Un séisme d’une puissance sans précédent a frappé le Maroc dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 septembre. Les bilans, encore provisoires, font état de plus de près de 3 000 morts et près de 6 000 blessés.
L’ampleur des destructions est, dans certaines des villes, énorme.
Face à l’ampleur de la catastrophe, les autorités marocaines ont sollicité plusieurs pays étrangers comme l’Espagne, la Grande-Bretagne, le Qatar et les Emirats arabes unis, pour envoyer des équipes de recherche et sauvetage.
Le séisme a dévasté de nombreuses habitations de villages situés dans des zones montagneuses, parfois très difficiles d’accès.
Le chef du gouvernement marocain, Aziz Akhannouch, a assuré que les citoyens qui avaient perdu leur logement recevraient des indemnités.
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Marrakech a été choisi pour accueillir les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI du 9 au 15 octobre. Un rendez-vous qui n’avait pas eu lieu sur le sol africain depuis 50 ans. Mais après le séisme qui a frappé la région le 8 septembre, des doutes naissent quant à la possibilité de maintenir l’événement.
Le gouvernement marocain a fait savoir qu’il rejetait la proposition d’aide de l’Algérie, qui s’apprêtait à envoyer trois avions, avec à leur bord des secouristes et du matériel destiné aux sinistrés.
Si le Maroc a accepté l’offre d’assistance de plusieurs pays après le séisme d’Al Haouz, la France n’a toujours pas reçu de feu vert pour intervenir. Certains s’en étonnent et font le lien avec les relations tendues entre Paris et Rabat. Qui disent regretter une polémique stérile.
Volontaires et secouristes restent mobilisés pour tenter de trouver d’éventuels survivants, même si 72 heures après le séisme qui a fait près de 2 900 morts, les chances sont de plus en plus minces.
Alors que le dernier bilan officiel fait état de 2 862 morts, une nouvelle équipe espagnole de 31 hommes et 15 chiens a été envoyée au Maroc. L’Espagne fait partie des quatre pays dont l’offre d’aide a été acceptée par Rabat.
Très sensibles au sort de leurs compatriotes et de leurs proches vivant au pays, les Marocains résidant à l’étranger se mobilisent depuis samedi matin pour apporter toute l’aide possible.
Les autorités algériennes ont annoncé un plan d’aide d’urgence pour leur voisin marocain, proposant de dépêcher une équipe de 80 secouristes spécialisés, ainsi que des aides matérielles. Au Maroc, le bilan officiel approche désormais la barre des 2 500 morts.
Souvent mobilisées lors d’événements dépassant en apparence leurs prérogatives, les forces armées sont à nouveau sur le terrain pour secourir les victimes du tremblement de terre qui a frappé le Maroc dans la nuit de vendredi à samedi.
Alors que le royaume bénéficie d’un grand élan de solidarité international depuis le tremblement de terre, associations et gouvernements étrangers attendent encore le feu vert des autorités marocaines pour se rendre sur place. Ce matin, Rabat a répondu favorablement aux propositions de Doha et Madrid.
Le tremblement de terre de ce 8 septembre, le plus puissant de l’histoire contemporaine du Maroc, a déjà causé plus de 2 000 décès selon les derniers bilans officiels. Les blessés convergent maintenant vers les hôpitaux, en particulier à Marrakech.
Alors que le bilan s’est encore alourdi pendant la nuit, dépassant les 2 000 morts, et que des répliques se font sentir, les organisations d’aide commencent à évaluer les besoins et estiment que les régions touchées devront être soutenues pendant des années.
Alors qu’il était en séjour privé à Paris, le roi Mohammed VI est rentré à Rabat, d’où il a présidé une réunion de crise à la suite du séisme qui a frappé le royaume. Un deuil national de trois jours a été décrété.
Le tremblement de terre qui a touché la province marocaine d’Al Haouz vient le rappeler de façon dramatique : la Méditerranée, et notamment sa rive sud, est une zone de forte activité sismique.
Alors que le bilan du tremblement de terre dépasse maintenant les 1 000 morts, l’Algérie a, à son tour, proposé assistance à son voisin, annonçant notamment sa décision de rouvrir son espace aérien aux avions transportant de l’aide humanitaire ou des blessés.
Le tremblement de terre au Maroc, qui a fait plus de 1 000 morts, a suscité un élan de solidarité dans le monde, plusieurs pays proposant leur aide à Rabat.
Plus de 1 000 personnes ont été tuées et 672 blessées dans un séisme qui a dévasté le pays dans la nuit de vendredi à samedi, provoquant d’énormes dégâts à Marrakech. La secousse a été ressentie à Rabat, Casablanca, Agadir et Essaouira.