Les recours introduits par Jean Ping et Guy Nzouba-Ndama contre la candidature d’Ali Bongo Ondimba ont été rejetés par la Cour constitutionnelle gabonaise.
Ali Bongo Ondimba remettra son mandat en jeu le 27 août. Face à lui, moins d’une vingtaine de candidats, mais quelques poids lourds décidés à tout faire pour mettre le chef de l’État à la retraite.
La tension est montée de plusieurs crans à Libreville, où les forces de l’ordre ont chargé une marche de l’opposition samedi. Deux journalistes dont un de l’Agence France-Presse ont violemment été molestés par les forces de l’ordre.
Periscope, Twitter, Instagram ou encore Snapchat : peu utilisés ou encore inexistants lors de la campagne de 2009, les réseaux sociaux bousculent celle de 2016.
Ils avaient jusqu’au 12 juillet au soir pour déposer leurs candidatures auprès de la Commission électorale nationale autonome et permanente gabonaise (Cenap). Sauf désistement ou invalidation par la commission, ils devraient donc être 18 sur la ligne de départ face à Ali Bongo Ondimba. Revue des prétendants.
Le chef de l’État, qui brigue un deuxième mandat en août, est à la fois surexposé et méconnu. Comment et avec qui dirige-t-il ? Que pense-t-il vraiment ? Portrait en forme de bilan.
Ce devrait être un grand moment de démocratie et de débats. Un cycle éphémère mais ô combien fécond au cours duquel les citoyens comparent, écoutent, interrogent et se forgent un avis sur la base d’un projet politique ou de société.
Il fut l’un des principaux soutiens d’Ali Bongo Ondimba en 2009. Aujourd’hui, l’ancien président de l’Assemblée nationale se retourne contre lui et a décidé de l’affronter à la présidentielle du 27 août.
Face au Parlement réuni en Congrès mardi 28 juin, Ali Bongo Ondimba, candidat à un deuxième mandat, a passé en revue son septennat à moins de deux mois de l’élection présidentielle gabonaise du 27 août.
Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle gabonaise du 27 août, est poursuivi par l’agent judiciaire de l’État pour atteinte « à la sécurité publique » et par Ali Bongo Ondimba pour diffamation. Jusqu’à présent, il ne s’est pas présenté aux convocations judiciaires émises dans ces deux affaires.
Il a déçu, il le sait, en renonçant in extremis à être candidat à la dernière présidentielle. Mais l’ex-Premier ministre espère se racheter à l’occasion du scrutin du 27 août. Il portera les couleurs de l’UN et promet que, cette fois, il ne faillira pas.
L’élection présidentielle à un tour aura lieu le 27 août prochain au Gabon, selon une annonce de la Commission électoral nationale autonome et indépendante. Les candidatures devront être déposées le 12 juillet au plus tard.
Les relations franco-gabonaises s’étaient assombries, mi-janvier, après une sortie malencontreuse de Manuel Valls sur un plateau de télévision (le Premier ministre avait critiqué les conditions de l’élection du président gabonais, en 2009).
À quelques semaines de l’élection présidentielle gabonaise, Claude Dumont Beghi, avocate d’Ali Bongo Ondimba, prend la défense de son client dans un livre, « Le Gabon, de l’héritage au partage », à paraître le 7 juin aux éditions L’Archipel.
Le paysage médiatique gabonais accueille une nouvelle chaîne, la première du pays ayant vocation à traiter en continu des sujets d’information. Gabon 24 a été lancée mardi à Libreville en présence du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, à quelques semaines de l’élection présidentielle qui doit avoir lieu fin août.
Le syndicat Dynamique unitaire a appelé les salariés du public et du privé à une grève générale à compter du lundi 23 mai. Principaux objectifs de cette mobilisation pour l’heure peu suivie : obtenir les arriérées salariales et le paiement de la prime d’incitation à la performance.
Un nouveau mouvement politique baptisé « Dynamique plurielle pour Ali Bongo Ondimba » a été lancé samedi à Libreville pour soutenir le président sortant, candidat à un second mandat lors de l’élection qui doit se tenir entre août et octobre.
Les questions ethniques sous-tendent les relations exécrables entre l’ancien président de l’Assemblée nationale et le patron de l’Union nationale (UN, opposition).
C’est devant ses principaux lieutenants et soutiens que Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle gabonaise, a dévoilé son programme mercredi. Modification de la Constitution, mandat unique et financement de ses promesses : Jeune Afrique fait le point sur les engagements du candidat.
L’application de streaming vidéo qui a explosé en France connaît un timide essor sur le continent. Si les plus jeunes en sont les premiers utilisateurs, les communicants politiques commencent à s’intéresser de près à Periscope.
Si certains en doutaient, la rupture est désormais officialisée. Moins de deux mois après avoir été exclus avec fracas du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), des frondeurs du parti d’Ali Bongo Ondimba ont constitué, dimanche à Libreville, leur propre formation politique, le Rassemblement héritage et modernité.
À quelques mois de l’élection présidentielle, le Gabon compte un nouveau parti politique : « Démocratie Nouvelle ». Une formation destinée à soutenir Jean Ping qui a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle le 13 février dernier à Libreville.
Pour prévenir contre les risques des violences postélectorales au Gabon, une coalition d’ONG a déposé lundi un manifeste pour la paix aux sièges de l’ONU et de l’Union européenne dans le pays.
Depuis dimanche, une nouvelle polémique agite le Gabon. Mais la demande en paternité que Joyce Ondo, qui se présente comme l’ancienne compagne d’Ali Bongo Ondimba, affirme avoir déposée devant un tribunal français ne devrait pas avoir de répercussions immédiates pour le chef de l’État gabonais.
Germain Ngoyo Moussavou est ambassadeur du Gabon en France, il est aussi l’ex-président du groupe parlementaire du parti au pouvoir au Sénat. Il est revenu pour Jeune Afrique sur l’actualité politique de son pays à l’approche de la présidentielle d’août.
L’ancien président de l’Assemblée nationale du Gabon, poste dont il a démissionné la semaine dernière, a annoncé mardi à Libreville son intention de se présenter à la présidentielle prévue en août prochain.
Neuf députés du Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) ont démissionné vendredi de l’Assemblée nationale. Tous ces parlementaires sont issus du courant Héritage et Modernité.
Le président de l’Assemblée nationale du Gabon, Guy Nzouba Ndama, a démissionné de son poste jeudi. Ce cadre du PDG officialise ainsi sa rupture avec Ali Bongo Ondimba.