Les corps d’une vingtaine de migrants originaires d’Afrique sub-saharienne ont été retrouvés sur une plage au nord-ouest du pays. Si les circonstances de leur mort demeurent floues, plusieurs sources confirment qu’ils ont été tués par balle le week-end dernier.
En 2016, près de 181 000 migrants ont traversé la Méditerranée pour passer de l’Afrique à l’Europe. Environ 90 % d’entre eux sont passés par la Libye. Parmi eux, Mamadou, un jeune Gambien, arrivé à Paris en décembre 2016.
Les récentes propositions de la Commission européenne sur le renvoi des migrants irréguliers vers leurs pays d’origine constituent un « catalogue du pire », pour l’ONG Amnesty international, qui a appelé lundi l’Europe à « réviser de toute urgence ses pratiques ».
Les autorités nigérianes ont déconseillé à leurs ressortissants de se rendre aux États-Unis, après le refoulement de plusieurs d’entre eux, qui étaient pourtant en possession de visas valides, dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration.
Les gardes-côtes italiens ont annoncé jeudi avoir dirigé les opérations de secours pour environ 970 personnes au large de la Libye. Ils confirment aussi que les flux de migrants restent importants dans cette zone.
Après « Donald Trump contre les médias », voici « Donald Trump contre les juges de la Cour suprême ». Dans un cas comme dans l’autre, tous les coups sont permis !
Environ 1 100 migrants ont été secourus jeudi au cours de plusieurs opérations en Méditerranée centrale, portant à près de 2 500 le nombre de personnes récupérées en pleine mer en trois jours, d’après les gardes-côtes italiens.
Dakar, dans un futur proche. Mbagnick se cache. Les employés de l’Agence nationale pour l’émigration et la coopération internationale le recherchent pour l’envoyer en Europe.
Dans la nuit de lundi à mardi, deux opérations distinctes de sauvetage menées par les gardes-côtes italiens ont permis de secourir quelque 630 migrants. Ils dérivaient au large des côtes libyennes sur une grande barque et sur un bateau pneumatique, d’après le communiqué des gardes-côtes.
En un week-end, près de 850 migrants subsahariens ont forcé les frontières de l’enclave espagnole de Ceuta. Le Maroc a-t-il laissé faire, histoire de faire pression sur son partenaire européen ? Le timing de l’événement en intrigue plus d’un.
Au moins 22 migrants, fuyant les États-Unis, ont franchi clandestinement pendant le week-end la frontière qui sépare États-Unis et Canada, dans la province du Manitoba (centre), pour y demander l’asile.
Quelque 300 migrants ont forcé dans la nuit de dimanche à lundi la frontière entre le Maroc et l’Espagne à Ceuta, selon la préfecture de cette enclave espagnole. Il s’agit du deuxième passage en masse en l’espace de trois jours.
Selon les secours et la garde civile, des centaines d’immigrés ont forcé ce vendredi au petit matin la haute barrière entourant l’enclave espagnole de Ceuta au Maroc, et certains se sont blessés.
Avant même sa rencontre avec Angela Merkel ce mardi, le Premier ministre tunisien a rejeté en bloc les remarques de Berlin concernant son manque de coopération en matière d’immigration clandestine et de rapatriement des Tunisiens déboutés du droit d’asile en Allemagne.
La Tunisie doit cesser de bloquer les expulsions de ses ressortissants et aider à juguler la migration vers l’Europe, ce à des fins de sécurité. Tel est le message qu’Angela Merkel compte adresser mardi à son homologue tunisien Youssef Chahed.
Quel vacarme, ces jours-ci ! Entre cette Amérique de Trump qui vocifère contre les musulmans, cette France qui bruit de scandales préélectoraux, la coupe d’Afrique et ses supporters en folie, le Moyen-Orient et la furieuse clameur des chars ! Comment, au milieu de tout cela, entendre encore la voix de ceux qui souffrent et meurent, ignorés des puissants et vilipendés par leurs semblables ?
En visite de deux jours en Italie, le président Béji Caïd Essebsi a appelé au retour des touristes et des investisseurs dans son pays. À cette occasion, un accord de coopération renforcée a également été signé par les ministres des Affaires étrangères tunisien et italien.
Une instance de lutte contre la traite des personnes a été inaugurée ce mercredi en Tunisie afin de lutter contre la traite des personnes, qui touche particulièrement les migrants, dans un pays considéré comme une terre de transit sur le chemin de l’Europe.
Le Parlement de Tobrouk, l’une des entités qui se disputent le pouvoir en Libye, a jugé mercredi dans un communiqué « nul et non avenu » l’accord sur la lutte contre l’immigration clandestine signé la semaine dernière par le Gouvernement libyen d’union (GNA) et l’Italie.
Le sommet européen de Malte, qui se tient à La Valette ce vendredi 3 février, sera en partie consacré aux questions migratoires. Les chefs d’État de l’Union européenne devront décider de la politique à suivre avec la Libye, devenue le principal point de départ des migrants.
Dans son livre, « Réfugié », Emmanuel Mbolela livre un témoignage saisissant sur son parcours et la vie des migrants africains, de la RD Congo à l’Europe en passant par le Maroc. Interview.
Le gouvernement italien a annoncé ce mercredi la création d’un fonds de 200 millions d’euros, destiné à aider plusieurs pays d’Afrique à réduire les flux de migrants clandestins qui tentent d’atteindre la péninsule.
La Tunisie a mis en échec 113 tentatives d’immigration clandestine en 2016, effectuées pour la plupart depuis la Libye voisine, et interpellé plus d’un millier de personnes, a indiqué ce lundi le chef de la Garde nationale Lotfi Brahem.
À Marseille et à Toulon, dans le sud de la France, deux expositions prennent le pouls de la Méditerranée – mouroir de milliers de migrants fuyant les conflits qui déchirent ses rives.
Après avoir dénoncé l’exploitation des ouvriers agricoles immigrés en Italie, c’est contre la politique envers les migrants que le Camerounais s’insurge.
Ils rêvent de quitter leur Afrique natale pour couler des jours meilleurs dans un pays neuf. Et font parfois appel à des agences spécialisées pour les aider à constituer un dossier. Problème : certaines excellent à les escroquer.
Depuis lundi, la base de Bizerte, dans le nord de la Tunisie, compte deux navires de plus à son actif : deux vedettes d’intervention rapide, livrées par l’armée américaine dans le cadre d’un accord conclu en 2012 entre Tunis et Washington.