Arrêté le 8 septembre à l’aéroport de Ndjili, en RDC, Stanis Bujakera Tshiamala, correspondant de Jeune Afrique, collaborateur de l’agence Reuters et cofondateur du média Actualité.cd, est accusé de « faux en écriture, falsification des sceaux de l’État », « propagation de faux bruits », et « transmission de messages erronés et contraires à la loi ».
Auditionné à plusieurs reprises, il a été placé sous mandat d’arrêt provisoire le 11 septembre, puis transféré à la prison de Makala trois jours plus tard. Il est, depuis, en détention préventive, privé de ses téléphones et de son ordinateur qui ont été confisqués au moment de son arrestation. Les accusations portent sur le contenu d’un article sur l’assassinat du député d’opposition Chérubin Okende.
Article que Stanis Bujakera Tshiamala n’a pas signé.
Les autorités contestent l’authenticité du document attribué à l’Agence nationale de renseignement sur lequel se base le texte en question. Cette situation a suscité une vague d’indignation et de messages de soutien émanant de plusieurs dizaines de personnalités. Ces dernières ont toutes dénoncé une atteinte grave à la liberté de la presse, à trois mois des élections censées se tenir le 20 décembre en RDC.
La cellule investigation de Reporters sans frontières a publié le 2 novembre une enquête qui conclut que notre journaliste n’est pas l’auteur de la note de l’ANR au cœur de l’affaire. Il ne serait même pas le premier à en avoir signalé l’existence.
L’organisation a répertorié plus de 500 atteintes contre les médias, dont cinq journalistes tués, durant le mandat du président Félix Tshisekedi. Et rappelle que plusieurs journalistes sont en prison, dont notre correspondant en RDC, Stanis Bujakera Tshiamala.
Voilà plus de sept semaines que le correspondant de Jeune Afrique a été arrêté, avant d’être incarcéré pour des délits de presse en RDC. Alors que son procès doit reprendre ce vendredi 3 novembre, plus d’une dizaine de dessinateurs de presse et artistes se mobilisent pour réclamer eux aussi sa libération.
Stanis Bujakera Tshiamala, correspondant de Jeune Afrique en RDC, est incarcéré depuis le 14 septembre. Le responsable du service investigations de RSF, qui faisait partie de la délégation envoyée fin octobre à Kinshasa par l’ONG, revient pour Jeune Afrique sur la situation de notre correspondant.
Au procès de notre correspondant en RDC, le procureur a pour le moment concentré ses questions sur une note attribuée à l’Agence nationale de renseignement, dont Jeune Afrique se fait l’écho.
Alors que le procès de notre correspondant en RDC reprend ce vendredi 20 octobre, les ONG Reporters sans frontières (RSF) et Journaliste en danger (JED) appellent une nouvelle fois à sa libération.
Une nouvelle fois, la justice a refusé de libérer notre correspondant à Kinshasa, jugé pour un article mettant en cause les renseignements militaires dans le meurtre d’un opposant.
Smockey, Claudy Siar, Rama Yade, Achille Mbembe, Mamane ou encore Mia Farrow et Samantha Power… Tous réclament la libération immédiate de Stanis Bujakera Tshiamala, correspondant de Jeune Afrique à Kinshasa, incarcéré depuis le 8 septembre.
Notre correspondant en RDC est accusé de « propagation de faux bruits ». Ses avocats avaient fait appel de son placement en détention préventive. Jeune Afrique continue d’exiger sa libération immédiate.
Le chef de l’État congolais avait convié la presse à un déjeuner en marge de l’Assemblée générale des Nations unies. Les discussions ont porté sur les liens avec les États-Unis, le Rwanda, mais aussi sur Stanis Bujakera Tshiamala, notre collaborateur en détention.
Aux cris de « Libérez Bujakera ! », quelques dizaines de journalistes ont manifesté mercredi 20 septembre devant le ministère de la Justice à Kinshasa pour réclamer la libération du correspondant de Jeune Afrique détenu depuis le 8 septembre.
L’incarcération de Stanis Bujakera Tshiamala, notre correspondant à Kinshasa, est une atteinte grave à cette liberté de la presse que le président congolais dit vouloir défendre.
Notre correspondant à Kinshasa, en RDC, se trouve désormais en détention préventive à la prison de Makala, sa demande de remise en liberté ayant été rejetée. Jeune Afrique dénonce une atteinte grave à la liberté de la presse.
Notre correspondant en RDC a été emprisonné ce 14 septembre à la prison centrale de Kinshasa. Jeune Afrique continue de demander sa libération immédiate et dénonce une atteinte grave à la liberté de la presse.
Le 8 septembre, notre correspondant en RDC, Stanis Bujakera Tshiamala, a été arrêté à l’aéroport de N’Djili, à Kinshasa. Nous nous associons ici à l’appel exigeant sa libération, lancé par le collectif « Carte blanche ».
Notre correspondant en RDC a été placé sous mandat d’arrêt provisoire ce 11 septembre. Jeune Afrique continue de réclamer sa libération immédiate et dénonce une atteinte grave à la liberté de la presse.
Jeune Afrique demande la libération immédiate de son correspondant à Kinshasa, arrêté vendredi soir et questionné depuis sur un article qui ne porte pas sa signature.
Jeune Afrique a appris l’arrestation ce vendredi 8 septembre au soir de Stanis Bujakera Tshiamala, son correspondant en République démocratique du Congo.