Transition au Mali

Après le putsch mené le 18 août 2020 par les militaires du Comité national pour le salut du peuple (CNSP) qui a poussé Ibrahim Boubacar Keïta à la démission, l’ancien colonel-major Bah N’Daw a été désigné président de la transition. Le colonel Assimi Goïta, chef de la junte, a pour sa part été désigné vice-président de la transition. Tous les deux ont été investis le 25 septembre et promis que la transition durerait, au maximum, dix-huit mois.

Assimi Goïta à Accra, au Ghana, le 15 septembre 2020. © CHRISTIAN THOMPSON/EPA-EFE/MAXPPP

Mali : Assimi Goïta pressé de toute part

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Moussa Timbiné, président du mouvement « An Ka Ben », à Bamako, le 18 octobre 2021. © Nicolas Réméné pour JA

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Décompte des voix à Kidal, en juillet 2013 © Rebecca Blackwell/AP/SIPA

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Les magistrats maliens Cheick Mohamed Chérif Koné et Mahamadou Timbo. © Montage JA ; Saad pour JA

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Moctar Ouane (à g.) et Bah N’Daw, respectivement Premier ministre et président de la transition malienne, de septembre 2020 à mai 2021. © Frank Franklin II/AP/SIPA /AP/SIPA

Mali : levée des restrictions pour Bah N’Daw et Moctar Ouane

Le colonel Assimi Goïta, lors de sa prestation de serment comme président de la transition au Mali, le 7 juin 2021 à Bamako. © CHINE NOUVELLE/SIPA

Mali : « Assimi Goïta aurait dû désigner un vice-président »

Le colonel Assimi Goïta devenu « chef de l’État » malien, le 24 août à Bamako. © Baba Ahmed/AP/Sipa

Mali : une loi d’amnistie sur mesure pour les putschistes

Le colonel Assimi Goïta, ici le 24 août 2020 à Bamako après le coup d’État contre IBK, a poussé le président de la transition Bah N’Daw à la démission. © Baba Ahmed/AP/SIPA

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