Le président du parti créé par Laurent Gbagbo a lancé sa campagne pour les législatives dans son fief de Brou Akpaoussou samedi 10 décembre. Il espère que sa formation remportera entre 30 et 50 sièges au Parlement.
Les instances dirigeantes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) ont décidé de sanctionner les frondeurs opposés à l’alliance de leur parti avec le RDR d’Alassane Ouattara pour les législatives du 18 décembre.
Après validation de la commission électorale indépendante (CEI), ils seront 1 390 candidats à briguer le 18 décembre prochain les 255 sièges que compte l’Assemblée nationale ivoirienne. Candidatures indépendantes, faible présence des femmes… Pour comprendre le profil des candidats, voici quelques chiffres établis par la CEI.
Les frondeurs du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) avaient déjà fait voler en éclat l’unité du parti. Mais depuis que les investitures pour les législatives du 18 décembre ont été dévoilées, la fronde s’est élargie.
Les « koro » (grands frères en dioula) et « vieux pères » ont frappé une fois encore… Et ils n’y sont pas allés par quatre chemins : pour eux, les législatives du 18 décembre prochain seront surtout l’occasion de faire réélire une majorité de députés sortants et de faire élire les barons des deux grands partis formant le RHDP, la coalition au pouvoir.
Le Front populaire ivoirien (FPI) ira aux élections législatives en rang dispersé. Alors que les frondeurs du parti menés par Aboudramane Sangaré boycotteront les législatives du 18 décembre, les membres restés fidèle au président Pascal Affi N’Guessan comptent bien occuper le terrain.
La campagne en vue des élections législatives ivoiriennes du 18 décembre aura lieu du 10 au 16 décembre prochain, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
La coalition au pouvoir a officialisé son intention de présenter des listes communes pour les élections législatives ivoiriennes, qui auront lieu le 18 décembre prochain.
Les 250 députés de l’Assemblée nationale ivoirienne, présidée par Guillaume Soro, verront leurs mandats remis en jeu le 18 décembre prochain, a confirmé jeudi le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
Lors des législatives de la fin novembre, c’est Mamadou Touré, le conseiller d’Alassane Ouattara chargé de la jeunesse et des sports, qui défendra les couleurs du RDR à Daloa (Centre-Ouest).
Vendredi, la Commission électorale indépendante (CEI) a remis aux partis politique la liste électorale 2016 en vue des prochaines élections législatives. Son vice-président en a profité pour appeler les diverses formations à lutter contre le « phénomène de la transhumance ». Explications.
Les législatives de novembre s’annoncent comme les plus ouvertes que le pays ait jamais connues. Et, dans les états-majors des principaux partis, on s’écharpe déjà pour savoir qui emportera l’investiture.
Croissance économique vigoureuse et climat politique « apaisé » : c’est pour ces deux raisons au moins que l’agence de notation financière Fitch n’est pas revenu vendredi sur le « B+ » dont elle avait gratifié la Côte d’Ivoire en décembre 2015, un cran au-dessus du « B » qui prévalait jusque-là. La perspective est stable.
Le référendum sur la nouvelle Constitution aura lieu en septembre ou octobre prochains, a annoncé mardi le président ivoirien, Alassane Ouattara, lors d’une rencontre mardi avec l’opposition au palais présidentiel à Abidjan.
Nouveau secrétariat général, nouvelle organisation, plan de campagne pour le référendum et les législatives… À l’approche de son congrès, prévu fin mai, la direction du FPI a pris des mesures radicales
afin de rabattre le caquet des frondeurs.
En tête des priorités du président Ouattara cette année : la fusion des deux partis de la majorité, une nouvelle Constitution et des élections législatives. Réussira-t-il le triplé ?
Ils sont jeunes, pleins d’ego et d’ambitions. Leur heure n’est pas encore venue, leur répète-t-on dans les états-majors des grands partis politiques, mais eux piaffent d’impatience et rêvent de mettre leurs aînés à la retraite.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne.
L’année 2016 promet d’être mouvementée sur le plan électoral. Et pourrait confirmer la tendance qui se dessine ces dernières années : changements en Afrique de l’Ouest, continuité en Afrique centrale.
Le président nigérien a assuré mercredi vouloir des élections présidentielle et législatives « transparentes » en 2016. De son côté, l’opposition accuse la Cour constitutionnelle, chargée de valider les candidatures, d’avoir fait « allégeance » au pouvoir en place.
Le pays a les yeux tournés vers la présidentielle d’octobre mais, lui, c’est 2020 qui l’intéresse. Le président de l’Assemblée communique à tout-va, soigne son image et ses réseaux. Mais à Abidjan, les ambitieux sont nombreux et la bataille pour la succession de Ouattara s’annonce serrée.