Après Al Joumhouri et Afek Tounes, c’est au tour du parti de Mohsen Marzouk de se désolidariser du gouvernement de Youssef Chahed. Il demande un changement de gouvernement et la réforme de la Constitution pour réviser la répartition des pouvoirs.
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi a rencontré samedi les responsables des partis au pouvoir, de la centrale syndicale et du patronat pour discuter des moyens de sortir de la crise après des troubles alimentés par des mesures d’austérité, mais aucune mesure concrète n’a été annoncée.
Mardi, de nouveaux heurts ont eu lieu dans plusieurs villes de Tunisie. Le Premier ministre a appelé au calme et assuré que tout acte de vandalisme et de pillage serait sanctionné.
Rien ne va plus entre les deux principales composantes politiques du paysage politique tunisien. À la veille des municipales, prévues le 6 mai prochain, le parti d’Hafedh Caïd Essebsi a déclaré que les islamistes seront désormais ses concurrents et non ses alliés.
Alors que la majorité traverse une crise politique, le président de la République veut resserrer les rangs. Il a convoqué les signataires de l’accord de 2016 à une réunion ce vendredi, au Palais de Carthage, sans pour autant donner l’ordre du jour.
Les Tunisiens devront débourser près de 300 dinars par mois (environ 100 euros) et par foyer pour faire face aux hausses des prix. Une situation provoquée par l’entrée en vigueur de la loi de finance 2018, qui prévoyait une importante majoration de la TVA.
Le sulfureux blogueur, proche de l’islamisme radical, est désormais député de la circonscription d’Allemagne. Une élection qui suscite de nombreuses interrogations.
Les premières élections municipales de l’après-révolution de 2011, déjà reportées, ont été à nouveau repoussées samedi de quelques semaines et fixées au 6 mai 2018, a indiqué l’instance chargée d’organiser le scrutin.
Pour la quatrième fois, le premier scrutin local depuis la chute de Zine El Abidine Ben Ali a été reporté. Les trois partis au pouvoir évoquent des contraintes techniques et la non-consultation des mouvements politiques.
Malgré l’opposition de nombreux acteurs politiques, qui dénonçaient l’aggravation de la pression fiscale inscrite dans le projet de loi de finances 2018, le texte a été adopté samedi, dans son intégralité et à une large majorité.
Lors de son 10e congrès, en mai 2016, Ennahdha avait fait son aggiornamento en délaissant les activités de prédication pour se recentrer sur le volet strictement politique et se muer en parti civil.
À cinq mois des élections municipales, Mohamed Tlili Mansri prend les rênes d’une instance qui a eu du mal à élire son dirigeant. C’est sans compter un paysage politique en pleine recomposition.
Le 30 octobre, le Parlement tunisien a une fois de plus échoué à élire un nouveau président à la tête de l’instance électorale, à cinq mois de la date prévue pour les premières élections municipales de l’après-révolution.
D’abord prévues pour décembre 2017 puis reportées à la demande de certains partis, les premières élections municipales de l’après-révolution de 2011 en Tunisie ont été fixées au 25 mars prochain.
Les premières élections municipales de l’après-révolution sont reportées à une date indéterminée, a annoncé lundi soir l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Prévues le 17 décembre prochain, les premières élections municipales de l’après-révolution vont être reportées, « probablement en mars 2018 », a annoncé le chef du parti islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi. Une nouvelle date devrait être annoncée ce lundi.
Plusieurs partis politiques ont appelé ce mardi au report des municipales prévues le 17 décembre prochain. Il s’agit des premières élections locales depuis la révolution de 2011, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi.
L’inscription sur les listes électorales pour les municipales prévues le 17 décembre en Tunisie, les premières de l’après-révolution, a commencé lundi 19 juin après des mois de remous autour de ce scrutin.
Les premières locales de l’après-révolution se tiendront le 17 décembre, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi. Même si ni les formations politiques ni les institutions chargées de l’encadrer ne sont tout à fait prêtes, le scrutin est très attendu.
À sept mois des premières élections municipales de l’après-révolution, le chef de l’instance électorale en Tunisie, Chafik Sarsar, a démissionné brutalement ce mardi. Il a simplement évoqué des divergences de fond au sein du comité exécutif de l’instance.
Les premières élections municipales de l’après-révolution, attendues de longue date afin de consolider la transition démocratique en Tunisie, auront lieu le 17 décembre 2017, a annoncé ce lundi le président de l’instance électorale Chafik Sarsar.
L’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE) a proposé mardi la date du 26 novembre 2017 pour la tenue des élections municipales en Tunisie, les premières depuis la révolution de 2011. Un calendrier qui, malgré son urgence, ne fait toujours pas l’unanimité.
Les premiers scrutins municipaux de l’après-révolution se tiendront d’ici la fin de l’année en Tunisie, grâce au déblocage intervenu la veille au Parlement, a confirmé Chafik Sarsar, le président de l’Instance électorale (Isie).
Plus de six ans après sa révolution, la Tunisie peine encore à organiser des élections municipales. Déjà décalées au 26 mars 2017, celles-ci devraient être une nouvelle fois repoussées à cause du retard pris au parlement.
Le principe de parité horizontale et verticale a été adopté par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) en vue des prochaines élections municipales, qui devraient se tenir le 26 mars 2017.
Prévues en mars 2016, les élections municipales en Tunisie devraient se tenir finalement le 26 mars 2017, a annoncé l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE). Une étape importante pour accompagner la décentralisation et la gouvernance participative des collectivités locales inscrites dans la constitution adoptée en 2014.
La Tunisie se dirige vers la tenue d’élections municipales en mars 2017, soit plus de six ans après sa révolution, a déclaré Chafik Sarsar, le président de l’instance électorale.