À San Pedro dimanche, Alassane Ouattara a déclaré qu’il n’y aurait aucune modification de la Constitution avant les prochaines élections prévues en octobre 2015. Notamment en ce qui concerne le fameux article 35 sur les conditions d’éligibilité à la présidentielle.
Le chef du Front populaire ivoirien a menacé samedi de saisir la justice après que des « frondeurs » ont annoncé son éviction de la tête du parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, en pleine crise avant la présidentielle d’octobre.
À quelques mois de la présidentielle, prévue en octobre, et bientôt quatre ans après la fin de la crise postélectorale, « Jeune Afrique » s’est penché sur celles et ceux qui incarnent cette nouvelle Côte d’Ivoire dirigée par Alassane Ouattara.
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire, principal allié du président sortant Alassane Ouattara au sein de la majorité, a validé samedi la candidature unique du chef de l’État à la présidentielle d’octobre, malgré de fortes dissensions au sein de cette formation.
Les tensions au sein du PDCI au sujet de la présidentielle de 2015 s’aggravent de jour en jour. Interview de Kouadio Konan Bertin (KKB), un des quatre frondeurs qui rejettent « l’Appel de Daoukro » de Henri Konan Bédié, le président du parti.
La crise consécutive à « l’appel de Daoukro » n’en finit pas de secouer le PDCI. Quatre opposants au leadership d’Henri Konan Bédié ont annoncé jeudi qu’ils boycotteront le prochain congrès du parti pour organiser une convention alternative afin de se choisir un candidat à la présidentielle autre qu’Allassane Ouattara.
Mamadou Koné, proche d’Alassane Ouattara comme de Guillaume Soro, ancien ministre de la Justice de Laurent Gbagbo, a été nommé président du Conseil Constitutionnel. Un poste clé dans la perspective de la présidentielle d’octobre 2015.
À dix mois de la présidentielle ivoirienne, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) d’Henri Konan Bédié et le Front populaire ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo n’ont jamais été aussi divisés. Comme le montrent les événements de jeudi…
Ils sont désormais trois aspirants à l’investiture du PDCI pour la présidentielle ivoirienne 2015. Après Amara Essy et Bertin Konan Kouadio, l’ancien Premier ministre Charles Konan Banny a déposé sa candidature mercredi.
Konan Kouadio Bertin, l' »enfant terrible » du PDCI, brave une nouvelle fois les instances de son parti, en annonçant sa candidature à la présidentielle ivoirienne de 2015. Il s’en explique pour « Jeune Afrique ».
Des mois qu’il hésite à passer outre la consigne de son parti, le PDCI, et à se présenter à la présidentielle de 2015 face à Alassane Ouattara. Le pouvoir, Charles Konan Banny en rêve, et son âge ne lui permet pas d’attendre 2020. Portrait d’un ambitieux.
Du Nigeria au Burundi en passant par la Côte d’Ivoire et la Centrafrique, les élections présidentielles, législatives et locales sont nombreuses en 2015 sur le continent africain. « Jeune Afrique » vous propose une carte interactive pour y voir plus clair.
Le leader du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, a annoncé ce mercredi lors d’un meeting tenu dans son fief à Daoukro le ralliement de sa formation à la candidature d’Alassane Ouattara pour l’élection présidentielle de 2015.
La reconduction à la tête de la Commission électorale indépendante de Youssouf Bakayoko n’est pas du goût de tous. Et pour cause : il occupait déjà ce poste lors de la présidentielle de 2010, scrutin le plus mouvementé de l’histoire de la Côte d’Ivoire.
Plusieurs dirigeants du PDCI cherchent un candidat de consensus dans leurs rangs pour éviter une candidature unique avec le RDR à la présidentielle de 2015. Leur choix s’est porté sur Amara Essy.
Le président Alassane Ouattara entame dimanche une tournée dans le centre de la Côte d’Ivoire, une visite stratégique sur les terres de son principal allié à 13 mois de la présidentielle de 2015.
Les principaux partis de l’opposition ivoirienne ont décidé le 9 septembre de suspendre leur participation aux travaux de la Commission électorale indépendante (CEI), dénonçant la réélection de son président, Youssouf Bakayoko. Ce dernier réagit pour « Jeune Afrique ».
Alors que la présidentielle de 2015 se dessine, les grands leaders politiques s’apprêtent à se lancer dans la course. Alassane Ouattara, déjà candidat, préfère, lui, rester en retrait.
Alors que l’élection présidentielle ivoirienne aura lieu en octobre 2015, seul Alassane Ouattara a pour l’instant déclaré sa candidature. Les autres leaders politiques continuent de chercher celui qui les représentera au scrutin national.
Le Conseil des ministres de mercredi a accouché d’un projet de loi sur la prochaine commission électorale chargée d’organiser la présidentielle ivoirienne de 2015. Celui-ci sera soumis au vote des députés dans les prochaines semaines.
À moins de deux ans de la présidentielle, les appétits s’éveillent. Même le PDCI, pourtant allié du parti au pouvoir, envisage de désigner son propre candidat. Un scénario que le chef de l’État s’emploie à éviter.
Un mouvement au sein du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), allié du président Alassane Ouattara, s’est déclaré samedi opposé à une candidature unique de ce dernier pour la présidentielle de 2015.