L’ONU a décidé vendredi de réduire de mille hommes la force de maintien de la paix de l’Union africaine en Somalie (Amisom) dans le cadre de son désengagement, malgré l’augmentation récente des attaques des combattants shebab à Mogadiscio.
Un membre des commandos américains a été tué vendredi dans une attaque en Somalie qui a aussi blessé quatre militaires américains et un soldat somalien, a déclaré le commandement américain pour l’Afrique (Africom).
L’attentat qui a causé la mort de 358 personnes, le 14 octobre à Mogadiscio, a provoqué une onde de choc à Djibouti. Dès le lendemain, le pays a envoyé un avion transportant 29 médecins ainsi que 4 tonnes de matériel de premiers secours et de médicaments sur place.
Moins d’une semaine après la première frappe américaine contre les shebab en Somalie, les États-Unis ont annoncé avoir mené jeudi 9 novembre une seconde frappe contre les islamistes shebab affiliés à Al-Qaëda, tuant « plusieurs » d’entre eux.
La mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom) a annoncé mardi qu’elle retirerait un millier de soldats sur les 22 000 déployés dans le pays cette année. Cette réduction des effectifs survient dans le cadre d’un plan prévoyant son retrait complet d’ici décembre 2020.
Comment verser les salaires du contingent burundais de la mission de l’UA en Somalie (Amisom) ? Ce casse-tête est à l’ordre du jour de la réunion du Comité politique et sécurité (Cops) de l’UE – composé des ambassadeurs des États membres –, les 21 et 23 mars.
La ministre des Affaires étrangères kényane, candidate au poste de présidente de la Commission de l’Union africaine, a reçu Jeune Afrique en marge du 30e Conseil exécutif du Sommet de l’Union africaine.
Au moins neuf personnes ont été blessées ce lundi dans deux attaques-suicides. La première s’est produite à l’entrée de l’aéroport de Mogadiscio, la seconde devant un hôtel proche de l’aéroport. Les Shebab, affiliés à Al-Qaïda, ont rapidement revendiqué les attaques.
Ce mardi, les Shebab ont revendiqué via le site internet de leur radio, Radio Andalus, une attaque sur Beledweyne, la capitale de la province d’Hiran,
à 300 km au nord de Mogadiscio, près de la frontière éthiopienne.
Un attentat-suicide à la voiture piégée revendiqué par les islamistes Shebab a visé mardi un hôtel de la capitale somalienne, Mogadiscio, non loin du palais présidentiel, faisant au moins quinze morts, a-t-on appris de source policière.
Au moins six personnes ont été tuées dimanche 31 juillet dans la capitale somalienne Mogadiscio par un double attentat à la voiture piégée, qui a également coûté la vie à sept assaillants. Il s’agit du deuxième attentat en une semaine.
Alors que les violences continuent au Burundi, l’Union européenne (UE) envisage de réduire son soutien financier au contingent burundais déployé au sein de la force de maintien de la paix en Somalie (Amisom), selon des sources diplomatiques citées par Reuters.
Les Shebab ont affirmé mercredi détenir des soldats ougandais à la suite d’une attaque contre une position de la force de l’Union africaine en Somalie (Amisom). Kampala affirme de son côté qu’aucun de ses militaires n’a été porté disparu.
À chaque attaque meurtrière contre des soldats de l’Union africaine, l’organisation rechigne à fournir un bilan précis des victimes. La dernière attaque en date en Somalie, qui aurait fait une cinquantaine de morts, ne fait pas exception.
La force militaire de l’Union africaine en Somalie (Amisom) a annoncé dimanche avoir lancé une nouvelle offensive contre les insurgés islamistes shebab, affiliés à al-Qaïda, afin de les déloger de zones rurales du sud du pays.
Quatre combattants shebab ont été tués et quatre autres capturés jeudi dans l’attaque de la base militaire de l’Amisom à Mogadiscio, selon un dernier bilan communiqué vendredi.
La Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom) a jugé déséquilibré un rapport de Human Rights Watch qui accuse ses soldats de viols et d’exploitation de femmes et de jeunes filles sur leurs bases de Mogadiscio.
Douze civils ont péri dans l’attentat à la voiture piégée dont a été victime lundi un convoi de l’Amison en Somalie. Une attaque qui intervient une semaine après la mort du chef des islamistes somaliens Shebab.
Des soldats de la force de l’Union africaine en Somalie (Amisom) ont abusé et exploité sexuellement des femmes et jeunes filles somaliennes sur leurs bases de Mogadiscio, affirme l’ONG Human Rights Watch (HRW), dans un rapport publié lundi.
Un convoi de la force de l’Union africaine en Somalie a été ciblé lundi par une attaque à la voiture piégée. Le bilan de cet attentat, revendiqué par les Shebab, est encore incertain.
La Force de l’Union africaine en Somalie (Amisom) et des milices somaliennes pro-gouvernementales ont repris aux islamistes shebab plusieurs localités de la région de Bakol (sud-ouest), qui borde la frontière éthiopienne, ont annoncé des responsables dimanche.
L’attaque de Nairobi s’inscrit dans le contexte régional de l’action de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom). Loin d’être vaincus, les Shebab y sont cependant en fort recul, en particulier grâce à l’intervention du Kenya. Un article issu du J.A. n° 2735, publié en ligne le 18 juin 2013.
Deux semaines après le double attentat revendiqué par les Chabaab somaliens en Ouganda, l’Union africaine s’est saisie de ce dossier. Elle a promis de renforcer la force de paix en Somalie et de continuer à soutenir le gouvernement de transition.
Les islamistes shebab ont revendiqué le double attentat qui a frappé le quartier général de la mission de paix de l’Union africaine en Somalie (Amisom). Neuf soldats ont été tués, dont le numéro 2 de l’Amisom.
La Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom) a le sentiment que la population ne comprend pas sa présence à Mogadiscio, a déclaré le général burundais Juvénal Niyoyunguruza, commandant adjoint de cette force de paix, dans une interview à l’AFP.
Une dizaine de personnes, dont trois soldats burundais de la force de paix africaine en Somalie (Amisom), sont mortes dans le crash d’un avion cargo qui se rendait en Somalie, peu après son décollage d’Entebbe (Ouganda), a-t-on appris de sources officielles.
Un retrait de Somalie de l’Amisom, la force de paix de l’Union africaine (UA), « aurait des conséquences catastrophiques », a affirmé lundi à Addis Abeba le Commissaire à la paix et à la sécurité de l’Union africaine (UA) Ramtane Lamamra.
Le Burundi et l’Ouganda, dont les troupes forment la force de paix de l’Union africaine en Somalie (Amisom), souhaitent se retirer du territoire somalien avant le départ des troupes éthiopiennes prévu début 2009, a annoncé jeudi le Premier ministre éthiopien devant le Parlement.