La décision de l’opposition de suspendre sa participation aux travaux de l’Assemblée nationale fait notamment suite au choix de la Ceni d’organiser la présidentielle le 11 octobre 2015 et les élections locales fin mars 2016.
Le premier tour de la présidentielle guinéenne est fixé au 11 octobre, a annoncé mardi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) à Conakry.
Qualifiée par tirage au sort aux dépens du Mali, la Guinée se prépare à affronter la Ghana dimanche à Malabo (17 heures) en quarts de finale de la CAN. Un rendez-vous face à un des favoris de la compétition que Michel Dussuyer, le sélectionneur du Syli national et le milieu de terrain Ibrahima Conté abordent avec détermination.
Des heurts se sont produits entre des opposants et les forces de l’ordre guinéennes mercredi, à Conakry, en marge d’un meeting de l’opposition. Aucun bilan de ces violences n’était disponible en fin de journée.
Les élections présidentielle et législatives en Guinée-Bissau, qui doivent mettre un terme à la transition entamée après le coup d’État d’avril 2012, devraient avoir lieu le 24 novembre prochain.
La Commission électorale nationale indépendante l’a annoncé lundi soir : c’est Alpha Condé qui remporte l’élection présidentielle en Guinée, avec 52,52 % des voix, contre 47,48 % pour son adversaire Cellou Dallein Diallo, selon des résultats provisoires. Peu après l’annonce, des coups de feu ont été entendus à Conakry.
Une semaine après la tenue du second tour de l’élection présidentielle guinéenne, les résultats ne sont toujours pas connus. Ils devraient être communiqués dans la soirée de dimanche ou lundi.
Un appel au calme et à la fraternité, lancé par les deux candidats à la présidentielle en Guinée, était diffusé samedi dans tout le pays, pour diminuer la tension à la veille d’un scrutin historique.
Le président de la Ceni a proposé que le second tour de la présidentielle soit organisé le 31 octobre. Il appartient au président de la transition, Sékouba Konaté, de confirmer cette date. Alpha Condé n’a « pas d’objection » à cette date mais Cellou Dalein Diallo réclame un nouveau report pour permettre le retour des populations « déplacées » suite aux violences ethniques.
Contrairement à ce qui avait été annoncé, la Ceni n’est pas parvenue à fixer une nouvelle date pour le second tour de l’élection présidentielle en Guinée.
À dix jours de l’élection présidentielle, c’est un incident qui fait froid dans le dos : des éléments de la garde présidentielle ont fait une descente très musclée au siège de l’UFDG pour procéder à des arrestations. Leur cortège aurait été « caillassé par des inconnus ».
Après des semaines de palabres sur la faisabilité et la crédibilité du second tour de la présidentielle guinéenne, celui-ci a été finalement fixé au 19 septembre.
La Cour suprême a reporté officiellement à une date inconnue l’organisation du second tour de la présidentielle, dont le premier a eu lieu le 27 juin. C’est une petite victoire pour le Premier ministre Jean-Marie Doré, qui a su faire triompher son point de vue.
Le président burkinabè est arrivé dans la capitale guinéenne pour tenter de favoriser l’émergence d’un consensus sur la date du second tour de l’élection présidentielle.
A un mois de la date officielle prévue pour l’élection présidentielle en Guinée, la liste des candidats a été validée par la Cour suprême. Aucun militaire ne figure parmi les présidentiables.