir « intimider toute opposition politique », estimant qu’il s’agit d’une « dérive dictatoriale », à un an de l’élection présidentielle de 2025.
Une rencontre organisée le 2 octobre autour de la révision de la liste électorale, entre le président de la CEI et les partis et organisations de la société civile, a donné lieu à des débats houleux. Et pour cause, le sujet est l’un des grands enjeux, à un an de la présidentielle d’octobre 2025.
Révision du fichier électoral en Côte d’Ivoire, réinscription de Laurent Gbagbo sur la liste, équilibres politiques au sein de la Commission électorale indépendante (CEI) qu’il préside… Entretien vidéo avec Ibrahime Coulibaly-Kuibiert à un an de la présidentielle de 2025.
L’opposition ivoirienne (hors PPA-CI) s’est de nouveau rassemblée à Bonoua, cette fois à l’appel de l’ex-première dame. Elle réclame des réformes électorales et un dialogue politique, à un an de la présidentielle.
Plusieurs partis d’opposition, dont le PDCI, le MGC et le Cojep, réclament une profonde réforme du processus électoral en vigueur, qu’ils estiment être « une source majeure de conflits ». Ils se sont réunis le 21 septembre à Bonoua pour adopter une déclaration commune.
Le président du Front populaire ivoirien dit ne pas regretter ce rapprochement opéré avec le parti au pouvoir en mai 2023, mais concède que sa formation en ressort affaiblie à un an de l’élection présidentielle.
La prochaine élection présidentielle aura lieu dans un peu plus d’un an, et les adversaires d’Alassane Ouattara réfléchissent déjà à leur stratégie. De retour à Abidjan, le président du PDCI relance le débat sur les conditions d’une alliance efficace.
La nièce et assistante de l’ex-première dame, qui entend s’ancrer dans la politique locale, appelle les oppositions à « faire bloc » pour la présidentielle de 2025.
Face au camp du président Alassane Ouattara, les opposants ont mis de côté leur divergences pour se mobiliser massivement afin d’exiger une réforme électorale avant l’élection d’octobre 2025. Explications.
Le traditionnel discours du président ivoirien, prononcé dans le cadre des festivités de l’indépendance, était très attendu. S’il a fait quelques annonces d’ordre social, il est resté muet sur ses ambitions politiques.
Pressé de dévoiler son intention de briguer, ou non, un quatrième mandat en octobre 2025, le chef de l’État ivoirien affiche sa sérénité. Sauf que du côté du parti au pouvoir, certains trépignent d’impatience…
L’élection présidentielle de 2025 en ligne de mire, le président du Front populaire ivoirien (FPI) multiplie les sorties critiques à l’égard du pouvoir, avec qui il avait pourtant signé un « accord de partenariat » en mai 2023.
De retour sur une scène politique transformée, toujours inéligible et privé de sa machine de guerre désormais en miettes, l’ancien chef de l’État ivoirien veut se présenter à la présidentielle malgré tout. Une potentielle quatrième candidature qui pose la question du renouvellement générationnel et de l’alternance au sein des formations politiques d’opposition en Afrique.
De passage à Paris à l’occasion de VivaTech, grand-messe européenne des nouvelles technologies, le ministre de la Jeunesse et porte-parole adjoint du gouvernement revient sur l’appel du RHDP à une candidature du chef de l’État à la présidentielle de 2025.
L’archidiocèse d’Abidjan, l’un des plus influents de Côte d’Ivoire, sera dirigé dès le mois d’août par Mgr Ignace Bessi Dogbo. Connu pour ses positions tranchées, cet ancien président de la Conférence épiscopale n’avait pas hésité à interpeller le président Alassane Ouattara, avant l’élection de 2020.
Alassane Ouattara n’a pas dit s’il comptait se représenter en 2025, mais les manifestations en faveur d’une éventuelle candidature se multiplient. Pilotées par des barons locaux de la majorité, elles ont le soutien de l’exécutif ivoirien.
Devant des centaines de militants réunis dimanche 12 mai, l’opposant a réaffirmé qu’il faudra compter sur lui lors de la présidentielle de 2025. Mais comme son ancien mentor Laurent Gbagbo, il demeure inéligible.
Alassane Ouattara, Tidjane Thiam, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, Guillaume Soro… À un an et demi du scrutin, les états-majors politiques – et l’ensemble des Ivoiriens – cherchent à savoir qui pourrait composer la « short list » de candidats, et confrontent les scénarios.
En Côte d’Ivoire, l’opposant à Alassane Ouattara fait un pas de plus vers l’officialisation de sa candidature à la présidentielle. Après avoir noué un partenariat avec le pouvoir en mai 2023, il souhaite incarner l’alternance.
Le président ivoirien va-t-il briguer un nouveau mandat en 2025 ? Si Alassane Ouattara n’a pas dévoilé ses intentions, ses partisans le désignent comme leur « candidat naturel ». Décryptage en vidéo.
Présidentielle de 2025, arrivée de Tidjane Thiam à la tête du PDCI, opérations de déguerpissement à Yopougon… Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne répond aux questions de Jeune Afrique.
Choisi par le nouveau président – dont il a dirigé la campagne avec succès – pour l’épauler à la tête du parti, le maire de Port-Bouët devra travailler à resserrer les rangs, malgré des prérogatives encore plus réduites que celles de son prédécesseur.
La compétition électorale en vue du scrutin de 2025 semble aujourd’hui se réduire à un face-à-face entre deux acteurs principaux : le RHDP d’Alassane Ouattara et le PDCI de Tidjane Thiam. À moins que…
L’ancien président ivoirien a accepté, samedi 9 mars, de représenter le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI) en 2025. Pourtant, Laurent Gbagbo reste officiellement inéligible.