Transition au Mali

Après le putsch mené le 18 août 2020 par les militaires du Comité national pour le salut du peuple (CNSP) qui a poussé Ibrahim Boubacar Keïta à la démission, l’ancien colonel-major Bah N’Daw a été désigné président de la transition. Le colonel Assimi Goïta, chef de la junte, a pour sa part été désigné vice-président de la transition. Tous les deux ont été investis le 25 septembre et promis que la transition durerait, au maximum, dix-huit mois.

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Circulation à Bamako, au Mali, devant le siège de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), en juin 2019. (illustration) © Vincent Fournier/JA.

Mali : face aux sanctions, les banquiers résistent

Le Premier ministre malien de transition, Choguel Maïga, à Bamako, le 2 février 2022. © NACER TALEL/Anadolu Agency via AFP

Mali : devant le CNT, un nouveau Choguel Maïga ?

Manifestation à Bamako en faveur du gouvernement de transition après l’annonce de sanctions à l’encontre du Mali par la Cedeao, le 14 janvier 2022. © REUTERS/Paul Lorgerie.

Mali : pourquoi la suspension des sanctions reste sans effet

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Goodluck Jonathan et Assimi Goïta à Bamako, le 23 août 2020. © H.DIAKITE/EPA/MAXPPP

Mali : les sanctions de l’UEMOA contre Bamako suspendues

La presse malienne se déchire pour savoir s’il faut ou non traiter de certains sujets sécuritaires (photo d’illustration) © ANNIE RISEMBERG/AFP.

Mali : les journalistes sous pression

Les Forces armées maliennes lors d’une formation avec les forces spéciales françaises, dans la base militaire de Menaka, au Mali, le 7 décembre 2021. © Thomas Coex, AFP

Mali : deuil national après une attaque jihadiste meurtière contre l’armée

Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, le 25 février 2022 à Bruxelles (Belgique). © JOHANNA GERON/REUTERS.

Mali : pourquoi Jean-Yves Le Drian est visé par une plainte à Bamako