Le Parti démocratique gabonais (PDG) a exclu mercredi 9 mars trois parlementaires frondeurs et poids lourds du parti : Alexandre Barro Chambrier, Michel Menga M’Essone et Jonathan Ignoumba.
Il sait que l’opposition ira à l’élection en ordre dispersé, mais il est convaincu d’avoir une chance. Convaincu aussi que ses attaques virulentes contre Ali Bongo Ondimba finiront par porter leurs fruits.
Après les classements sans suite à Libreville et à Nantes concernant les plaintes déposées pour « faux », l’avocate du chef d’État gabonais estime « qu’il est temps de mettre fin à cette fiction sur la filiation d’Omar Bongo Ondimba ».
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a annoncé lundi 29 février qu’il serait candidat à un deuxième mandat lors de l’élection présidentielle du second semestre 2016, dont la date n’a pas encore été fixée.
À huit mois de la présidentielle, c’est l’heure du bilan. Et celle des déclarations assassines. L’image du pays sera-t-elle à nouveau ternie par une campagne où, comme en 2009, tous les coups seront permis ?
Pour le Premier ministre, aucun doute : l’émergence est en marche grâce aux réformes engagées. Et selon lui, seul le chef de l’État sortant est de taille à les poursuivre.
À l’approche de l’élection présidentielle, les vieux routiers de la politique se sentent pousser des ailes. Les voilà tous sur le plot de départ. Et les jeunes, dans tout ça ?
Il va y avoir du sport ! Et peut-être même du sang et des larmes. Le contraire eut été étonnant dans ce pays où la politique (politicienne) est la discipline reine et la présidentielle, la compétition suprême.
Ancien baron du régime, il se lance à la conquête de la magistrature suprême, bien décidé à en découdre avec Ali Bongo Ondimba. Mais si tout indique qu’il sera le principal challenger du chef de l’État, le chemin qui mène au palais est encore long et semé d’embûches.
Jean Ping a été désigné candidat unique du Front uni de l’opposition pour l’alternance à la prochaine présidentielle gabonaise, a annoncé l’ancien président de la Commission de l’UA. Problème : une bonne partie des membres de cette vaste coalition rejettent sa candidature. Explication en quatre points.
L’ancien président de la Commission de l’Union africaine Jean Ping a officialisé sa candidature à l’investiture du Front uni de l’opposition pour l’alternance, dans la perspective de la prochaine présidentielle qui devrait avoir lieu en août.
Dans la perspective de la prochaine présidentielle, en août 2016, Ali Bongo Ondimba (ABO), le chef de l’État, s’efforce de reprendre en main le Parti démocratique gabonais (PDG).
Dans son numéro 2857 du 11 au 17 octobre, Jeune Afrique revient sur la fronde qui s’élargit au sein du Parti démocratique gabonais (PDG) d’Ali Bongo Ondimba et sur le remodelage du paysage politique alors que la présidentielle de 2016 approche à grand pas.
Plus politique que technocratique, la nouvelle équipe gouvernementale mise en place au Gabon ce week-end a pour but, entre autres, de préparer et de soutenir une probable candidature de l’actuel chef de l’État à la présidentielle de 2016.
De Paris à Bruxelles, tour d’horizon d’une diaspora africaine déterminée à faire entendre sa voix pour les élections à venir à Abidjan, Conakry et ailleurs. Zoom sur la diaspora gabonaise à Paris qui est le théâtre d’une véritable opération séduction en vue de l’élection présidentielle.
Alexandre Barro Chambrier, député du quatrième arrondissement de Libreville, est le fer de lance de ceux qui, au sein du parti au pouvoir, somment Ali Bongo Ondimba de revenir à une gestion plus participative des affaires de la majorité. Interview.
La présidentielle, c’est dans un an, et d’ici là chacun entend rappeler qu’il a un rôle à jouer, une influence à négocier. Quitte à semer la zizanie au sein du parti au pouvoir.
Abel Mbombé Nzondou, agent municipal de 45 ans, s’est officiellement déclaré dimanche candidat à l’élection présidentielle de 2016. C’est le deuxième candidat en lice après Dieudonné Minlama Minto’o, président de l’Observatoire national de la démocratie, issu de la société civile. Présentation.
Le Front de l’opposition gabonais va-t-il rapidement trouver son candidat pour la présidentielle 2016 ? Rien n’est moins sûr. Pour Mike Jocktane, ancien proche d’André Mba Obame, le chemin pourrait encore être long. Interview.
Sur l’échiquier politique, comme sur les plans économique et social, les grandes manoeuvres ont commencé au Gabon. Objectif : la présidentielle 2016. Jeune Afrique fait le tour du pays.
Les principaux ténors de l’opposition gabonaise font aujourd’hui front commun. S’accorderont-ils demain pour désigner un candidat unique à la présidentielle ?
Lors du vote article par article du projet de loi controversé modifiant la loi électorale en RDC, les sénateurs congolais ont supprimé vendredi l’incise contenue dans le texte initial qui liait l’organisation des élections législatives et présidentielle en 2016 au recensement général de la population.
Entre l’opposition et le pouvoir gabonais, depuis les violences de 2009, la situation n’avait jamais été aussi tendue. Une manifestation a dégénéré samedi à Libreville, faisant au moins une victime, entre un camp qui exige le départ d’Ali Bongo et un autre déterminé à ne rien céder.
Les piliers du gouvernement gabonais ont été maintenus dans leurs fonctions, le 3 octobre, mais ils ont senti passer le vent du boulet. Le chef de l’État Ali Bongo Ondimba est bien décidé à leur mettre la pression avant 2016.
Bilan, gouvernement, réformes, opposition, présidentielle 2016, corruption, Centrafrique, France… Cinq ans après son élection, le chef de l’État gabonais s’explique.
À l’approche de la présidentielle de 2016, entre démissions fracassantes et ralliements enthousiastes, le parti au pouvoir et l’opposition rassemblent leurs camps. Un article publié dans J.A. nº 2796-2797.
La page du scrutin local de décembre 2013 à peine tournée, commencent les grandes manoeuvres en vue de la présidentielle. Dissidences, alliances, jeu de chaises musicales dans les états-majors : majorité et opposition fourbissent leurs armes.