Pressé de dévoiler son intention de briguer, ou non, un quatrième mandat en octobre 2025, le chef de l’État ivoirien affiche sa sérénité. Sauf que du côté du parti au pouvoir, certains trépignent d’impatience…
L’élection présidentielle de 2025 en ligne de mire, le président du Front populaire ivoirien (FPI) multiplie les sorties critiques à l’égard du pouvoir, avec qui il avait pourtant signé un « accord de partenariat » en mai 2023.
De retour sur une scène politique transformée, toujours inéligible et privé de sa machine de guerre désormais en miettes, l’ancien chef de l’État ivoirien veut se présenter à la présidentielle malgré tout. Une potentielle quatrième candidature qui pose la question du renouvellement générationnel et de l’alternance au sein des formations politiques d’opposition en Afrique.
De passage à Paris à l’occasion de VivaTech, grand-messe européenne des nouvelles technologies, le ministre de la Jeunesse et porte-parole adjoint du gouvernement revient sur l’appel du RHDP à une candidature du chef de l’État à la présidentielle de 2025.
L’archidiocèse d’Abidjan, l’un des plus influents de Côte d’Ivoire, sera dirigé dès le mois d’août par Mgr Ignace Bessi Dogbo. Connu pour ses positions tranchées, cet ancien président de la Conférence épiscopale n’avait pas hésité à interpeller le président Alassane Ouattara, avant l’élection de 2020.
Alassane Ouattara n’a pas dit s’il comptait se représenter en 2025, mais les manifestations en faveur d’une éventuelle candidature se multiplient. Pilotées par des barons locaux de la majorité, elles ont le soutien de l’exécutif ivoirien.
Devant des centaines de militants réunis dimanche 12 mai, l’opposant a réaffirmé qu’il faudra compter sur lui lors de la présidentielle de 2025. Mais comme son ancien mentor Laurent Gbagbo, il demeure inéligible.
Alassane Ouattara, Tidjane Thiam, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, Guillaume Soro… À un an et demi du scrutin, les états-majors politiques – et l’ensemble des Ivoiriens – cherchent à savoir qui pourrait composer la « short list » de candidats, et confrontent les scénarios.
En Côte d’Ivoire, l’opposant à Alassane Ouattara fait un pas de plus vers l’officialisation de sa candidature à la présidentielle. Après avoir noué un partenariat avec le pouvoir en mai 2023, il souhaite incarner l’alternance.
Le président ivoirien va-t-il briguer un nouveau mandat en 2025 ? Si Alassane Ouattara n’a pas dévoilé ses intentions, ses partisans le désignent comme leur « candidat naturel ». Décryptage en vidéo.
Présidentielle de 2025, arrivée de Tidjane Thiam à la tête du PDCI, opérations de déguerpissement à Yopougon… Le président de l’Assemblée nationale ivoirienne répond aux questions de Jeune Afrique.
Choisi par le nouveau président – dont il a dirigé la campagne avec succès – pour l’épauler à la tête du parti, le maire de Port-Bouët devra travailler à resserrer les rangs, malgré des prérogatives encore plus réduites que celles de son prédécesseur.
La compétition électorale en vue du scrutin de 2025 semble aujourd’hui se réduire à un face-à-face entre deux acteurs principaux : le RHDP d’Alassane Ouattara et le PDCI de Tidjane Thiam. À moins que…
L’ancien président ivoirien a accepté, samedi 9 mars, de représenter le Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (PPA-CI) en 2025. Pourtant, Laurent Gbagbo reste officiellement inéligible.
L’ex-président ivoirien et opposant Laurent Gbagbo a accepté samedi 9 mars d’être candidat à l’élection présidentielle de 2025, selon son parti. Il est pourtant inéligible.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a procédé à une série de nominations. Sylvestre Emmou, qui fut son directeur de campagne, devient secrétaire exécutif en chef de la formation d’opposition.
La question de la candidature du chef de l’État, 82 ans, à la présidentielle de 2025 est déjà sur toutes les lèvres. À Abidjan, le grand jeu des pronostics politiques est ouvert.
Financement du parti, remobilisation des cadres et des militants, programme pour la présidentielle de 2025, organisation des obsèques de Bédié… Pour le nouveau patron du premier parti d’opposition, les défis sont nombreux.
L’ex-banquier franco-ivoirien au parcours prestigieux, qui vit à l’étranger depuis une vingtaine d’années, brigue la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avec, dans son viseur, la présidentielle de 2025.
L’élection présidentielle de 2025 en Côte d’Ivoire « ne s’écrira pas sans moi », a affirmé samedi Charles Blé Goudé, président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep).
Noël Akossi Bendjo, Maurice Kakou Guikahué, Tidjane Thiam, Jean-Marc Yacé… Plusieurs candidats brigueront la présidence du Parti démocratique de Côte d’Ivoire lors du congrès électif qui se tiendra le 16 décembre à Abidjan.
Les élections régionales et municipales se tiendront à la fin de l’année en Côte d’Ivoire. Un test grandeur nature pour les principaux partis politiques et leurs leaders, qui ont déjà tous la prochaine présidentielle en tête.
Au terme d’une campagne électorale boycottée par l’opposition et au bout d’une nuit électrique, le président sortant Alassane Ouattara a été réélu à un troisième mandat avec 94,27% , selon les résultats officiels provisoires annoncés par la Commission électorale indépendante.
Sans surprise, Henri Konan Bédié, 86 ans, a « accepté » d’être candidat à l’investiture du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) pour la présidentielle d’octobre. Une décision officialisée ce samedi à Abidjan.
Dans de nombreux pays d’Afrique subsaharienne, les personnalités qui souhaitent être candidats à une élection présidentielle doivent notamment payer une caution. Si celle-ci est une formalité pour certains, elle peut être un vrai frein pour des petits candidats.
Selon les résultats communiqués par la CEI, Alassane Ouattara a recueilli 83,66 % des suffrages à la présidentielle du 25 octobre. Il devance le candidat du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan (9,29 %), et Kouadio Konan Bertin (KKB, 3,88 %). Découvrez dans une carte interactive, région par région, les résultats de chaque candidat et le taux de participation.
Bien que la loi ne prévoie aucun plafond pour les dépenses, le président promet de se limiter et assure ne pas profiter des facilités de l’État. Ses rivaux en doutent.
Le bureau d’inscription de la Commission électorale indépendante (CEI) a fermé ses portes mardi 25 août en fin d’après-midi. Au total, ils sont 33 à avoir déposé leurs dossiers de candidature en vue de l’élection présidentielle d’octobre. Jeune Afrique a dressé le portrait des principaux candidats.
Le représentant du Secrétaire général de l’ONU, Young Jin-Choi, maintient que les résultats provisoires de la CEI plaçant Alassane Dramane Ouattara (ADO) en tête de l’élection présidentielle ivoirienne sont valides, alors que le Conseil constitutionnel a déclaré Laurent Gbagbo vainqueur. L’ONU a donc certifié la victoire de ADO, l’UE et Guillaume Soro reconnaissant également la victoire de l’opposant.