À deux mois des prochaines élections générales, qui viennent d’être fixées au 24 août prochain, le pays n’a peut-être jamais autant compté de partenaires commerciaux.
L’Institut Pasteur de Dakar élaborera bientôt des vaccins contre le Covid-19 et autres maladies endémiques. Une unité de fabrication d’une capacité de production annuelle de 300 millions de doses est en construction à Diamniadio. Une grande première à l’échelle du continent.
Sénégal, Burkina Faso et Mali sont, juste après l’Allemagne, les pays dont les collectivités territoriales ont noué le plus de partenariats avec leurs homologues françaises.
Architecte intellectuel du sommet Afrique-France de Montpellier, Achille Mbembe a pris position pour la réélection du président français. Selon l’historien camerounais, cinq grands axes devraient guider la politique africaine du second quinquennat du chef de l’État.
Le patron de l’AFD s’est rendu à Niamey du 18 au 20 avril, à quelques jours du vote au Parlement nigérien du redéploiement d’une partie des forces françaises de Barkhane dans le pays.
Nommé en 2016, reconduit en 2019, le directeur général de l’Agence française de développement espère solliciter en juin un troisième mandat. Bien que son avenir reste lié à la réélection d’Emmanuel Macron, il est déjà en pré-campagne.
Pour la troisième année consécutive, l’Agence française de développement (AFD) publie ses prévisions pour les marchés africains. L’occasion également de tirer les enseignements de 2021. L’analyse de Jeune Afrique.
Alors que l’Agence française de développement fête son 80e anniversaire, le fer de lance de l’aide hexagonale sur le continent doit mettre en œuvre la nouvelle relation Afrique-France esquissée par Emmanuel Macron. Plus facile à dire qu’à faire.
Focus sur les jeunes entrepreneurs, soutien à des secteurs sous le radar comme l’industrie culturelle : le patron de l’Agence française de développement (AFD), Rémy Rioux, détaille les changements amorcés par le dernier sommet de Montpellier sur les relations entre Paris et le continent.
Tout juste vingt ans après avoir intégré l’Agence française de développement, Christian Yoka a pris les rênes du département Afrique, qui représente a lui seul plus de 40 % des engagements de l’Agence. C’est le premier dirigeant d’origine subsaharienne nommé à ce poste. Portrait.
Le pays ouest-africain a massivement investi dans le domaine de l’énergie et progresse à pas de géant dans l’électrification de sa capitale Lomé et de l’ensemble du territoire.
Ces ressources soutiendront une large variété de projets : de l’énergie à la santé, en passant par l’eau, les transports, les services financiers et la tech.
Démographiquement majoritaires, les jeunes sont absents des instances dirigeantes du continent, et les leaders politiques ne pensent à eux que pour des intérêts électoraux. N’est-il pas temps de donner la parole à ces nouvelles générations ?
Sortie de la crise du Covid-19, dette, franc CFA, priorités de l’aide au développement… Dans sa première grande interview à Jeune Afrique, le ministre français de l’Économie évoque les sujets brûlants de l’actualité franco-africaine.
Critiqué sur sa gestion de la Délégation à l’entrepreneuriat rapide, le jeune ministre creuse son sillon dans le financement de start-up, quitte à déplaire au sein même du gouvernement.
Premier partenaire économique de l’Hexagone dans la zone UEMOA, la Côte d’Ivoire reçoit depuis le 29 avril la visite du ministre français de l’Économie. Le prochain sommet de Paris et les grands chantiers infrastructurels seront au cœur des discussions.
Deux mois après des premières rumeurs de dissolution, l’association, fragilisée par des conflits entre membres du conseil d’administration africains, leurs homologues français et l’équipe dirigeante, est à nouveau au bord de la rupture.
L’Agence française de développement a également consacré plus de 4 milliards d’euros au continent africain afin de contrer les effets liés aux chocs sanitaire et économique.
Si la Banque mondiale, la Cnuced ou l’UA encouragent le continent à investir massivement pour réussir sa transition numérique, cette révolution pourrait ne pas être la panacée espérée, notamment en termes d’emplois.
Après qu’une partie de ses administrateurs, emmenée par l’AFD, a tenté de dissoudre l’initiative portée par Emmanuel Macron depuis 2018, une réunion tendue s’est tenue le 25 février. JA en livre les conclusions.
Les membres du conseil d’administration de initiative Digital Africa, portée par Emmanuel Macron, ont rendez-vous le 18 février. À l’ordre du jour, la convocation d’une assemblée générale extraordinaire chargée de dissoudre la structure.
La filiale de l’AFD dédiée au secteur privé consacrera finalement 3,5 milliards d’euros aux entreprises africaines. Décryptage avec son directeur général, Grégory Clemente.
Alors que l’AFD fait l’objet d’une plainte de la société civile gabonaise au sujet de prêts accordés à l’État gabonais, la France refuse de dévoiler devant le tribunal administratif de Paris les conditions d’octroi de ces derniers.
Avec un crédit de 85 millions de dollars de l’AFD, le fonds ghanéen dédié aux infrastructures (GIIF) espère convaincre deux autres institutions de développement.
Le rôle des banques de développement en période de crise est crucial et Rémy Rioux, le patron de l’AFD, appelle à ne pas oublier le soutien aux PME pour sauvegarder le tissu entrepreneurial africain.
La crise économique et sanitaire démontre – paradoxalement – que la relocalisation de la production se fera d’abord grâce à la plus grande ouverture au commerce. Une tribune de Christian Yoka, directeur régional de l’Agence française de développement en Afrique de l’Est, coécrite avec Gaëlle Balineau, économiste pour l’AFD.
Dans un entretien d’une grande densité, le directeur général de l’Agence française de développement analyse les ressorts de la crise à l’échelle du continent et fait le point sur les modalités de l’action de l’institution financière publique dans les années à venir.
La filiale de l’AFD dédiée au secteur privé accorde un prêt de 3 millions de dollars à Advans Banque Congo, une institution financière spécialisée dans le financement des entrepreneurs et des PME dans le pays. La cérémonie de signature doit se dérouler ce 10 mars, à Kinshasa.
L’Agence française de développement (AFD) et les éditions La Découverte ont décidé de combler le vide qui existait en matière d’économie africaine, alors que chaque année, paraissent des ouvrages analysant l’économie mondiale ou l’économie française. L’institution financière publie pour la première fois un livre sur « L’économie africaine » (1).