La Cour pénale internationale (CPI) a fixé lundi à 30 millions de dollars (25 millions d’euros) le montant des réparations aux victimes de Bosco Ntaganda, condamné en 2019 à 30 ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
L’ancien chef de guerre congolais a été condamné jeudi à 30 ans de prison par la Cour pénale internationale. Selon son avocat, l’accusé, « en paix avec lui-même », va faire appel de la décision.
Reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité le 8 juillet dernier, l’ex-chef de guerre congolais Bosco Ntaganda a été condamné à 30 ans d’emprisonnement par la Cour pénale internationale, dans un jugement prononcé ce mercredi.
L’ex-chef de guerre et ancien général de l’armée congolaise a été reconnu coupable par la CPI de crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Le Rwanda et la RDC, qui ont un temps protégé celui que l’on surnomme « Terminator », restent discrets quant à cette condamnation.
L’ex-chef de guerre congolais Bosco Ntaganda a été reconnu coupable ce lundi des 18 chefs d’accusation portés contre lui, dont « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité », par la Cour pénale internationale (CPI). Une audience ultérieure devra définir sa peine.
Alors que le procès de Bosco Ntaganda devant la Cour pénale internationale (CPI) entre dans sa dernière phase, l’accusation a affirmé que l’ancien chef de guerre congolais avait fourni de la drogue et de l’alcool à des enfants soldats avant de les envoyer vers ses ennemis en Ituri, dans l’est de la RDC.
L’ex-chef de guerre congolais Bosco Ntaganda, en grève de la faim depuis presque deux semaines, a recommencé à s’alimenter, a indiqué à l’AFP dans la nuit de mardi à mercredi son avocat devant la Cour pénale internationale (CPI).
L’ex-chef de guerre congolais Bosco Ntaganda a entamé lundi son 12e jour de grève de la faim dans sa cellule aux Pays-Bas, refusant toujours de comparaître à son procès pour crimes contre l’humanité à la Cour pénale internationale (CPI).
L’ancien milicien congolais, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité, observe une grève de la fin depuis le 7 septembre et boycotte les audiences de son procès. Il proteste contre ses conditions de détention et demande à pouvoir voir sa famille.
Le premier témoin à charge dans le procès de l’ancien chef de guerre congolais Bosco Ntaganda, accusé de crimes contre l’humanité, a commencé à parler mardi, assurant que les rebelles étaient venus « faire la guerre » dans son village.
Il semait la terreur dans la région des Grands Lacs. Lors de son procès, Bosco Ntaganda était apparu métamorphosé en bon père de famille, mais n’est pas parvenu à convaincre la Cour pénale internationale (CPI), qui l’a jugé responsable le 8 juillet 2019 de « crimes de guerre » et « crimes contre l’humanité ».
À Kinshasa, la Monusco a organisé la diffusion du procès en léger différé. Mais les Kinois se montrent plutôt indifférents, et les médias locaux embarrassés.
Retour sur la première journée du procès de Bosco Ntaganda, qui comparaissait devant la Cour pénale internationale de La Haye le 2 septembre pour les massacres perpétrés en Ituri, dans le nord-est de la RDC.
Alors que le procès très attendu du chef de guerre Bosco Ntaganda vient de débuter à la Cour pénale internationale de La Haye, le Congolais Paul Nsapu Mukulu, secrétaire général de la FIDH pour l’Afrique subsaharienne, revient sur les attentes des victimes en RDC. Interview.
Le procès de l’ancien chef de guerre Bosco Ntaganda s’ouvre ce mercredi devant la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye. Un rendez-vous judiciaire très attendu en RDC.
Surnommé « Terminator » car réputé sans pitié, l’ex-chef de guerre congolo-rwandais est accusé d’avoir joué un rôle central dans les crimes ethniques commis en Ituri en 2002 et 2003.