Abdelilah Benkirane, Rachid El Abdi, Noureddine Lazrak… De gros calibres se présentent aux législatives du 7 octobre dans ces deux villes riveraines. Ça va chauffer !
Les conseillers royaux Taïeb Fassi-Fihri et Yasser Znagui sont désormais chargés d’épauler le comité de pilotage de l’organisation de la COP22, qui doit s’ouvrir à Marrakech le 7 novembre.
À l’orée de la campagne pour les élections législatives, Ilyas El Omari, figure de proue du parti authenticité et modernité (PAM), s’érige en défenseur des femmes pour endiguer ce qu’il nomme la « marée conservatrice » au Maroc. Il espère ainsi battre le parti islamiste au pouvoir, le Parti Justice et Développement (PJD) lors du scrutin qui se tiendra le 7 octobre prochain.
La campagne électorale pour les législatives du 7 octobre a démarré ce samedi pour la trentaine de partis politiques en compétition. Jeune Afrique fait le point sur son financement.
Malgré les restrictions introduites dans la Constitution concernant le changement d’appartenance politique, la transhumance reste une pratique courante, surtout deux semaines avant les élections du 7 octobre.
La mouvance islamiste du cheikh Yassine, Al Adl Wal Ihssane, a appelé encore une fois au boycott des législatives du 7 octobre, contestant un pouvoir selon elle antidémocratique. Son porte-parole s’explique.
Des intellectuels et des militants de différents bords ont adressé mardi un manifeste à la dirigeante du Parti socialiste unifié (PSU) l’appelant à offrir aux Marocains une troisième voie, outre le PAM et le PJD.
La principale mouvance islamiste du Maroc, « Justice et Bienfaisance », a appelé au boycott des législatives d’octobre qui ne servent selon elle qu’à perpétuer « le despotisme ».
À trois semaines des législatives du 7 octobre, le ministre de la Justice, Mustapha Ramid, a estimé être mis à l’écart de l’organisation des législatives. Le ministère de l’Intérieur a fermement démenti.
Malgré l’institution d’un quota pour les femmes lors des législatives de 2002, les Marocaines demeurent sous-représentées au Parlement. Les lois ont changé mais les partis politiques ont du mal à se défaire de leur héritage patriarcal.
Les camarades n’ont pas lâché leur chef. En réponse à un communiqué du Palais, le Parti progrès et socialisme (PPS) affirme que l’intention de son secrétaire général n’était pas de mêler l’institution royale aux querelles partisanes.
Les hostilités ont déjà démarré entre les deux partis favoris des législatives du 7 octobre, sur fond d’accusations. Un tour de chauffe avant des duels au sommet dans les « circonscriptions de la mort ».
En s’en prenant au conseiller royal Fouad Ali El Himma, le chef du Parti progrès et socialisme (PPS) s’est attiré les foudres du Palais qui l’a sévèrement recadré par voie de communiqué mardi.
Le ministère de l’Intérieur est sur tous les fronts pour organiser les législatives du 7 octobre et dont les deux principaux enjeux sont le taux de participation et la transparence.
Les amis d’Ilyass El Omari ont présenté leur programme électoral ce lundi. Ils veulent augmenter le budget de la Culture et réformer la Moudawana. Un clin d’œil à leurs adversaires du PJD…
Les élections législatives auront lieu le 7 octobre. Près de 16 millions de Marocains sont inscrits sur les listes électorales, a-t-on appris jeudi de source officielle.
Les législatives du 7 octobre devraient se réduire à un bras de fer entre conservateurs du PJD et progressistes du PAM. Mais quelle qu’en soit l’issue, les gagnants devront trouver des alliés pour gouverner.
Plus de 30 partis se disputeront les 395 sièges de la Chambre des représentants à l’occasion des prochaines législatives, dont une nouvelle formation, l’Union des néodémocrates, fondée par le politologue Mohamed Darif.
La chute des récoltes de céréales a durement freiné la croissance cette année. Pourtant, grâce à ses nouveaux métiers, le royaume dépend de moins en moins du climat.
Le mandat du premier gouvernement islamiste de l’histoire du royaume, dirigé par Abdelilah Benkirane, touche à sa fin. Passage en revue de ses tops et de ses flops.
Sans grande surprise, Ilyas El Omari a été élu dimanche à l’unanimité à la tête du Parti authenticité et modernité (PAM). Il a maintenant les coudées franches pour affronter le redoutable Abdelilah Benkirane du Parti justice et développement (PJD) aux prochaines élections législatives.
Le congrès extraordinaire du Parti authenticité et modernité (PAM), qui s’est ouvert vendredi à Bouznika, devra élire un nouveau secrétaire général. L’homme fort du parti, Ilyas El Omari, semble dores et déjà en pole position.
L’année 2016 promet d’être mouvementée sur le plan électoral. Et pourrait confirmer la tendance qui se dessine ces dernières années : changements en Afrique de l’Ouest, continuité en Afrique centrale.
Année charnière pour les principaux partis politiques marocains qui doivent renouveler leurs instances, 2016 sera aussi l’année des élections législatives. Parviendront-ils à concilier ces deux rendez-vous ?
Ce samedi, le parti de l’Istiqlal tient son conseil National pour décider du sort réservé à son secrétaire général Hamid Chabat. Incapable de donner un cap à son parti, le leader istiqlalien est de plus en plus contesté par les siens, qui appellent de leurs vœux un renouvellement de la direction dans la perspective des législatives de 2016.
Vainqueur de la bataille des villes, le PJD d’Abdelilah Benkirane a déjoué la plupart des pronostics. Et peut envisager avec confiance les législatives de 2016.
Le parti islamiste a obtenu une victoire écrasante dans les grandes villes du Maroc à l’issue des élections communales et régionales du 4 septembre. Et il se positionne en force pour les législatives de 2016.
Le parti islamiste au Maroc, mené par le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane, a pris date pour les législatives de 2016 en dominant vendredi les élections locales, signe de son implantation durable dans le paysage politique.