Initialement prévues le 17 décembre, les élections locales et régionales ont été reportées au mois d’avril 2018. Le gouvernement justifie cette décision par sa volonté d’organiser des élections inclusives et apaisées, qui répondent aux préoccupations de tous les acteurs engagés dans le processus électoral.
La présidentielle camerounaise, prévue en octobre 2018, aura lieu dans moins d’un an. Une éternité, si l’on s’attache à la brûlante actualité du pays. Pourtant, de nombreux candidats se sont déjà déclarés, espérant concilier départ précoce et présence dans le sprint final.
Sécurité, autorité de l’État, réformes, développement… Ces derniers mois, il a pu mesurer les espoirs, les impatiences, mais aussi les motifs de contrariété de ses concitoyens. À moins d’un an de la présidentielle, c’est l’heure du bilan pour Ibrahim Boubacar Keïta.
La plupart des leaders de l’opposition s’étaient rassemblés autour de la plateforme Touche pas à ma Constitution ! Désormais tous concentrés sur 2018, ils préparent leurs partis respectifs, et leurs candidatures, à la présidentielle.
Ancien Premier ministre, comptable de formation, Moussa Mara a accepté de répondre aux questions de Jeune Afrique au sujet de la révision constitutionnelle, du mandat d’IBK, de la prochaine élection présidentielle au Mali, et de la sécurité dans le pays.
Député, président de l’Union pour la République et la démocratie (URD), Soumaïla Cissé s’est incliné face à IBK au second tour de la présidentielle de 2013, avec 22,4 % des suffrages. Interview.