Pour consolider leur assise ou gagner des soutiens, les formations politiques tunisiennes actionnent des leviers régionaux, financiers, sportifs… Enquête sur des réseaux, des lobbies, aussi multiformes qu’incontournables.
Le processus engagé après la révolution de 2011 est allé bon train jusqu’en 2015, puis s’est essoufflé. Le cap sur la démocratie et les réformes – politiques, sociales, économiques – est tenu. Mais, sans réelle boussole, difficile d’avancer.
Lors de son 10e congrès, en mai 2016, Ennahdha avait fait son aggiornamento en délaissant les activités de prédication pour se recentrer sur le volet strictement politique et se muer en parti civil.
Le 30 octobre, le Parlement tunisien a une fois de plus échoué à élire un nouveau président à la tête de l’instance électorale, à cinq mois de la date prévue pour les premières élections municipales de l’après-révolution.
D’abord prévues pour décembre 2017 puis reportées à la demande de certains partis, les premières élections municipales de l’après-révolution de 2011 en Tunisie ont été fixées au 25 mars prochain.
Les premières élections municipales de l’après-révolution sont reportées à une date indéterminée, a annoncé lundi soir l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Plusieurs partis politiques ont appelé ce mardi au report des municipales prévues le 17 décembre prochain. Il s’agit des premières élections locales depuis la révolution de 2011, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi.
L’inscription sur les listes électorales pour les municipales prévues le 17 décembre en Tunisie, les premières de l’après-révolution, a commencé lundi 19 juin après des mois de remous autour de ce scrutin.
Les premières locales de l’après-révolution se tiendront le 17 décembre, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi. Même si ni les formations politiques ni les institutions chargées de l’encadrer ne sont tout à fait prêtes, le scrutin est très attendu.
Fragilisation du gouvernement, zizanie à l’Isie, soulèvements dans les régions… Le pays est en pleine confusion. Et si le président Caïd Essebsi s’est adressé à la nation, il n’est pas parvenu à calmer les esprits.
Entendu mercredi par une commission parlementaire, le chef de l’instance électorale (Isie), Chafik Sarsar, s’est expliqué sur les raisons de sa démission ainsi que de celle de deux de ses collègues.
À sept mois des premières élections municipales de l’après-révolution, le chef de l’instance électorale en Tunisie, Chafik Sarsar, a démissionné brutalement ce mardi. Il a simplement évoqué des divergences de fond au sein du comité exécutif de l’instance.
Les premières élections municipales de l’après-révolution, attendues de longue date afin de consolider la transition démocratique en Tunisie, auront lieu le 17 décembre 2017, a annoncé ce lundi le président de l’instance électorale Chafik Sarsar.
L’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE) a proposé mardi la date du 26 novembre 2017 pour la tenue des élections municipales en Tunisie, les premières depuis la révolution de 2011. Un calendrier qui, malgré son urgence, ne fait toujours pas l’unanimité.
Six mois après sa nomination, le chef du gouvernement d’union nationale est déjà au pied du mur. Malgré quelques avancées réelles à mettre à son crédit, il va devoir s’affirmer davantage pour pouvoir agir plus efficacement. Mais a-t‑il vraiment les mains libres ?
Plus de six ans après sa révolution, la Tunisie peine encore à organiser des élections municipales. Déjà décalées au 26 mars 2017, celles-ci devraient être une nouvelle fois repoussées à cause du retard pris au parlement.
Prévues en mars 2016, les élections municipales en Tunisie devraient se tenir finalement le 26 mars 2017, a annoncé l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE). Une étape importante pour accompagner la décentralisation et la gouvernance participative des collectivités locales inscrites dans la constitution adoptée en 2014.
La Tunisie se dirige vers la tenue d’élections municipales en mars 2017, soit plus de six ans après sa révolution, a déclaré Chafik Sarsar, le président de l’instance électorale.