Plus de deux millions de fidèles ont entamé dimanche sous une chaleur accablante le grand pèlerinage à La Mecque, premier lieu saint de l’islam en Arabie saoudite, l’un des plus grands rassemblements religieux annuels du monde.
Quelque deux millions de musulmans effectueront leur grand pèlerinage à La Mecque, à partir du 19 août. Une expérience de plus en plus high-tech : une multitude d’applications propose aides et services pour faciliter le voyage des pèlerins.
Alors que plus de 10 000 fidèles s’apprêtent à se rendre à La Mecque et à Médine en août, retour sur un aspect bien peu spirituel de ce voyage religieux d’une vie : son coût exorbitant.
La vigilance policière et sanitaire est de mise à La Mecque pour éviter les bousculades qui, régulièrement, font de nombreuses victimes. Petit aperçu en images sur l’un des plus grands pèlerinages au monde.
Réputé premier rassemblement mondial en termes de participants, le pèlerinage de la Mecque a toujours fait saliver les organisateurs véreux. Cette année, c’est le Hajj de centaines d’Ivoiriens qui a été compromis…
Il y a un an, le 24 septembre 2015, le hajj a été le théâtre d’une énorme bousculade, particulièrement meurtrière : 717 morts, selon un bilan des autorités saoudiennes qui n’a jamais été actualisé, 2 300 selon les décomptes des gouvernements étrangers. Jeune Afrique revient sur les mesures de sécurité prises cette année.
Plus de 1,8 million de pèlerins musulmans célèbrent ce lundi l’Aïd al-Adha, la fête du Sacrifice, et se consacrent au rituel de la lapidation de Satan à Mina, l’étape la plus importante du grand pèlerinage de La Mecque.
Plus de 1,8 million de pèlerins musulmans se rassemblaient dimanche sur le Mont Arafat, près de La Mecque, pour l’étape la plus importante du hajj en Arabie saoudite, endeuillé l’année dernière par une bousculade meurtrière.
Près de 1,5 million de fidèles venus du monde entier ont entamé samedi le pèlerinage à La Mecque, point culminant du calendrier musulman, marqué l’an dernier par une bousculade meurtrière et cette année par une crise ouverte entre Ryad et Téhéran.
Avant le début des rites samedi 10 septembre, près d’un million et demi de fidèles sont déjà arrivés en Arabie Saoudite. Ils se pressaient jeudi par milliers autour de la Kabaa, la construction cubique vers laquelle se tournent les musulmans pour prier.
Le président iranien Hassan Rohani a appelé mercredi les pays musulmans à s’unir pour punir l’Arabie saoudite pour ses « crimes », en référence aux conflits en Syrie et au Yémen, mais aussi à la bousculade du 24 septembre 2015 qui s’était soldée par la mort de 2300 pèlerins, dont 464 Iraniens.
Alors que Téhéran et Ryad n’ont pas réussi à trouver un accord concernant la venue des pèlerins iraniens lors du hajj de cette année, le guide suprême iranien a violemment critiqué lundi les dirigeants saoudiens et exhorté les musulmans à reconsidérer la gestion des lieux saints par Ryad.
At least 39 female Ghanaian Muslim pilgrims travelling for Hajj in the Saudi Arabian city of Mecca have been repatriated because they had no male relatives escorting them, a statement from Ghana’s Pilgrims office (PAOG) said on Monday.
Policiers, caméras de surveillance, bracelets électroniques pour les pèlerins… Le gouvernement saoudien a prévu de nouvelles mesures de sécurité pour empêcher la répétition des bousculades qui ont endeuillé la Mecque l’année dernière.
Les premiers pèlerins tunisiens ont embarqué lundi pour l’Arabie Saoudite pour y effectuer les rituels du hajj 2016, un des plus grands rassemblements au monde. Jeune Afrique a suivi ce grand départ.
Alors que les premiers des 80 000 pèlerins musulmans ont commencé à s’envoler vers la Mecque lundi soir, une polémique enflait mardi au Nigeria sur les subventions que leur accorde l’État, en pleine crise économique.
Suite à la bousculade meurtrière de septembre 2015 qui a fait plus de 2297 morts, l’Arabie saoudite mettra à la disposition des pèlerins des bracelets électroniques pour pouvoir les identifier. Outre leurs données personnelles, ces appareils seront dotés d’un GPS.
Débat, mardi dernier, à la radio marocaine privée Luxe Radio, à Casablanca. Autour de la table, Samba, un étudiant mauritanien, un musicien juif de Casablanca (le fameux Karoutchi), une diplomate de haut vol dont on respectera l’anonymat, un militant passionné du dialogue des cultures, appelons-le Ahmed, et puis votre serviteur, invité on ne sait pourquoi, ainsi que l’archevêque de Rabat, Mgr Landel.
L’Iran a annoncé dimanche qu’il n’enverrait pas cette année de pèlerins au hajj à La Mecque en Arabie saoudite, en accusant les autorités saoudiennes d’entraves, dernière crise en date entre les deux grands rivaux régionaux.
Plus de 2 100 personnes sont mortes dans la bousculade au pèlerinage de La Mecque le 24 septembre, selon des chiffres officiels donnés par 34 pays. Il s’agit désormais de la catastrophe la plus meurtrière de l’histoire moderne du hajj.
Le bilan de la bousculade survenue le 24 septembre à La Mecque en Arabie Saoudite s’élève désormais à près de 1600 morts, faisant de ce drame la catastrophe la plus meurtrière du hajj.
Le mouvement de foule meurtrier a provoqué la mort jeudi de 717 personnes, faisant également plus de 850 blessés. Parmi ces victimes, des pèlerins africains dont on ignore encore le nombre exact.
Au lendemain du mouvement de foule particulièrement meurtrier, qui a provoqué la mort de plus de 700 personnes jeudi, les États des ressortissants victimes de la bousculade ont émis de vives critiques envers la sécurisation des pèlerins, jugée insuffisante.
Au premier jour de la fête de l’Adha, le rituel de la lapidation de Satan a souvent été le théâtre de bousculades particulièrement meurtrières. Retour sur les drames des trente dernières années.
Réunis à La Mecque pour accomplir le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam, au moins 717 pèlerins ont trouvé la mort jeudi matin dans une bousculade, ont annoncé les services saoudiens de la défense civile. Au moins 863 autres personnes blessées ont été transportées vers différents hôpitaux, selon le dernier bilan.
Les quelque deux millions de pèlerins réunis à La Mecque pour accomplir le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam, refluaient mercredi soir sur la plaine de Mouzdalifa pour marquer jeudi la fête du Sacrifice, célébrée par 1,5 milliard de musulmans à travers le monde.
Environ deux millions de musulmans s’apprêtent à se rendre à la Mecque pour effectuer le pèlerinage (le hajj) et y fêter le jour de l’Aïd el Kébir. Alors que les premiers départs pour l’Arabie saoudite sont prévus fin août, une logistique hors norme se met en place pour accueillir les fidèles durant une trentaine de jours. Derrière le devoir religieux, se cachent des chiffres astronomiques.
Le roi Abdallah d’Arabie saoudite a affirmé dimanche que son pays était déterminé à éradiquer l’extrémisme religieux, au moment où le royaume est engagé dans la campagne menée par les États-Unis contre les jihadistes du groupe État islamique (EI).
La folie des « selfies » a saisi cette année les pèlerins à La Mecque, qui se prennent en photo devant les sites les plus sacrés de l’islam, au risque d’irriter les religieux tenants de la tradition.