Dans l’opposition, certains sont décidés à se présenter aux législatives, d’autres à les boycotter. Entre les deux, ceux qui espèrent encore faire front commun attendent un signe de Ping.
A quelques semaines des législatives, dont la date est prévue pour le 28 avril, les candidats commencent à se déclarer. C’est le cas de Estelle Ondo, la ministre des Transports, et de l’opposant Mike Jocktane, qui ont tous deux décidé de se présenter comme « indépendants ».
L’ouverture du premier procès issu de l’opération anti-corruption Mamba a été reportée au 20 mars. Un événement historique, au vu du pedigree des accusés, dont la plupart sont d’anciens ministres ou hauts fonctionnaires. Qui sont les inculpés de Mamba ? Revue d’effectif.
Pour la première fois depuis l’élection contestée de 2016, des proches de la coalition de Jean Ping, qui se considère toujours comme « président élu » du Gabon, ont participé à une réunion avec le ministre de l’Intérieur Lambert-Noël Matha en vue des législatives prévues pour avril.
Alors que la stratégie de l’opposition tarde à se dessiner, à quelques semaines des législatives prévues en avril, l’annonce de la candidature de Zacharie Myboto, de l’Union nationale, est une épine de plus dans le pied de Jean Ping. Mais l’opposant n’a pas répondu directement, préférant faire lire un communiqué.
Le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze-Ngondet a procédé ce mardi à un remaniement gouvernemental. Le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Yves-Fernand Manfoumbi, a été limogé et est remplacé par Biendi Maganga Moussavou.
Neuf partis politiques de la Coalition pour la nouvelle République de Jean Ping ont publié un communiqué jeudi pour annoncer qu’ils ne participeront pas aux élections législatives prévues en avril. Une prise de position qui vient ajouter à la confusion qui règne au sein de l’opposition à deux mois du scrutin.
L’opposition se prépare aux législatives d’avril et entend imposer une cohabitation à Ali Bongo Ondimba. Mais alors que Jean Ping refuse toujours de prendre part à la campagne, elle avance en ordre dispersé…
Les élections législatives se préparent à Libreville. Une ultime chance pour Ali Bongo Ondimba de retrouver une légitimité abîmée suite à la crise postélectorale.
Le congrès a voté, les deux chambres parlementaires gabonaises réunies en Congrès extraordinaire ont adopté mercredi le projet de loi controversé sur la révision de la Constitution. Le président Ali Bongo Ondimba a donc réussi à faire passer une réforme constitutionnelle pourtant très critiquée par l’opposition.
Nous sommes le 30 août. À Libreville, les rumeurs de remaniement vont bon train. Les postes se proposent, s’acceptent et, parfois, se refusent. Sur les tapis feutrés du Palais du bord de mer, les destins politiques se font et se défont sous l’œil vigilant des hommes du président.
Les législatives, qui selon la Cour constitutionnelle doivent se tenir avant avril 2018, sont dans toutes les têtes, au sein du PDG (au pouvoir) comme de l’opposition.
La Cour constitutionnelle du Gabon a décidé ce mardi 18 juillet que les élections législatives se tiendraient « au plus tard en avril 2018 ». Déjà repoussé, le scrutin était prévu avant la fin du mois de juillet.
Les élections législatives au Gabon, qui devaient se tenir en décembre, ont été reportées au plus tard au 29 juillet 2017 pour « cas de force majeure », a indiqué samedi dans une déclaration le ministre de l’Intérieur.