L’ancien président tunisien Moncef Marzouki a mis en garde vendredi contre la détérioration de la situation économique et sociale dans son pays, avant de déplorer « l’échec » du pouvoir actuel.
Abdeljalil Ben Salem pourra se targuer d’avoir battu un record : celui du ministre le plus éphémère d’un gouvernement tunisien depuis près de trente ans.
La puissante centrale syndicale s’oppose au projet de budget 2017 du gouvernement et appelle à la mobilisation. Principal motif d’insatisfaction pour l’Union générale des travailleurs tunisiens : le gel des salaires des fonctionnaires, prévu pour une année au moins.
Sensibilité politique, objectifs gouvernementaux, plan de relance économique, corruption, terrorisme, relations avec la Libye et l’Algérie… Dans une grande interview à lire dans le dernier numéro de Jeune Afrique, Youssef Chahed revient sur son premier mois à la tête du gouvernement et sur les projets et défis qui l’attendent.
Dans une interview télévisée diffusée mercredi soir, Youssef Chahed est revenu plus en détail sur les urgences de son programme gouvernemental pour les mois et les années à venir.
Le ministre de l’Investissement Fadhel Abdelkéfi a tiré la sonnette d’alarme mercredi : selon lui, la Tunisie est en « état d’urgence économique », frappée par une croissance atone et des déficits publics grandissants.
Othman Battikh, le mufti de la République, a émis une fatwa contre les mouvements de protestation sociale, appelant les Tunisiens à reprendre le travail et les études. Une intervention considérée comme « une ingérence » par une partie de la société civile.
Né à la politique dans l’euphorie et le sentiment d’urgence créés par la chute de Ben Ali, le nouveau chef du gouvernement reste une énigme pour ses compatriotes. Pleins feux sur un progressiste qui garde la tête sur les épaules.
Le nouveau chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a décidé de diminuer les rémunérations de l’ensemble des ministres par « solidarité avec la Tunisie », dont l’économie est en difficulté, a annoncé le gouvernement vendredi.
Dans la formation du gouvernement d’union nationale de Youssef Chahed, les choix du chef de l’État ont été déterminants. Surprises, départs, visages inattendus… Tout ce qu’il faut savoir sur la nouvelle équipe au pouvoir.
Réunions, rencontres, conseils ministériels restreints : Youssef Chahed démarre sa première semaine à la tête de la primature sur les chapeaux de roue.
La cérémonie de passation entre Youssef Chahed, le plus jeune Premier ministre de l’histoire moderne de la Tunisie (40 ans), et son prédécesseur Habib Essid a eu lieu lundi matin. Retour en chiffres sur sa composition.
Le gouvernement proposé le 20 août par Youssef Chahed est soumis ce vendredi au vote de confiance à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), réunie en session extraordinaire. Voici ce qu’il fallait retenir du discours d’ouverture du nouveau Premier ministre.
Le secrétaire général adjoint de l’UGTT précise la position de la centrale. Et insiste sur la nécessité de constituer au plus vite un exécutif compétent pour remettre le pays sur les rails.
La nomination du consensuel Youssef Chahed, 40 ans, au poste de chef du gouvernement n’est pas exempte d’arrière-pensées politiciennes, estime un dirigeant d’un parti de la coalition sortante.
La mise en place d’un gouvernement d’union nationale ne lui suffit pas. Béji Caïd Essebsi (BCE) prépare de nouveaux changements. Tout d’abord, plusieurs de ses proches conseillers sont sur la sellette et devraient bientôt être remerciés.
Le président de la République Béji Caïd Essebsi a proposé lundi soir le nom de Youssef Chahed pour succéder à Habib Essid en vue de la formation d’un gouvernement d’union nationale.
Tout le monde annonce le départ du Premier ministre, Habib Essid, depuis de longues semaines. On le dit même en disgrâce auprès du chef de l’État. Qui est-il vraiment et quel est son bilan ?
Le chef du gouvernement tunisien Habib Essid, sous pression depuis plusieurs semaines, a officiellement demandé mercredi un vote de confiance du Parlement.
Un document censé ouvrir la voie à la formation d’un gouvernement d’union en Tunisie a été signé mercredi au palais présidentiel en l’absence du Premier ministre Habib Essid, en rupture avec le chef de l’État et dont le sort semble scellé.
Quatre ministres du gouvernement libyen d’union nationale (GNA) ont été limogés après avoir refusé d’assumer leurs fonctions, a-t-on appris vendredi. Un nouveau revers pour ce cabinet installé depuis trois mois et qui bénéficie du soutien de la communauté internationale, mais qui peine à instaurer son autorité dans le pays.
Membre du bureau exécutif de Nidaa Tounes, l’ancien patron de Nessma TV dévoile les dessous d’une crise interne qui va bien au-delà d’un désaccord autour d’un remaniement du gouvernement.