Le 9 janvier, le chef de l’État assistera à la cérémonie d’ouverture de la Coupe d’Afrique des nations à Yaoundé. Plusieurs convives de marque devraient l’y accompagner, malgré la situation sanitaire difficile. « Jeune Afrique » dévoile une partie du casting.
En détention depuis 2019, l’ex-directeur général de la sûreté nationale a récemment été admis à l’hôpital Mustapha Pacha d’Alger. Physiquement et moralement diminué, il continue de dénoncer une cabale orchestrée contre lui.
Les 17 et 18 décembre, à Istanbul, le président Recep Tayyip Erdogan recevra une vingtaine de ses pairs du continent, pour la troisième édition de cet événement.
Pour lutter contre l’implantation des groupes jihadistes, le gouvernement et ses partenaires internationaux mobilisent de nouveaux fonds. Premier objectif : stopper le recrutement des jeunes.
Un nouvel accord a été trouvé entre la présidence et le concessionnaire de l’aéroport, à temps pour l’inauguration du nouveau terminal prévue dans trois jours.
L’architecte sénégalais accuse depuis plusieurs années l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle d’avoir construit son siège sur un terrain lui appartenant à Yaoundé. Il compte désormais saisir la justice camerounaise. Explications.
Un collectif proche de l’ancien Premier ministre Boubou Cissé s’est constitué afin d’exiger la tenue d’un congrès extraordinaire. Objectif : désigner rapidement le nouveau président du parti.
Le pouvoir de Mamadi Doumbouya veut entériner la composition du CNT avant le sommet de la Cedeao, le 12 décembre. Mais les partis politiques ne parviennent pas à s’entendre sur le choix de leurs quinze représentants.
« Jeune Afrique » a pu consulter en exclusivité la décision de la Cour de cassation, qui a remis l’ancien puissant directeur de cabinet de Félix Tshisekedi en liberté provisoire le 6 décembre.
La restructuration du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), le parti au pouvoir, entre dans sa dernière ligne droite. Voici ce que le président a acté.
Le 2 décembre, le chef de l’État ivoirien s’est entretenu au palais présidentiel avec son homologue sud-africain, alors en visite de 72 heures dans le pays.
L’ancien Premier ministre a été entendu pour la première fois depuis qu’il a été placé sous mandat de dépôt dans l’affaire « Air IBK ». Ses avocats s’apprêtent à demander une nouvelle fois sa libération.
Détenu au Maroc, cet homme d’affaires français est accusé par la justice béninoise de trafic de stupéfiants. Retour sur un imbroglio qui devrait prendre des allures d’affaire d’État.
Le chef de l’État a récemment été alerté sur de possibles dérives liées à l’attribution des terres. Une « brigade du foncier », sous contrôle de la gendarmerie, pourrait être mise en place. Explications.
Pour obtenir leur participation au dialogue officiel, le président de la transition tend la main aux chefs des groupes politico-militaires. Après les avoir amnistiés, il s’apprête à satisfaire une autre de leurs revendications.
Conseillers, ministres ou encore sécurocrates. Plusieurs proches du chef de l’État tentent, depuis quelques semaines, de faire la lumière sur un litige minier. Explications.
Les scrutins municipaux et régionaux avaient un temps été repoussés à 2025, en même temps que la présidentielle et les législatives. Changement de programme.
Le président nigérien a opéré ce 29 novembre des changements dans la composition de son équipe gouvernementale et notamment remplacé Alkache Alhada, à l’Intérieur, par un de ses proches.
S’appuyant sur une décision de justice de la Cedeao, l’homme d’affaires Oumar Diawara avait obtenu en Guinée l’immobilisation d’un nouvel appareil de la compagnie nationale ivoirienne. Mais les autorités locales l’ont empêché de mener à bien son opération.
Des forces loyales au maréchal Haftar continuent d’intimider les juges de la cour de justice de Sebha, qui doivent plancher sur la recevabilité de la candidature du fils de Kadhafi à la présidentielle.
En amont du dialogue national, le président de la transition a approuvé ce 29 novembre deux projets de loi portant amnistie pour 296 personnes, dont 257 liées aux groupes armés du pays. En voici les détails.
Le chef de l’État togolais est récemment intervenu auprès du chef de la junte au pouvoir afin que l’ancien conseiller spécial d’Alpha Condé puisse voyager. Voici pourquoi.
Officiellement exclu de la course à la présidentielle, le fils de Mouammar Kadhafi comptait déposer un recours à Sebha. Mais les forces loyales au maréchal Haftar, lui-même candidat, bloquent la Cour de justice.