Un an après son élection, le nouveau patron de l’Istiqlal a déjà permis au parti de la balance de retrouver son dynamisme. Bilan d’étape de l’héritier d’Allal El Fassi.
Le dirigeant controversé du parti nationaliste marocain s’accroche à son poste. Il a annoncé ce mardi sa candidature à un deuxième mandat à la tête de l’Istiqlal. Envers et contre tous.
Les législatives du 7 octobre 2016 et le long processus de formation du gouvernement qui s’est ensuivi ont chamboulé la ligne de démarcation entre majorité et opposition au Parlement.
La fronde conduite par « le groupe des dix » n’a pas abouti. Réélu avec un score presque stalinien, le patron des ittihadis continuera de diriger un parti devenu l’ombre de lui-même.
Une fois de plus, l’USFP est en crise. La gestion autoritaire de Driss Lachgar est dénoncée par dix membres du bureau politique à l’approche du congrès. Ces derniers réfléchissent à s’unir autour de Hasna Abou Zeid.
Un congrès extraordinaire se tient ce samedi pour permettre à Nizar Baraka de soumettre sa candidature face à Hamid Chabat. Première éclaircie dans l’actualité tumultueuse de ce parti.
Après une semaine de débats, le Parlement marocain doit voter ce mercredi le programme du gouvernement de Saadeddine El Othmani. Tirant les leçons des concessions qu’il a dû faire dans les négociations gouvernementales, le PJD s’oriente vers un soutien mitigé.
La composition du nouveau gouvernement marocain nommé ce mercredi n’a pas de quoi surprendre. Mais à le regarder de plus près, il permet de comprendre bien des choses sur les relations entre le Palais et le monde politique. Six, très exactement.
Après six mois d’attente, le roi du Maroc a nommé ce mercredi un gouvernement formé de 38 ministres et secrétaires d’État, sous la direction de Saadeddine El Othmani. Qui sont-ils ?
Plus que jamais déchiré, le parti historique s’est donné en spectacle samedi lors d’une réunion publique à Rabat. Une bagarre entre les pro et les anti-Hamid Chabat a tourné au vandalisme.
L’Union socialiste des forces populaires (USFP) a eu raison du PJD et participera bien au gouvernement formé par Saddedine El Othmani. Mais à quel prix ?
Fin du blocage politique ! Le nouveau chef de gouvernement a annoncé samedi une nouvelle majorité qui comprend les socialistes de l’USFP. La nomination des ministres par le roi doit suivre dans les plus brefs délais.
Le nouveau chef de gouvernement désigné, Saadeddine El Othmani, entamera ce mardi 21 mars de nouvelles consultations avec les partis politiques représentés au Parlement en vue de former sa majorité.
Le chef du gouvernement ne veut pas des socialistes de l’USFP dans son équipe, quand le le secrétaire général du RNI, Aziz Akhannouch, refuse d’y siéger sans eux. Qui aura le dernier mot ?
Au Maroc, l’élu de la Fédération de la gauche démocratique expérimente l’usage des réseaux sociaux pour une bonne reddition de comptes politiques. Depuis trois semaines, il s’adresse aux citoyens dans des vidéos pour leur faire part de son action dans l’hémicycle.
Il doit répondre d’un article publié sur le site de son parti insinuant que les autorités marocaines chercheraient à le liquider. Son bras de fer avec l’État prend une tournure particulièrement délicate.
Pour se forger une image de parti citoyen, le parti d’Ilyas El Omari a décidé de restituer à l’État les indemnités perçues par ses parlementaires durant la période où ils étaient au chômage. Il veut contrecarrer les islamistes sur le terrain de la moralisation de la vie politique.
Alors qu’un sommet de l’UA se profile à Addis Abeba les 30 et 31 janvier prochains, le Maroc a ratifié vendredi l’acte constitutif de l’organisation panafricaine, préalable à l’adhésion du royaume à l’organisation.
L’adoption de l’acte constitutif de l’Union africaine par le nouveau Parlement a relégué les consultations gouvernementales au second plan. Nouvelle tournée royale en Afrique, participation de l’USFP… de nouvelles contraintes se rajoutent à ce feuilleton interminable.
Seul candidat en lice, le numéro deux de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) a été sacré président de la première chambre à la majorité absolue ce lundi 16 janvier.
C’est un fait exceptionnel dans l’histoire du Maroc. La chambre des représentants doit élire son président ce lundi, alors même que le gouvernement n’est pas encore formé. Elle doit par la suite adopter le texte permettant au Maroc de réintégrer l’Union africaine avant le prochain sommet de l’organisation.
Ce sont de loin les plus longues consultations gouvernementales sous Mohammed VI. Dernier rebondissement en date : le leader du PJD a mis un terme à ses pourparlers avec le RNI qui souhaitait inclure d’autres partis dans le prochain gouvernement.
Les élections communales et régionales qui se sont tenues en 2015 on pesé particulièrement lourd sur les finances des partis politiques. Un rapport de la Cour des comptes décortique les dépenses et revenus des 34 formations politiques autorisées au royaume et démontre leur dépendance vis-à-vis du financement public.
Abdelilah Benkirane s’est résigné à lâcher son allié nationaliste et à garder la même coalition sortante pour le futur gouvernement, avec comme parti star, le RNI de Aziz Akhannouch. Chabat échec et mat !
La direction historique du parti nationaliste resserre ses rangs pour pousser le controversé secrétaire général à la démission. Mais l’intéressé ne compte pas se laisser faire aussi facilement.
Le chef du gouvernement doit s’entretenir ce lundi avec Aziz Akhannouch pour le convaincre de participer à son gouvernement. Va-t-il pour autant lâcher l’Istiqlal ?
Les tractations menées par le Premier ministre marocain Abdelilah Benkirane pour former sa coalition n’en finissent pas. Un homme fait durer le suspens : le patron du RNI, Aziz Akhannouch.
Depuis son renouvellement au poste de Premier ministre, Abdelilah Benkirane n’est toujours pas parvenu à former un gouvernement. Plusieurs options sont évoquées pour faire aboutir cette difficile gestation.