Le match entre la Rwandaise Louise Mushikiwabo et la Canadienne Michaëlle Jean aura-t-il lieu ? Tandis que plusieurs dirigeants africains espèrent un forfait du Canada, l’entourage de la secrétaire générale de l‘OIF assure qu’elle ne jettera pas l’éponge.
Révoqué le 1er août, en Conseil des ministres, de son poste de maire du Plateau qu’il occupait depuis dix-sept ans, Noël Akossi Bendjo envisage de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête de la commune du centre d’Abidjan à l’occasion des municipales du 13 octobre.
Épinglé par un rapport de la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la fraude, rendu public le 31 juillet par son président, Lamyr Nguelé, pour des détournements présumés survenus au sein de son ministère des Hydrocarbures, Jean-Marc Thystère-Tchicaya n’est pas le seul sur la sellette.
William Bourdon et Dieudonné Bonkoungou, les deux avocats de Djibrill Bassolé, se disaient « pessimistes sur la possibilité que leur client recouvre la liberté, a fortiori qu’il soit acquitté » dans un document en date du 17 mai.
Patrice Talon a reporté sa réforme à après les législatives de 2019, Obiang Nguema s’est retiré à Mongomo pour célébrer l’anniversaire du coup d’État qu’il perpétra en 1979 contre son oncle… Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
C’est un réseau d’immigration clandestine « haut de gamme » vers l’Europe que les limiers de la DGST marocaine, que dirige Abdellatif Hammouchi, ont démantelé avec l’arrestation, le 18 juillet à Casablanca, à Mohammedia et à Benslimane, de 14 personnes, dont un Franco-Algérien.
Les tractations ont démarré au sein de l’opposition camerounaise en vue d’une hypothétique candidature unique face à Paul Biya pour la présidentielle. Aux Comores, le référendum de ce lundi est contesté par l’opposition… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Le vice-président gabonais, Pierre-Claver Maganga Moussavou, s’apprête à déposer une plainte en France contre le concessionnaire automobile Bentley à la suite de la divulgation d’une facture concernant l’achat, en octobre 2017, d’un modèle Continental GT pour 158 800 euros.
Une rencontre entre les présidents angolais et congolais prévue le 23 juillet a, de nouveau, été reportée. La raison ? Joseph Kabila « ne veut pas quitter Kinshasa avant le 8 août ».
Dans le cadre de sa tournée, Louise Mushikiwabo, candidate au poste de Secrétaire général de l’OIF, devrait en août sillonner d’autres pays membres de l’Organisation, notamment en Europe centrale et en Asie du Sud-Est.
Il s’est déclaré candidat à sa propre succession le 13 juillet, par un tweet. Le chef de l’État camerounais à jusqu’au 7 octobre, date du scrutin présidentiel, pour mobiliser son camp et ses compatriotes autour de sa septième candidature – sa première élection remontant à 1984. Qui seront ses lieutenants pendant la campagne ?
Emmanuel Ilunga, ministre en charge des Congolais de l’étranger, a confirmé jeudi à Jeune Afrique la décision de Kinshasa de n’accorder aux ressortissants français et belges que des « visas humanitaires ou pour soins médicaux ».
La participation des deux millions de Burkinabè établis en Côte d’Ivoire à la prochaine présidentielle représente un vrai défi logistique et financier.
Dans son réquisitoire, le 25 juin, François Molins, le procureur de Paris, a demandé le renvoi d’Ange Magloire Gnanduillet devant la cour d’assises pour assassinat. Mais ce prévenu ne se présentera jamais devant les juges.
Patrice Trovoada, le Premier ministre de São Tomé-et-Príncipe, Teodorín Nguema Obiang Mangue, le vice-président équato-guinéen ou encore Ali Bongo Ondimba, le président gabonais, étaient à Moscou pour la finale de la Coupe du monde 2018. Qui y ont-ils rencontré ?
L’ancien président béninois Thomas Boni Yayi a tenté d’obtenir le retrait de la demande de levée d’immunité pesant sur deux membres de son parti, le roi du Maroc ne délivrera pas de grâce présidentielle pour les condamnés du Hirak… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
La photo a été largement partagée sur les réseaux sociaux camerounais. On y voit l’ancienne ministre française de l’Écologie arborer un pagne à l’effigie de Paul Biya. Sauf que Ségolène Royal n’avait apparemment pas conscience de soutenir ainsi le président-candidat…
Deux hauts fonctionnaires du ministère algérien de la Défense ont été entendus par la justice. Ils sont soupçonnés d’avoir profité des largesses de Kamel Chikhi, principal suspect dans l’enquête ouverte après une saisie record de Cocaïne à Oran.
Le chef de l’État turc est annoncé au sommet des Brics, du 25 au 27 juillet, à Johannesburg, le rapprochement entre Luanda et Rabat se confirme, Roi Rosenblit prendra ses fonctions d’ambassadeur d’Israël à Dakar début août… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Le président ivoirien donne son accord pour la création d’une unité de police montée, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé sera en visite en RDC et au Congo fin juillet. Chaque semaine, Jeune Afrique vous dévoile les coulisses du pouvoir. Plongée dans les secrets des chefs d’État et de leur premier cercle.
Le président équato-guinéen a claqué la porte de la conférence des chefs d’État de la Communauté des pays de langue portugaise (CPLP). Il espérait, en vain, obtenir l’organisation du prochain sommet de la CPLP, en 2020.
Sa maison est sous scellés depuis dix ans. « Al oustad » (« le professeur »), qui dirige la puissante association islamiste Al Adl Wal Ihsane (« Justice et Bienfaisance »), est l’un des premiers opposants du Maroc. Il est le « secrétaire général » d’une Jamaâ qui n’a connu qu’un seul guide (« mourchid »), son fondateur, Cheikh Yassine, décédé en 2012.
Depuis qu’Ahmed Saïd Djaffar, le vice-président d’Azali Assoumani, s’est opposé à la tenue du référendum constitutionnel, les hostilités sont ouvertes entre les deux hommes : le président lui a coupé le téléphone et repris son véhicule de fonction.
Face aux difficultés rencontrées par l’armée ivoirienne et afin de relancer la loi de programmation militaire, le Premier ministre hâte ses équipes pour mettre en place un montage financier de près de 508 milliards de F CFA.
Convoqué au tribunal de Cotonou, l’ancien Premier ministre Lionel Zinsou devait choisir la nationalité qu’il souhaitait voir prise en compte dans cette procédure. Une question à laquelle le Franco-Béninois n’a pas répondu.