Plus de deux millions de fidèles ont commencé samedi à Mina, près de La Mecque, le rituel de lapidation d’une stèle symbolisant Satan, au premier jour de l’Aïd al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier.
Malgré la fièvre qui sévit dans la région, nombreux sont les Ouest-Africains à emprunter la route de La Mecque. Reportage dans la capitale sénégalaise.
Les affaires du hajj se chiffrent en milliards de dollars, et l’odeur des billets verts attire bien des rapaces sans foi ni loi qui profitent allègrement de la piété, et souvent de la candeur des candidats au pèlerinage, pour se remplir les poches.
Début octobre, près de deux millions de pèlerins se rassembleront à La Mecque, en Arabie saoudite. Un devoir religieux devenu une véritable industrie touristique.
Avec « Hajj, le pèlerinage à La Mecque », l’Institut du monde arabe, à Paris, concilie ses traditionnelles missions diplomatiques avec sa vocation à présenter de jeunes artistes contemporains.
Au total, 1,38 million de pèlerins sont arrivés de l’étranger et 117 000 fidèles de l’intérieur du royaume ont été autorisés à participer au Hajj 2013, a annoncé, dimanche, le gouverneur de la Mecque.
Près de deux millions de pèlerins musulmans se rassemblaient dimanche à Mina, près de la ville sainte de La Mecque, au début du Hajj annuel, épargné jusqu’ici par le coronavirus MERS selon les autorités saoudiennes.
Quelque 2,5 millions de fidèles en pèlerinage à La Mecque ont entamé vendredi le rituel de lapidation de Satan, au premier jour de l’Aïd Al-Adha, la fête du sacrifice célébrée par les musulmans dans le monde entier.