L’opposante togolaise Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA), affirme être confiante quant à l’issue des élections législatives et régionales, qui doivent se tenir le 20 avril prochain.
Remis de sa défaite à la présidentielle de 2020, Jean-Pierre Fabre espère mobiliser lors du double scrutin législatif et régional du 13 avril prochain, et ainsi damer le pion à un autre leader de l’opposition, Agbéyomé Kodjo, en exil.
De Jean-Pierre Fabre à Gerry Taama, en passant par Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson, à l’approche des législatives – qui doivent se tenir d’ici au début de décembre – la plupart des leaders politiques entrent en campagne, y compris ceux qui avaient boycotté le scrutin de 2018.
S’accommoder d’une démocratie balbutiante est-il le prix à payer pour obtenir la paix et le développement ? Face à cette épineuse question, l’opposition a plus que jamais un rôle crucial à jouer.
Les militants de la coalition de l’opposition sont de retour ce 7 novembre dans les rues pour trois jours de manifestations. Lundi soir, le gouvernement a annoncé une série de mesures pour tenter de créer un « climat d’apaisement » et favoriser une amorce de dialogue politique.
Après trois années passées à Lomé, l’ambassadeur de France Marc Fonbaustier cédera sa place en septembre à Marc Vizy, ex-conseiller à l’outre-mer de François Hollande à l’Élysée. Au Togo, cet énarque de 52 ans sera regretté, aussi bien au sein de la classe politique (pouvoir et opposition confondus) que dans la société civile.
Faure Gnassingbé, qui n’est pas apparu en public depuis le 5 juin, fait l’objet de nombreuses rumeurs sur son état de santé. Une disparition inhabituelle qui commence à devenir inquiétante…
Les résultats de la présidentielle du 25 avril au Togo sont proclamés depuis lundi au compte-gouttes. Le président sortant Faure Gnassingbé est en tête après 18% du dépouillement. Pendant ce temps, on assiste à une véritable bataille de nerfs sur internet entre les partisans des principaux challengers.
Les Togolais attendent avec inquiétude le verdict de l’élection présidentielle de samedi. L’annonce des premiers résultats a commencé tôt lundi, jour du 55e anniversaire de l’indépendance du pays.
À peine plus de la moitié des électeurs togolais se sont rendus aux urnes samedi pour élire leur président, un scrutin à un tour dont Faure Gnassingbé, le chef de l’État sortant, héritier d’une famille au pouvoir depuis 48 ans, est favori.
Les Togolais élisent samedi leur président lors d’un scrutin à un tour qui peine à mobiliser les foules, dont le favori est le sortant Faure Gnassingbé, héritier d’une famille régnant sans partage depuis 48 ans, face à une opposition divisée.
Les Togolais votent samedi pour une présidentielle à un tour dont le favori est le sortant Faure Gnassingbé, héritier d’une famille régnant sans partage depuis 48 ans, face à une opposition handicapée par ses divisions.
La campagne officielle pour l’élection présidentielle au Togo a pris fin jeudi soir après une série de grands rassemblements organisés par les différents candidats. Le président sortant Faure Gnassingbé et son principal rival Jean-Pierre Fabre ont choisi de clôturer leurs marathons de séduction à Lomé, la capitale.
À quelques jours de la fin de la campagne pour l’élection présidentielle togolaise, les candidats se déchirent autour du système informatisé de transmission des résultats mis en place par Clément Aganahi, un expert électoral franco-béninois.
Depuis 2013, Jean-Pierre Fabre apparaît comme le principal adversaire de Faure Gnassingbé. Mais saura-t-il fédérer autour de lui l’ensemble de l’opposition ?
La campagne pour l’élection présidentielle du 25 avril a démarré vendredi au Togo. Tous les candidats ont lancé dès le premier jour leurs machines de séduction des électeurs. À Lomé, la domination des affiches du président sortant est sans appel.
Si l’OIF continue d’aider la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) à « consolider » les listes électorales, la coopération de l’UE avec le Togo au sujet de la prochaine présidentielle a connu un sérieux accroc.
Les Togolais sont habitués aux contestations de résultats électoraux par l’opposition. Mais, dans le cadre de la présidentielle prévue pour le 25 avril, la classe politique se déchire autour de la question de l’audit du fichier électoral censé garantir un processus irréprochable.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a proposé mardi que la présidentielle togolaise soit reportée de 10 jours. Initialement prévu le 15 avril, le scrutin aurait ainsi lieu le 25 du même mois.
Cinq candidats s’affronteront dans les urnes le 15 avril pour l’élection présidentielle au Togo. Si le président sortant Faure Gnassingbé et son principal opposant Jean-Pierre Fabre font figure de favoris, trois autres concurrents tenteront de leur ravir la vedette.
Les Togolais iront voter le 15 avril. Les cinq candidats en lice pour la présidentielle affûtent leurs programmes, leurs argumentaires et leur image. Cette année, pour la première fois, c’est aussi sur le web et les réseaux sociaux que les équipes s’agitent pour convaincre les électeurs.
En pleins préparatifs pour l’élection présidentielle, le président togolais Faure Gnassingbé n’a pas attendu longtemps pour dresser le bilan de l’un des projets phares de son quinquennat : la finance inclusive.
La Commission électorale nationale indépendante (Céni) a clôturé dimanche le dépôt de candidatures pour l’élection présidentielle. Quatre candidats, dont le leader de l’opposition Jean-Pierre Fabre, affronteront le président sortant, Faure Gnassingbé, lors de ce scrutin à tour unique le 15 avril prochain.
Les délégués de l’Unir (parti au pouvoir au Togo) ont officiellement investi mercredi le président Faure Gnassingbé comme candidat à l’élection présidentielle. Un scrutin fixé la veille par décret à la date du 15 avril.
Les délégués du parti au pouvoir, l’Union pour la République (Unir), doivent se retrouver mercredi à Kara (nord du Togo) pour désigner leur candidat à la présidentielle qui doit se tenir en avril. Sans surprise, ce choix devrait se porter sur l’actuel chef de l’État, Faure Gnassingbé.
Le front social est tendu au Togo à quelques semaines de l’élection présidentielle. Des mouvements d’humeurs, principalement dans les secteurs clés de la santé et de l’éducation, ont poussé le gouvernement à décréter, le 17 février, la fermeture des écoles sur toute l’étendue du territoire « jusqu’à nouvel ordre ».
L’Union pour la république (Unir), parti au pouvoir, a remplacé ce vendredi quatre de ses cinq délégués à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Cette annonce intervient à quelques semaines de l’élection présidentielle qui devrait se tenir à la mi-avril.
Après avoir publié, lundi, un communiqué qui semblait indiquer un scrutin présidentiel au plus tard le 5 mars, la Cour constitutionnelle togolaise fait une mise au point qui repousse la date de l’élection autour de la mi-avril.